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- Adieu est une nouvelle de Balzac, datée par lui-même de 1830. La première partie du texte paraît en prépublication dans l’hebdomadaire d’Émile de Girardin, La Mode, deux mois plus tard la même année, sous le titre Souvenirs soldatesques. Adieu. Elle est alors sous-titrée : Les Bonshommes, et les deux autres parties paraissent en juin de la même année dans le même hebdomadaire avec les sous-titres Le Passage de la Bérésina et La Guérison. À cette date, Balzac comptait intégrer la nouvelle dans les Scènes de la vie militaire. Mais, dès 1832, le texte figure dans les Scènes de la vie privée aux éditions Mame, puis en 1834 aux éditions Werdet dans les Études philosophiques de La Comédie humaine, où la nouvelle est maintenue pour l’édition Furne 1846. Le récit se déroule sur deux plans : le présent du personnage principal, Philippe de Sucy, de son compagnon le marquis d’Albon et de la scène dont ils sont témoins : l’apparition de la comtesse Stéphanie de Vandières sous des frondaisons, en 1819 ; et le retour en arrière sur un épisode de la retraite de Russie des troupes impériales, en 1812, lors du passage de la Bérézina où cette même comtesse et le baron de Sucy vont être séparés de façon tragique. (fr)
- Adieu est une nouvelle de Balzac, datée par lui-même de 1830. La première partie du texte paraît en prépublication dans l’hebdomadaire d’Émile de Girardin, La Mode, deux mois plus tard la même année, sous le titre Souvenirs soldatesques. Adieu. Elle est alors sous-titrée : Les Bonshommes, et les deux autres parties paraissent en juin de la même année dans le même hebdomadaire avec les sous-titres Le Passage de la Bérésina et La Guérison. À cette date, Balzac comptait intégrer la nouvelle dans les Scènes de la vie militaire. Mais, dès 1832, le texte figure dans les Scènes de la vie privée aux éditions Mame, puis en 1834 aux éditions Werdet dans les Études philosophiques de La Comédie humaine, où la nouvelle est maintenue pour l’édition Furne 1846. Le récit se déroule sur deux plans : le présent du personnage principal, Philippe de Sucy, de son compagnon le marquis d’Albon et de la scène dont ils sont témoins : l’apparition de la comtesse Stéphanie de Vandières sous des frondaisons, en 1819 ; et le retour en arrière sur un épisode de la retraite de Russie des troupes impériales, en 1812, lors du passage de la Bérézina où cette même comtesse et le baron de Sucy vont être séparés de façon tragique. (fr)
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- Étude de mœurs (fr)
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- Illustration d'Édouard Toudouze (fr)
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- Adieu ! (fr)
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- , 1830, dans La Mode (fr)
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- Le général de Vandières, mari de la comtesse Stéphanie (fr)
- Geneviève, sourde-muette (fr)
- Le docteur Fanjat (fr)
- Le marquis d’Albon, son ami (fr)
- Monsieur de Granville, magistrat (fr)
- Philippe de Sucy, colonel (fr)
- La comtesse Stéphanie de Vandières, femme du général (fr)
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- Études philosophiques de La Comédie humaine (fr)
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- Adieu est une nouvelle de Balzac, datée par lui-même de 1830. La première partie du texte paraît en prépublication dans l’hebdomadaire d’Émile de Girardin, La Mode, deux mois plus tard la même année, sous le titre Souvenirs soldatesques. Adieu. Elle est alors sous-titrée : Les Bonshommes, et les deux autres parties paraissent en juin de la même année dans le même hebdomadaire avec les sous-titres Le Passage de la Bérésina et La Guérison. À cette date, Balzac comptait intégrer la nouvelle dans les Scènes de la vie militaire. Mais, dès 1832, le texte figure dans les Scènes de la vie privée aux éditions Mame, puis en 1834 aux éditions Werdet dans les Études philosophiques de La Comédie humaine, où la nouvelle est maintenue pour l’édition Furne 1846. (fr)
- Adieu est une nouvelle de Balzac, datée par lui-même de 1830. La première partie du texte paraît en prépublication dans l’hebdomadaire d’Émile de Girardin, La Mode, deux mois plus tard la même année, sous le titre Souvenirs soldatesques. Adieu. Elle est alors sous-titrée : Les Bonshommes, et les deux autres parties paraissent en juin de la même année dans le même hebdomadaire avec les sous-titres Le Passage de la Bérésina et La Guérison. À cette date, Balzac comptait intégrer la nouvelle dans les Scènes de la vie militaire. Mais, dès 1832, le texte figure dans les Scènes de la vie privée aux éditions Mame, puis en 1834 aux éditions Werdet dans les Études philosophiques de La Comédie humaine, où la nouvelle est maintenue pour l’édition Furne 1846. (fr)
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