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- L'affaire du viol collectif de New Delhi commence le 16 décembre 2012 avec le viol par six hommes, dans un autobus de New Delhi, de Jyoti Singh, une étudiante en kinésithérapie de 23 ans. L'événement et l'hospitalisation consécutive de la victime, également agressée sexuellement avec une barre de fer rouillée, puis sa mort le 29 décembre 2012, entraînent en Inde des réactions populaires sans précédent, qui provoquent un débat exceptionnel sur la condition des femmes et sur l'application de la peine de mort dans le pays (les six accusés, dont l'un s'est depuis suicidé en prison, encourent la pendaison pour meurtre). En signe de deuil, les forces armées indiennes et de nombreux établissements annulent leurs festivités du nouvel an. Le 31 décembre 2012, Navanethem Pillay, Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme demande à l'Inde un « débat d'urgence » sur les mesures à prendre pour faire face au « problème national » que constituent les violences sexuelles, tout en estimant que « la peine de mort n'est pas la solution ». L'un des accusés, mineur au moment des faits, est condamné le 31 août 2013 à trois ans de prison. Le 13 septembre 2013, le tribunal chargé de l’affaire depuis les neuf derniers mois, rend son verdict : les 5 accusés majeurs survivants sont reconnus coupables et sont condamnés à la peine de mort, par pendaison. Le 14 juillet 2014, la peine est confirmée en appel ; le 5 mai 2017, la Cour suprême de l'Inde valide le verdict, puis le revalide le 9 juillet 2018. Prévue initialement le 22 janvier 2020 à 19 h 0, la pendaison des 4 hommes est finalement reportée au 1er février suivant avant d'être une nouvelle fois repoussée. La quadruple exécution a finalement lieu à l'aube du 20 mars 2020 à la prison de New Delhi . (fr)
- L'affaire du viol collectif de New Delhi commence le 16 décembre 2012 avec le viol par six hommes, dans un autobus de New Delhi, de Jyoti Singh, une étudiante en kinésithérapie de 23 ans. L'événement et l'hospitalisation consécutive de la victime, également agressée sexuellement avec une barre de fer rouillée, puis sa mort le 29 décembre 2012, entraînent en Inde des réactions populaires sans précédent, qui provoquent un débat exceptionnel sur la condition des femmes et sur l'application de la peine de mort dans le pays (les six accusés, dont l'un s'est depuis suicidé en prison, encourent la pendaison pour meurtre). En signe de deuil, les forces armées indiennes et de nombreux établissements annulent leurs festivités du nouvel an. Le 31 décembre 2012, Navanethem Pillay, Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme demande à l'Inde un « débat d'urgence » sur les mesures à prendre pour faire face au « problème national » que constituent les violences sexuelles, tout en estimant que « la peine de mort n'est pas la solution ». L'un des accusés, mineur au moment des faits, est condamné le 31 août 2013 à trois ans de prison. Le 13 septembre 2013, le tribunal chargé de l’affaire depuis les neuf derniers mois, rend son verdict : les 5 accusés majeurs survivants sont reconnus coupables et sont condamnés à la peine de mort, par pendaison. Le 14 juillet 2014, la peine est confirmée en appel ; le 5 mai 2017, la Cour suprême de l'Inde valide le verdict, puis le revalide le 9 juillet 2018. Prévue initialement le 22 janvier 2020 à 19 h 0, la pendaison des 4 hommes est finalement reportée au 1er février suivant avant d'être une nouvelle fois repoussée. La quadruple exécution a finalement lieu à l'aube du 20 mars 2020 à la prison de New Delhi . (fr)
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- L'affaire du viol collectif de New Delhi commence le 16 décembre 2012 avec le viol par six hommes, dans un autobus de New Delhi, de Jyoti Singh, une étudiante en kinésithérapie de 23 ans. L'événement et l'hospitalisation consécutive de la victime, également agressée sexuellement avec une barre de fer rouillée, puis sa mort le 29 décembre 2012, entraînent en Inde des réactions populaires sans précédent, qui provoquent un débat exceptionnel sur la condition des femmes et sur l'application de la peine de mort dans le pays (les six accusés, dont l'un s'est depuis suicidé en prison, encourent la pendaison pour meurtre). En signe de deuil, les forces armées indiennes et de nombreux établissements annulent leurs festivités du nouvel an. (fr)
- L'affaire du viol collectif de New Delhi commence le 16 décembre 2012 avec le viol par six hommes, dans un autobus de New Delhi, de Jyoti Singh, une étudiante en kinésithérapie de 23 ans. L'événement et l'hospitalisation consécutive de la victime, également agressée sexuellement avec une barre de fer rouillée, puis sa mort le 29 décembre 2012, entraînent en Inde des réactions populaires sans précédent, qui provoquent un débat exceptionnel sur la condition des femmes et sur l'application de la peine de mort dans le pays (les six accusés, dont l'un s'est depuis suicidé en prison, encourent la pendaison pour meurtre). En signe de deuil, les forces armées indiennes et de nombreux établissements annulent leurs festivités du nouvel an. (fr)
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