"Journaux de la Commune de Paris"@fr . . . . . . . . . . "La Commune de Paris de 1871 est la p\u00E9riode pendant laquelle le plus de journaux furent cr\u00E9\u00E9s. Si la libert\u00E9 de la presse fut restreinte, si de nombreux journaux furent supprim\u00E9s, la Commune n'emp\u00EAcha jamais la parution de nouveaux journaux. Ainsi, les journaux supprim\u00E9s pouvaient repara\u00EEtre sous un nouveau titre le lendemain. L'historien Quentin Deluermoz note : \u00AB La libert\u00E9 de la presse, mise en place d\u00E8s septembre 1870, est encourag\u00E9e par la Commune, puis largement limit\u00E9e fin avril : les titres les plus anticommunards sont alors interdits \u00BB. Les ouvriers et les bourgeois parisiens qui firent la Commune, comme leurs anc\u00EAtres de la Grande R\u00E9volution, comme leurs p\u00E8res ou eux-m\u00EAmes en 1848, \u00E9taient guid\u00E9s dans le choix de leurs quotidiens par le renom et le talent du journaliste qui en signait l'article principal. On peut distinguer deux types de journaux pendant cette p\u00E9riode, le Journal officiel ainsi que les autres quotidiens plus ou moins c\u00E9l\u00E8bres."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "La Commune de Paris de 1871 est la p\u00E9riode pendant laquelle le plus de journaux furent cr\u00E9\u00E9s. Si la libert\u00E9 de la presse fut restreinte, si de nombreux journaux furent supprim\u00E9s, la Commune n'emp\u00EAcha jamais la parution de nouveaux journaux. Ainsi, les journaux supprim\u00E9s pouvaient repara\u00EEtre sous un nouveau titre le lendemain. L'historien Quentin Deluermoz note : \u00AB La libert\u00E9 de la presse, mise en place d\u00E8s septembre 1870, est encourag\u00E9e par la Commune, puis largement limit\u00E9e fin avril : les titres les plus anticommunards sont alors interdits \u00BB."@fr . "189741412"^^ . "39273"^^ . . "19825"^^ . . . .