. . . . . . . . . . . "gaz incolore \u00E0 temp\u00E9rature et pression ambiante ; gaz liqu\u00E9fi\u00E9 : liquide incolore \u00E0 bleu"@fr . . . . . . "" . . . . . . . . "Dioxyg\u00E8ne"@fr . . . . . "O ; R8"@fr . . . "O"@fr . . . . . . . . . . . . "190834423"^^ . "O=O"@fr . . . . "dans l'eau \u00E0 : 3,1 ml/100 ml,"@fr . . . . . . . . . ""@fr . . . . "100"^^ . "1S/O2/c1-2" . . . . . . . . . . . "231-956-9" . . . . "8"^^ . . . . . . . . "" . . . . . . . . . . . . . "dioxyg\u00E8ne"@fr . . "" . . "2"^^ . . . . . . . . . . . . . . . ","@fr . . . . . "31.999"^^ . . . . . . . . . "47185"^^ . . "Le dioxyg\u00E8ne, commun\u00E9ment nomm\u00E9 oxyg\u00E8ne, est une substance constitu\u00E9e de mol\u00E9cules O2 (constitu\u00E9es chacune de deux atomes d'oxyg\u00E8ne). Gazeux dans les conditions normales de temp\u00E9rature et de pression, incolore, inodore et insipide, il participe \u00E0 des r\u00E9actions d'oxydor\u00E9duction, essentiellement la combustion, la corrosion et la respiration. Le dioxyg\u00E8ne est l'une des formes allotropiques de l'oxyg\u00E8ne. L'appellation \u00AB oxyg\u00E8ne \u00BB sans autre pr\u00E9cision est ambigu\u00EB parce que ce terme peut d\u00E9signer l'\u00E9l\u00E9ment oxyg\u00E8ne (O) ou le gaz oxyg\u00E8ne (O2). Bien que l'ozone O3 soit aussi un compos\u00E9 mol\u00E9culaire de l'\u00E9l\u00E9ment oxyg\u00E8ne, c'est g\u00E9n\u00E9ralement du dioxyg\u00E8ne dont on parle quand on utilise les termes \u00AB oxyg\u00E8ne mol\u00E9culaire \u00BB et \u00AB mol\u00E9cule d'oxyg\u00E8ne \u00BB. D\u00E9couvert ind\u00E9pendamment en 1772 par le Su\u00E9dois Carl Wilhelm Scheele \u00E0 Uppsala, et en 1774 par le Britannique Joseph Priestley dans le Wiltshire, l'oxyg\u00E8ne a \u00E9t\u00E9 nomm\u00E9 ainsi en 1777 par le Fran\u00E7ais Antoine Lavoisier et son \u00E9pouse \u00E0 Paris \u00E0 partir du grec ancien \u1F40\u03BE\u03CD\u03C2 / ox\u00FAs (\u00AB aigu \u00BB, c'est-\u00E0-dire ici \u00AB acide \u00BB), et \u03B3\u03B5\u03BD\u03AE\u03C2 / gen\u1EBFs (\u00AB g\u00E9n\u00E9rateur \u00BB), car Lavoisier pensait \u00E0 tort \u2014 oxydation et acidification \u00E9tant reli\u00E9es \u2014 que : \u00AB Nous avons donn\u00E9 \u00E0 la base de la portion respirable de l'air le nom d'oxyg\u00E8ne, en le d\u00E9rivant de deux mots grecs \u1F40\u03BE\u03CD\u03C2, acide et \u03B3\u03B5\u03AF\u03BD\u03BF\u03BC\u03B1\u03B9, j'engendre, parce qu'en effet une des propri\u00E9t\u00E9s les plus g\u00E9n\u00E9rales de cette base [Lavoisier parle de l'oxyg\u00E8ne] est de former des acides en se combinant avec la plupart des substances. Nous appellerons donc gaz oxyg\u00E8ne la r\u00E9union de cette base avec le calorique. \u00BB Constituant 20,95 % en volume de l'atmosph\u00E8re terrestre (23,2 % en masse), le dioxyg\u00E8ne est un gaz indispensable \u00E0 la plupart des formes de vie actuelles, auxquelles il fournit le comburant n\u00E9cessaire au fonctionnement des cellules (respiration cellulaire). Dans l'environnement aquatique, le dioxyg\u00E8ne dissous est \u00E9galement n\u00E9cessaire \u00E0 la vie de tr\u00E8s nombreuses esp\u00E8ces. Seules les arch\u00E9es et une fraction minoritaire des bact\u00E9ries (dites ana\u00E9robies), peuvent se passer du dioxyg\u00E8ne. Ce sont les bact\u00E9ries ana\u00E9robies productrices de dioxyg\u00E8ne qui ont oxyd\u00E9 l'atmosph\u00E8re primitive initialement r\u00E9ductrice, puis l'ont enrichie en dioxyg\u00E8ne : ce dernier est pr\u00E9sent en abondance dans l'air depuis la Grande Oxydation, il y a environ 2,4 milliards d'ann\u00E9es."@fr . . . . "Le dioxyg\u00E8ne, commun\u00E9ment nomm\u00E9 oxyg\u00E8ne, est une substance constitu\u00E9e de mol\u00E9cules O2 (constitu\u00E9es chacune de deux atomes d'oxyg\u00E8ne). Gazeux dans les conditions normales de temp\u00E9rature et de pression, incolore, inodore et insipide, il participe \u00E0 des r\u00E9actions d'oxydor\u00E9duction, essentiellement la combustion, la corrosion et la respiration. Le dioxyg\u00E8ne est l'une des formes allotropiques de l'oxyg\u00E8ne."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "oxyg\u00E8ne mol\u00E9culaire"@fr . . . . . . "S2, S17"@fr . . . . . . "oxyg\u00E8ne mol\u00E9culaire"@fr . . . . . . . . . "en"@fr . . . . . . . . . . "36137"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "1"^^ . . . . . . . . . . . . "Repr\u00E9sentations du dioxyg\u00E8ne."@fr . . . . . . . . . . . "" . . "lits rouges"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Red beds"@fr . . . . . . "\u00E0 :"@fr . . . . . . . . "Dioxyg\u00E8ne"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "MYMOFIZGZYHOMD-UHFFFAOYSA-N"@fr . . "R8"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "O=O" . . . . . . . . . . . . . ""@fr . . . . . . . . . . "dioxyg\u00E8ne"@fr . "Dioxyg\u00E8ne"@fr . ""@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .