* Le gouvernement Romano Prodi adopte des mesures drastiques pour que l’Italie entre dans la zone euro en 2000. Le déficit public passe de 6,7 % à 2,7 % en deux ans. Le peuple Italien est le seul d’Europe à accepter de payer un « impôt européen » qui rapporte 12 500 milliards de lires. Le plus gros effort est fait sur les dépenses publiques qui passent de 51 à 48 % du PIB en 3 ans. Les privatisations permettent d'augmenter temporairement les recettes de 0,5 point de PIB.