"John Draper"@pt . . . . "John T. Draper"@de . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Captain Crunch"@pl . . "\u30B8\u30E7\u30F3\u30FBT\u30FB\u30C9\u30EC\u30FC\u30D1\u30FC"@ja . "3236"^^ . . . "John Draper"@es . . . . . . . "John Draper"@fr . . . . "176248240"^^ . . . . "741752"^^ . "John Draper, connu \u00E9galement sous le nom Captain Crunch, est un phreaker am\u00E9ricain. Son surnom provenait des bo\u00EEtes de c\u00E9r\u00E9ales Cap'n Crunch de la soci\u00E9t\u00E9 Quaker Oats. Il est \u00E9galement un ami du phreaker aveugle . Vers la fin des ann\u00E9es 60, Quaker Oats offrait avec ses c\u00E9r\u00E9ales un sifflet pour les enfants. Ce sifflet accord\u00E9 sur le mi 6 [un peu bas - \u00E9chelle fran\u00E7aise] permettait de reproduire la tonalit\u00E9 \u00E0 2600 Hz utilis\u00E9e par la compagnie t\u00E9l\u00E9phonique Bell pour ses lignes longue distance. Il a lui-m\u00EAme d\u00E9menti cette l\u00E9gende dans le documentaire \u00AB Pir@tage \u00BB, dans lequel il raconte qu'un jour, en faisant des tests sur un \u00E9metteur radio FM sur lequel il a communiqu\u00E9 son num\u00E9ro de t\u00E9l\u00E9phone, ce fut Joe Engressia qui lui r\u00E9pondit, en lui disant qu'il hackait lui aussi mais seulement les t\u00E9l\u00E9phones et qu'il connaissait une mani\u00E8re pour t\u00E9l\u00E9phoner gratuitement, en \u00E9mettant un signal de 2 600 hertz. Plus pr\u00E9cis\u00E9ment, une ligne longue distance inoccup\u00E9e \u00E9mettait en permanence une tonalit\u00E9 de 2 600 Hz, indiquant \u00E0 un central t\u00E9l\u00E9phonique qu'elle est pr\u00EAte \u00E0 recevoir un appel. Cette propri\u00E9t\u00E9 d\u00E9couverte par hasard a \u00E9t\u00E9 exploit\u00E9e par les phreakers pour passer gratuitement des appels longue distance, le plus souvent par le biais d'un dispositif \u00E9lectronique servant entre autres \u00E0 g\u00E9n\u00E9rer la fameuse tonalit\u00E9 de 2600 hertz : la blue box. John Draper \u00E9tait l'un des pionniers de l'utilisation et de la propagation de cette technique. En pratique, le phreaker appelle un num\u00E9ro vert distant. Le central t\u00E9l\u00E9phonique local attribue alors une ligne longue distance inoccup\u00E9e et enregistre l'appel sans facturation. Avant que le central distant appel\u00E9 ne d\u00E9croche, le phreaker \u00E9met la tonalit\u00E9 2 600 Hz, faisant croire \u00E0 la ligne interurbaine qu'il a raccroch\u00E9 et qu'elle est d\u00E9sormais libre d'accepter un autre appel, alors que le central local du phreaker n'a re\u00E7u aucun signal indiquant que l'appel est termin\u00E9. Disposant toujours d'une ligne inoccup\u00E9e, il compose alors le vrai num\u00E9ro qu'il d\u00E9sire appeler, le central croyant qu'il s'agit toujours d'un appel sur num\u00E9ro vert. Captain Crunch a \u00E9t\u00E9 condamn\u00E9 \u00E0 deux mois de prison en 1976 \u00E0 la prison f\u00E9d\u00E9rale de Lompoc, en Californie. Ce fut le verdict du proc\u00E8s quand il a \u00E9t\u00E9 arr\u00EAt\u00E9 quatre ans plus t\u00F4t en train de faire du phreaking \u00E0 Sydney, en Australie, cinq \u00C9tats des \u00C9tats-Unis ayant d\u00E9cid\u00E9 de poursuivre le piratage t\u00E9l\u00E9phonique."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "John Thomas Draper"@ca . . . . . . . . . . . . . . . . "John Draper, connu \u00E9galement sous le nom Captain Crunch, est un phreaker am\u00E9ricain. Son surnom provenait des bo\u00EEtes de c\u00E9r\u00E9ales Cap'n Crunch de la soci\u00E9t\u00E9 Quaker Oats. Il est \u00E9galement un ami du phreaker aveugle . Vers la fin des ann\u00E9es 60, Quaker Oats offrait avec ses c\u00E9r\u00E9ales un sifflet pour les enfants. Ce sifflet accord\u00E9 sur le mi 6 [un peu bas - \u00E9chelle fran\u00E7aise] permettait de reproduire la tonalit\u00E9 \u00E0 2600 Hz utilis\u00E9e par la compagnie t\u00E9l\u00E9phonique Bell pour ses lignes longue distance."@fr . . . . . . . . . .