"\u041F\u0440\u043E\u043F\u0440\u0456\u0454\u0442\u0430\u0440\u043D\u0435 \u043F\u0440\u043E\u0433\u0440\u0430\u043C\u043D\u0435 \u0437\u0430\u0431\u0435\u0437\u043F\u0435\u0447\u0435\u043D\u043D\u044F"@uk . . . . . . . "d\u00E9cembre"@fr . . . . "PASTEL"@fr . . . "fr"@fr . . . . . . "\u30D7\u30ED\u30D7\u30E9\u30A4\u30A8\u30BF\u30EA\u30BD\u30D5\u30C8\u30A6\u30A7\u30A2"@ja . . . . . "104202"^^ . "27527"^^ . . . . . . . . . . . "Centre de Gestion Scientifique, Mines ParisTech"@fr . "Un logiciel propri\u00E9taire, logiciel non libre ou parfois logiciel privatif voire logiciel privateur, est un logiciel qui ne permet pas l\u00E9galement ou techniquement, ou par quelque autre moyen que ce soit, d'exercer simultan\u00E9ment les quatre libert\u00E9s logicielles que sont l'ex\u00E9cution du logiciel pour tout type d'utilisation, l'\u00E9tude de son code source (et donc l'acc\u00E8s \u00E0 ce code source), la distribution de copies, ainsi que la modification du code source."@fr . . . . . . . . . . . . . "2010-10-08"^^ . . . "2009"^^ . . . . . . . "Logiciel propri\u00E9taire"@fr . . . . . . "Les r\u00E9gimes de l'open source : solidarit\u00E9, innovation et mod\u00E8les d'affaires"@fr . . . "Th\u00E8se de doctorat en sciences de gestion"@fr . . . . . . . . "Un logiciel propri\u00E9taire, logiciel non libre ou parfois logiciel privatif voire logiciel privateur, est un logiciel qui ne permet pas l\u00E9galement ou techniquement, ou par quelque autre moyen que ce soit, d'exercer simultan\u00E9ment les quatre libert\u00E9s logicielles que sont l'ex\u00E9cution du logiciel pour tout type d'utilisation, l'\u00E9tude de son code source (et donc l'acc\u00E8s \u00E0 ce code source), la distribution de copies, ainsi que la modification du code source. Les limitations l\u00E9gales, permises par le droit d'auteur, qui s'appliquent aux logiciels, sont choisies par les ayants droit et sont souvent encadr\u00E9es par un contrat de licence utilisateur final (CLUF), nomm\u00E9 alors licence propri\u00E9taire. Elles ont souvent, mais pas toujours, pour objectif de permettre le contr\u00F4le de la diffusion du logiciel afin de permettre la vente de licences de logiciels. Un logiciel \u00E9tant un objet purement num\u00E9rique, sa copie est souvent aussi simple que la copie de tout autre fichier informatique. Les diffuseurs de logiciels propri\u00E9taires ont par cons\u00E9quent parfois recours \u00E0 des syst\u00E8mes de \u00AB gestion des droits num\u00E9riques \u00BB. Les droits des utilisateurs de logiciels propri\u00E9taires sont souvent limit\u00E9s \u00E0 son ex\u00E9cution pour des usages donn\u00E9s. Dans un logiciel propri\u00E9taire, il est rarement possible \u00E0 un simple utilisateur du logiciel de modifier le logiciel, \u00E0 la fois pour des raisons l\u00E9gales, la licence ne lui permettant pas de modifier le logiciel et de redistribuer les modifications, mais aussi des raisons d'origine technique, li\u00E9es \u00E0 l'absence de diffusion du code source ou d'offuscation du code source. Ces techniques permettent \u00E0 l\u2019\u00E9diteur de garder contr\u00F4le sur le code des logiciels qu'il diffuse. Le logiciel Windows est par exemple propri\u00E9taire. La notion de logiciel propri\u00E9taire est de mani\u00E8re g\u00E9n\u00E9rale mise en opposition avec celles de logiciels libres et open source. Ces mouvements consid\u00E8rent que l'\u00E9diteur n\u2019a pas \u00E0 garder le code source secret, et que le divulguer et autoriser sa diffusion permettent de mutualiser les efforts sur le logiciel, et ainsi d'am\u00E9liorer sa qualit\u00E9 et ses fonctionnalit\u00E9s pour le mouvement open source, ou pour des raisons \u00E9thique pour la sensibilit\u00E9 logiciel libre de ce mouvement, pour lequel il ne devrait pas exister de barri\u00E8re \u00E0 l'utilisation du logiciel, \u00E0 sa modification ou \u00E0 sa diffusion. Certains \u00E9diteurs de logiciels propri\u00E9taires utilisent ce terme en r\u00E9f\u00E9rence au droit de la propri\u00E9t\u00E9 intellectuelle[r\u00E9f. n\u00E9cessaire], qui est apparu en 1967. Lorsque de tels logiciels sont commercialis\u00E9s, le mod\u00E8le d'activit\u00E9 des entreprises \u00E9ditrices repose le plus souvent[r\u00E9f. n\u00E9cessaire] sur la vente de droits d'utilisation. Ces derniers sont contractualis\u00E9s sous la forme d'un CLUF qui : \n* stipule les droits que l'acqu\u00E9reur obtient sur le logiciel ; \n* explicite souvent les droits que le propri\u00E9taire accorde, o\u00F9 les restrictions qu'il impose, suivant le point de vue. Bien que l'expression \u00AB acheter un logiciel \u00BB soit courante pour d\u00E9signer ce type de transaction, elles concernent un droit d'utilisation limit\u00E9 au cadre \u00E9tabli par la licence ; le transfert de propri\u00E9t\u00E9 n'existant qu'en cas de vente du droit d'auteur ou copyright associ\u00E9. Un logiciel propri\u00E9taire n'est pas n\u00E9cessairement payant ; les logiciels gratuits mais non libres sont appel\u00E9s freeware ou gratuiciel."@fr . . . . . . "\u0628\u0631\u0645\u062C\u064A\u0629 \u0645\u062D\u062A\u0643\u0631\u0629"@ar . . "Benkeltoum"@fr . . . . . . "9"^^ . . . "Ph\u1EA7n m\u1EC1m s\u1EDF h\u1EEFu \u0111\u1ED9c quy\u1EC1n"@vi . . . . . . . . . "ok"@fr . . . . . . . . . . . . . . "Nordine"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . "Programari de propietat"@ca . . . . . . . . . . "Software jabedun"@eu . . . "190611088"^^ . . . . . . "Software proprietario"@it . "Propri\u00EBtaire software"@nl . .