. "Helen Epega"@fr . . . . . . "166545348"^^ . . . . . . . . . . . "12557020"^^ . . . . . . "\u6D77\u502B\u00B7\u57C3\u4F69\u52A0"@zh . "4305"^^ . "\u0647\u064A\u0644\u064A\u0646 \u067E\u0627\u0631\u0643\u064A\u0631 \u0686\u064A\u0646 \u0627\u064A\u0633\u064A\u0628\u0648\u0631"@arz . . . . . . . . . . . . . . . "Helen Isibor Epega (Helen Parker-Jayne Isibor), aussi appel\u00E9e The Venus Bushfires (qui peut \u00EAtre traduit en : La V\u00E9nus des feux de brousse), n\u00E9e en 1981, est une chanteuse nig\u00E9riane d'op\u00E9ra, auteure, compositrice et artiste de performance. Elle a \u00E9crit et interpr\u00E8te un op\u00E9ra en pidgin nig\u00E9rian. Inspir\u00E9 par Parsifal de Richard Wagner, sa Chanson de la Reine : Un Op\u00E9ra en pidgin (Song Queen: A Pidgin Opera) est pr\u00E9sent\u00E9 \u00E0 Londres en juillet 2015. Le pidgin nigerian est une langue populaire inspir\u00E9e du portugais, de l\u2019anglais et du patois jama\u00EFcain. Il compte environ 75 millions de locuteurs (sur 190 millions d\u2019habitants au Nigeria), et constitue la seule langue v\u00E9hiculaire parl\u00E9e quasiment \u00E0 travers tout le Nigeria."@fr . . . . "Helen Parker-Jayne Isibor"@en . . . . . "Helen Isibor Epega (Helen Parker-Jayne Isibor), aussi appel\u00E9e The Venus Bushfires (qui peut \u00EAtre traduit en : La V\u00E9nus des feux de brousse), n\u00E9e en 1981, est une chanteuse nig\u00E9riane d'op\u00E9ra, auteure, compositrice et artiste de performance. Elle a \u00E9crit et interpr\u00E8te un op\u00E9ra en pidgin nig\u00E9rian. Inspir\u00E9 par Parsifal de Richard Wagner, sa Chanson de la Reine : Un Op\u00E9ra en pidgin (Song Queen: A Pidgin Opera) est pr\u00E9sent\u00E9 \u00E0 Londres en juillet 2015. Le pidgin nigerian est une langue populaire inspir\u00E9e du portugais, de l\u2019anglais et du patois jama\u00EFcain. Il compte environ 75 millions de locuteurs (sur 190 millions d\u2019habitants au Nigeria), et constitue la seule langue v\u00E9hiculaire parl\u00E9e quasiment \u00E0 travers tout le Nigeria."@fr . . . . . . . . . . . .