. . . . . . "Buddhismo in Laos"@it . . . . . "13671581"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Le bouddhisme au Laos est la principale religion de ce pays, dans sa branche Therav\u0101da, pratiqu\u00E9e par 66% de la population. On retrouve un chiffre similaire de 65% dans le CIA World Factbook. Toutefois, ce pourcentage varie selon les provinces. Celles \u00E0 minorit\u00E9 ethnique comme Sekong comptent environ 20% de bouddhistes en 2005, tandis que les provinces majoritairement peupl\u00E9es par l'ethnie Lao, comme Champassak, atteignent 92% la m\u00EAme ann\u00E9e. Il existe \u00E9galement des bouddhistes Mahayana chinois ou vietnamiens, principalement dans les centres urbains. D'autre part, le bouddhisme laotien reprend des croyances animistes et celles des esprits ancestraux, en particulier dans les zones rurales. Et il coexiste avec les \u00AB religions populaires \u00BB (folk religions) que l'on peut regrouper sous le terme g\u00E9n\u00E9ral d'animisme et qui regroupent environ un tiers de la population. Ces croyances et pratiques pr\u00E9sentent des \u00E9l\u00E9ments syncr\u00E9tiques du bouddhisme dont elles incluent certains \u00E9l\u00E9ments."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "Le bouddhisme au Laos est la principale religion de ce pays, dans sa branche Therav\u0101da, pratiqu\u00E9e par 66% de la population. On retrouve un chiffre similaire de 65% dans le CIA World Factbook. Toutefois, ce pourcentage varie selon les provinces. Celles \u00E0 minorit\u00E9 ethnique comme Sekong comptent environ 20% de bouddhistes en 2005, tandis que les provinces majoritairement peupl\u00E9es par l'ethnie Lao, comme Champassak, atteignent 92% la m\u00EAme ann\u00E9e. Il existe \u00E9galement des bouddhistes Mahayana chinois ou vietnamiens, principalement dans les centres urbains."@fr . . . . . . . "38840"^^ . . . . "182781835"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0411\u0443\u0434\u0434\u0438\u0437\u043C \u0432 \u041B\u0430\u043E\u0441\u0435"@ru . . . . . . . . "Bouddhisme au Laos"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .