. . . . . . . . "Walter de Henley fut au XIIIe si\u00E8cle l'un des premiers agronomes anglais, qui \u00E9crivait en fran\u00E7ais. Parmi ses \u0153uvres les plus connues, Le Dite de Hosebondrie, \u00E9crit vers 1280 et le dont 32 copies sont parvenues jusqu'\u00E0 nous, sur des parchemins manuscrits, preuve de son succ\u00E8s \u00E0 l'\u00E9poque. Walter de Henley composa son trait\u00E9 en se fondant sur la Seneschaucie, vers 1280-90, et une synth\u00E8se des deux trait\u00E9s fut, ensuite, publi\u00E9e sous le nom de Fleta. Il \u00E9tait un familier du roi d'Angleterre Henri II Plantagen\u00EAt, dont les relations avec les Cap\u00E9tiens \u00E9taient tendues, apr\u00E8s avoir acquis ses comp\u00E9tences sur un domaine agricole des Midlands."@fr . . "Walter de Henley fut au XIIIe si\u00E8cle l'un des premiers agronomes anglais, qui \u00E9crivait en fran\u00E7ais. Parmi ses \u0153uvres les plus connues, Le Dite de Hosebondrie, \u00E9crit vers 1280 et le dont 32 copies sont parvenues jusqu'\u00E0 nous, sur des parchemins manuscrits, preuve de son succ\u00E8s \u00E0 l'\u00E9poque. Walter de Henley composa son trait\u00E9 en se fondant sur la Seneschaucie, vers 1280-90, et une synth\u00E8se des deux trait\u00E9s fut, ensuite, publi\u00E9e sous le nom de Fleta. Il \u00E9tait un familier du roi d'Angleterre Henri II Plantagen\u00EAt, dont les relations avec les Cap\u00E9tiens \u00E9taient tendues, apr\u00E8s avoir acquis ses comp\u00E9tences sur un domaine agricole des Midlands. L'\u00E9lan scientifique intellectuel qui se manifesta alors au XIIIe si\u00E8cle fut stimul\u00E9 par la diffusion des \u00E9crits d'Aristote, transmis par les Arabes, par le d\u00E9veloppement de la logique qui prit le pas alors la rh\u00E9torique, et par l'usage croissant de la langue vulgaire dans la litt\u00E9rature, les actes publics ou les \u00E9crits scientifiques, comme ceux de Walter de Henley. \u00C0 la m\u00EAme \u00E9poque, un autre agronome, l'eccl\u00E9siastique Robert Grosseteste (1175\u20131253), \u00E9crivit vers 1245, dans ses vingt-huit R\u00E8gles pour la Comtesse de Lincoln afin de \u201Cgarder et governer terres et hostels\u201D, un mod\u00E8le de comportement pratique, et de pr\u00E9ceptes pour l\u2019action seigneuriale, dans la gestion d'un domaine agricole. L\u2019\u00E9v\u00EAque de Lincoln prescrivait, dans ce document, \u00E0 Marguerite de Blundeville de s\u2019occuper personnellement de la gestion de ses manoirs par enqu\u00EAte \"jur\u00E9e\" comprenant libres et vilains, afin d'associer les habitants \u00E0 la recherche d'une meilleure productivit\u00E9. Walter de Henley a contribu\u00E9 au d\u00E9veloppement de l'assolement triennal, qui permit de diminuer les temps de jach\u00E8re et de limiter l'impact des intemp\u00E9ries. Il s'\u00E9tait cependant montr\u00E9 r\u00E9serv\u00E9 sur la traction hippique, plus efficace que celle op\u00E9r\u00E9e par des b\u0153ufs, m\u00EAme si les deux animaux ont la m\u00EAme force de traction, le cheval pouvant travailler deux heures de plus et avancer \u00E0 une vitesse sup\u00E9rieure de 35 %. Il compara les co\u00FBts des deux animaux et constata que le cheval co\u00FBtait cher en avoine. Un de ses disciples, \u00E0 Dunster dans le Somerset, a recopi\u00E9 ses livres, o\u00F9 la curiosit\u00E9 agronomique le dispute aux consid\u00E9rations morales."@fr . . . . . . "4287"^^ . . "Walter de Henley"@fr . . . . . "4706064"^^ . . "180230584"^^ . . . . "Walter of Henley"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .