. . . . . . "La Construction romaine"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Tableaux d\u00E9taill\u00E9s des prix de tous les ouvrages du b\u00E2timent"@fr . . "\u30A2\u30FC\u30C1"@ja . "367"^^ . . . . . . "mat\u00E9riaux et techniques"@fr . . . "Arc (architecture)"@fr . . . "Arko"@war . . "Jean-Pierre"@fr . . . . . . . . . . . "2708408984"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "V\u00F2m"@vi . . . . "Arku (arkitektura)"@eu . . . . . . "J.-M."@fr . . "L\u2019arc est l'\u00E9l\u00E9ment d'ossature de directrice courbe ou polygonale, qui enjambe l'espace ouvert entre deux piliers (pieds-droits, etc.) ou murs en transmettant toute la charge qu'il supporte aux appuis (cul\u00E9es, contreforts, etc.), moyennant une force oblique d\u00E9nomm\u00E9e \u00AB pouss\u00E9e \u00BB."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "56000"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . "Arco (architettura)"@it . . . . . . . . . . . "6"^^ . . . . . . . . . . . . . "Arch"@en . . . . "Arcs"@fr . . . . . . "Adam"@fr . . . . . . "Boog (bouwkunde)"@nl . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "190458436"^^ . . . . . . . . . . . . . "Morisot"@fr . . . . . . . . . "Carilian"@fr . . . . . . . . . "1814"^^ . . . . . "fr"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Arc (arquitectura)"@ca . . . . . . . . . . . . . . . . "2011"^^ . . . . . . . . . . "Adam"@fr . . . "15355"^^ . "Bogen (Architektur)"@de . . . . . . . . . . . . "Category:Arches"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "Bogen (Architektur)"@als . . . . . . "\u0410\u0440\u043A\u0430"@ru . . . . . . . . "Jean-Pierre Adam"@fr . . . . . . . . . . . . . . . "Arco"@pt . . . . . . . . "Morisot"@fr . "\u0410\u0440\u043A\u0430"@uk . . . . "Grands Manuels picards"@fr . . . . . "978"^^ . "L\u2019arc est l'\u00E9l\u00E9ment d'ossature de directrice courbe ou polygonale, qui enjambe l'espace ouvert entre deux piliers (pieds-droits, etc.) ou murs en transmettant toute la charge qu'il supporte aux appuis (cul\u00E9es, contreforts, etc.), moyennant une force oblique d\u00E9nomm\u00E9e \u00AB pouss\u00E9e \u00BB. En architecture s'est toujours pr\u00E9sent\u00E9 le probl\u00E8me de combler l'espace entre deux appuis. Avant l'invention du b\u00E9ton arm\u00E9 et des poutrelles en acier, la fa\u00E7on la plus simple de faire \u00E9tait d'utiliser une seule pi\u00E8ce de linteau, ou de poutre qui pouvait \u00EAtre en bois ou en pierre, et lorsqu'il n'y avait pas les pi\u00E8ces de la taille requise, diverses pi\u00E8ces plus petites, travaill\u00E9es de sorte qu'elles puissent r\u00E9sister aux sollicitations m\u00E9caniques en jeu. Fonctionnellement, une arche est r\u00E9alis\u00E9e dans la longueur d'un mur comme couronnement d'une ouverture (une baie, son embrasure) ou d'une trav\u00E9e. Traditionnellement, un arc est compos\u00E9 de claveaux (en pierre de taille, brique, adobe) qui travaillent toujours en compression et qui peuvent adopter des formes et courbes diverses. Cet ensemble constructif permet donc d'enjamber des espaces relativement importants via l'appareillage de pi\u00E8ces de dimensions r\u00E9duites. Quoiqu'assez simple, et d'usage commun dans la construction de structures depuis des temps recul\u00E9s, le fonctionnement des arcs n'a \u00E9t\u00E9 \u00E9tudi\u00E9 scientifiquement qu'\u00E0 partir du premier tiers du XIXe si\u00E8cle. Avant cela, la conception des arches et des vo\u00FBtes, mais aussi les d\u00F4mes, faisait rentrer en jeu des m\u00E9thodes empiriques g\u00E9om\u00E9triques qui permettaient de d\u00E9terminer l'\u00E9paisseur \u00E0 donner aux membres, ou la r\u00E9sistance et la forme \u00E0 donner aux cul\u00E9es. Ces m\u00E9thodes constructives manquaient de fondement scientifique et se basaient sur la capacit\u00E9 surdimensionn\u00E9e des structures, g\u00E9n\u00E9ralement des appuis ou l'usage de tirants. L'\u00E9mergence de nouvelles disciplines d'\u00E9tude \u00E0 partir du XIXe si\u00E8cle a largement permis de th\u00E9oriser de l'arc, son travail, et les causes de son effondrement. L'emploi de nouveaux mat\u00E9riaux constructifs, au d\u00E9but du XXe si\u00E8cle, comme le fer forg\u00E9, l'acier et le b\u00E9ton arm\u00E9 a permis \u00E9galement la construction d'arcs continus de grande taille, d\u00E9pla\u00E7ant aussi le domaine de sa construction dans le champ d'expertise de l'ing\u00E9nierie plus que celui de la ma\u00E7onnerie ou de l'architecture."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . .