. . . . . . . . "60"^^ . . . . . . "en"@fr . . . . . . "L'\u00E9ducation au Tibet remonte au VIIe si\u00E8cle et au roi Songtsen Gampo, sous le r\u00E8gne duquel l'\u00E9criture tib\u00E9taine fut introduite. Selon , un sp\u00E9cialiste des religions, si en 1959 quasiment tous les moines (un tiers des hommes) et toutes les nonnes (un quart des femmes) savaient au moins lire et \u00E9crire, quasiment tous les autres Tib\u00E9tains de l'\u00E9poque \u00E9taient analphab\u00E8tes. Pourtant, selon Fr\u00E9d\u00E9rick O'Connor, un officier britannique ayant v\u00E9cu au Tibet dans les ann\u00E9es 1900, le nombre de gens du peuple sachant lire et \u00E9crire \u00E9tait surprenant, le chef de chaque village et au moins un ou deux membres de chaque famille \u00E9taient relativement instruits. Tous les moines \u00E9taient alphab\u00E9tis\u00E9s, de m\u00EAme que les enfants des familles nobles. La majorit\u00E9 des villes comportaient des \u00E9coles ouvertes \u00E0 tous pour"@fr . . . . . . . . . "1465"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "2008"^^ . . . "72501"^^ . . . "Making Tibetans in China: Educational Challenges for Harmonious Multiculturalism"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "1"^^ . . . . . . . . "4263458"^^ . "Syst\u00E8me \u00E9ducatif au Tibet"@fr . . . . . . . . . . . . . . "L'\u00E9ducation au Tibet remonte au VIIe si\u00E8cle et au roi Songtsen Gampo, sous le r\u00E8gne duquel l'\u00E9criture tib\u00E9taine fut introduite. Selon , un sp\u00E9cialiste des religions, si en 1959 quasiment tous les moines (un tiers des hommes) et toutes les nonnes (un quart des femmes) savaient au moins lire et \u00E9crire, quasiment tous les autres Tib\u00E9tains de l'\u00E9poque \u00E9taient analphab\u00E8tes. Pourtant, selon Fr\u00E9d\u00E9rick O'Connor, un officier britannique ayant v\u00E9cu au Tibet dans les ann\u00E9es 1900, le nombre de gens du peuple sachant lire et \u00E9crire \u00E9tait surprenant, le chef de chaque village et au moins un ou deux membres de chaque famille \u00E9taient relativement instruits. Tous les moines \u00E9taient alphab\u00E9tis\u00E9s, de m\u00EAme que les enfants des familles nobles. La majorit\u00E9 des villes comportaient des \u00E9coles ouvertes \u00E0 tous pour une somme modique, et Lhassa en comportait plus de vingt. Au d\u00E9but du XXe si\u00E8cle, le gouvernement tib\u00E9tain lui-m\u00EAme, sous la direction du 13e dala\u00EF-lama, a fait un certain nombre de tentatives \u00E9ph\u00E9m\u00E8res de mettre sur pied un syst\u00E8me d'\u00E9ducation s\u00E9culier moderne au Tibet, en envoyant 4 jeunes Tib\u00E9tains en Angleterre en 1912 et en ouvrant une \u00E9cole anglaise en 1923. La Chine instaurera au Tibet un syst\u00E8me \u00E9ducatif la\u00EFque \u00E0 partir des ann\u00E9es 1950. Selon Michael Harris Goodman, les habitants de Lhassa constat\u00E8rent que les \u00E9coles primaires chinoises nouvellement ouvertes (dans les ann\u00E9es 1950) \u00E9taient des instruments de propagande communiste anti-tib\u00E9taine. Pour Catriona Bass, en 1999 les progr\u00E8s des autorit\u00E9s chinoises pour am\u00E9liorer l'\u00E9ducation au Tibet depuis 1950 \u00E9taient tr\u00E8s inf\u00E9rieurs \u00E0 ceux r\u00E9alis\u00E9s dans le reste de la Chine. De m\u00EAme, pour Vegard Iversen en 2002 les rapports sur l'\u00E9ducation au Tibet contredisent les d\u00E9clarations des autorit\u00E9s chinoises qui affirment poursuivre des efforts s\u00E9rieux pour le d\u00E9veloppement du Tibet."@fr . . . . . . . . . . "Routledge"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Postiglione"@fr . . . . "Gerard Postiglione"@fr . . "1"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "F\u00E9vrier"@fr . . . . . . . "10.108"^^ . . . . . "190990274"^^ . . . . . . . . . . . . . . "13"^^ . . . . . . . "Educational Review"@fr . . .