. . . "\u041F\u043E\u0432\u0435\u0440\u0445\u043D\u0435\u0432\u0438\u0439 \u043F\u043B\u0430\u0437\u043C\u043E\u043D"@uk . . . . . . . . . "\u8868\u9762\u96FB\u6F3F\u5B50"@zh . . . . . . . . . . "145199"^^ . . "\u8868\u9762\u30D7\u30E9\u30BA\u30E2\u30F3"@ja . "Plasmon de surface"@fr . . "Le plasmon de surface est une onde \u00E9lectromagn\u00E9tique guid\u00E9e \u00E0 la surface d\u2019un m\u00E9tal. Elle se propage partiellement dans le m\u00E9tal (l\u2019onde y p\u00E9n\u00E8tre \u00E0 une profondeur de 25 nm typiquement pour les m\u00E9taux nobles). Le plasmon de surface \u00E9tant un mode guid\u00E9, se propageant le long d\u2019une interface plane, il ne peut pas \u00EAtre excit\u00E9 simplement par un faisceau de lumi\u00E8re incident. Il faut utiliser un coupleur (\u00E0 prisme ou \u00E0 r\u00E9seau). Une des caract\u00E9ristiques les plus importantes du plasmon de surface est que c\u2019est un mode localis\u00E9 \u00E0 l\u2019interface. Dit autrement, on arrive \u00E0 obtenir un champ particuli\u00E8rement intense au niveau de la surface du m\u00E9tal."@fr . . "Le plasmon de surface est une onde \u00E9lectromagn\u00E9tique guid\u00E9e \u00E0 la surface d\u2019un m\u00E9tal. Elle se propage partiellement dans le m\u00E9tal (l\u2019onde y p\u00E9n\u00E8tre \u00E0 une profondeur de 25 nm typiquement pour les m\u00E9taux nobles). Le plasmon de surface \u00E9tant un mode guid\u00E9, se propageant le long d\u2019une interface plane, il ne peut pas \u00EAtre excit\u00E9 simplement par un faisceau de lumi\u00E8re incident. Il faut utiliser un coupleur (\u00E0 prisme ou \u00E0 r\u00E9seau). Une des caract\u00E9ristiques les plus importantes du plasmon de surface est que c\u2019est un mode localis\u00E9 \u00E0 l\u2019interface. Dit autrement, on arrive \u00E0 obtenir un champ particuli\u00E8rement intense au niveau de la surface du m\u00E9tal. Le plasmon de surface doit son nom au fait que le gaz d\u2019\u00E9lectrons libres contenu dans le m\u00E9tal fait qu\u2019on peut d\u00E9crire la r\u00E9ponse du m\u00E9tal comme celle d\u2019un plasma, un gaz d\u2019\u00E9lectrons et de noyaux atomiques. Il faut cependant noter que le plasmon de surface est une onde \u00E9lectromagn\u00E9tique transverse (comme la lumi\u00E8re) et que ce n\u2019est donc pas \u00E0 proprement parler un plasmon de volume (l\u2019onde longitudinale capable de se propager dans les plasmas). L'existence de plasmons de surface a \u00E9t\u00E9 pr\u00E9dite pour la premi\u00E8re fois en 1957 par Rufus Ritchie. Au cours des deux d\u00E9cennies suivantes, les plasmons de surface ont fait l'objet d'\u00E9tudes approfondies par de nombreux scientifiques, dont les principaux \u00E9taient T. Turbadar dans les ann\u00E9es 1950 et 1960, et , E. Kretschmann et A. Otto dans les ann\u00E9es 1960 et 1970. Le transfert d'informations dans des structures \u00E0 l'\u00E9chelle nanom\u00E9trique, similaire \u00E0 la photonique, au moyen de plasmons de surface, est appel\u00E9 \u00AB plasmonique \u00BB."@fr . . . . . . . . . "Surface plasmon"@en . . . "6871"^^ . "188935523"^^ . . . . . . . . .