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- Charlotte-Rose-Émilie Davasse de Saint-Amarand, dite de Sainte-Amaranthe née le 18 juillet 1773 à Paris où elle est morte guillotinée le 17 juin 1794, est une salonnière française. Femme de l’ex-maître des requêtes Charles de Sartine, fils du ministre de la Police Antoine de Sartine, Émilie de Sainte-Amaranthe faisait partie du salon de jeux dit le « 50 » que tenait sa mère au no 50 des Arcades du Palais-Royal. Le comte de Tilly, dans ses Mémoires, parle longuement de cette belle jeune fille dont il tenta vainement de faire la conquête. Bien que mariée à Sartine en septembre 1792 à Rouen, où la famille s’était réfugiée quand on massacrait à Paris, la jeune Émilie aimait en secret le chanteur François Elleviou. Au printemps 1793, Mme de Sartine se retira dans le château de Sucy-en-Brie que sa mère venait d’acquérir grâce aux fonds retirés du « 50 ». Compromise dans le procès des Chemises rouges, Émilie de Sartine fut envoyée, à l’âge de dix-huit ans, avec sa mère Jeanne-Louise-Françoise de Sainte-Amaranthe, née en 1751 et son frère , âgé de seize ans et demi, à la guillotine le 29 prairial an II. Elle aurait dit à sa mère, dans la charrette qui menait les condamnés à l’échafaud : « Regarde, maman. Est-ce gracieux, tous ces manteaux rouges ! Nous avons l’air de cardinaux ! ». (fr)
- Charlotte-Rose-Émilie Davasse de Saint-Amarand, dite de Sainte-Amaranthe née le 18 juillet 1773 à Paris où elle est morte guillotinée le 17 juin 1794, est une salonnière française. Femme de l’ex-maître des requêtes Charles de Sartine, fils du ministre de la Police Antoine de Sartine, Émilie de Sainte-Amaranthe faisait partie du salon de jeux dit le « 50 » que tenait sa mère au no 50 des Arcades du Palais-Royal. Le comte de Tilly, dans ses Mémoires, parle longuement de cette belle jeune fille dont il tenta vainement de faire la conquête. Bien que mariée à Sartine en septembre 1792 à Rouen, où la famille s’était réfugiée quand on massacrait à Paris, la jeune Émilie aimait en secret le chanteur François Elleviou. Au printemps 1793, Mme de Sartine se retira dans le château de Sucy-en-Brie que sa mère venait d’acquérir grâce aux fonds retirés du « 50 ». Compromise dans le procès des Chemises rouges, Émilie de Sartine fut envoyée, à l’âge de dix-huit ans, avec sa mère Jeanne-Louise-Françoise de Sainte-Amaranthe, née en 1751 et son frère , âgé de seize ans et demi, à la guillotine le 29 prairial an II. Elle aurait dit à sa mère, dans la charrette qui menait les condamnés à l’échafaud : « Regarde, maman. Est-ce gracieux, tous ces manteaux rouges ! Nous avons l’air de cardinaux ! ». (fr)
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- Charlotte-Rose-Émilie Davasse de Sainte-Amaranthe (fr)
- Charlotte-Rose-Émilie de Sartine (en)
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- Charles-Marie, son père et Antoine de Sartine, ministre de la Police, son beau-père (fr)
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- Charlotte-Rose-Émilie Davasse de Saint-Amarand, dite de Sainte-Amaranthe née le 18 juillet 1773 à Paris où elle est morte guillotinée le 17 juin 1794, est une salonnière française. Femme de l’ex-maître des requêtes Charles de Sartine, fils du ministre de la Police Antoine de Sartine, Émilie de Sainte-Amaranthe faisait partie du salon de jeux dit le « 50 » que tenait sa mère au no 50 des Arcades du Palais-Royal. Le comte de Tilly, dans ses Mémoires, parle longuement de cette belle jeune fille dont il tenta vainement de faire la conquête. (fr)
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