. "Ant\u00F3nio Francisco Ferreira da Silva Porto (Porto, 24 ao\u00FBt 1817 - Kuito, 2 avril 1890) est un commer\u00E7ant et un explorateur portugais qui devint c\u00E9l\u00E8bre pour son activit\u00E9 en Afrique: pendant longtemps, il restera le seul europ\u00E9en connu par les populations du plateau de Bi\u00E9. Bien avant que les explorateurs europ\u00E9ens traversent l'Afrique, cet \u00AB africaniste \u00BB s'\u00E9tablit comme commer\u00E7ant au milieu du sert\u00E3o angolais."@fr . . . . . . "Ant\u00F3nio Francisco da Silva Porto"@es . . . . . "7216375"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . "2323"^^ . . . . . . . "Ant\u00F3nio Francisco Ferreira da Silva Porto (Porto, 24 ao\u00FBt 1817 - Kuito, 2 avril 1890) est un commer\u00E7ant et un explorateur portugais qui devint c\u00E9l\u00E8bre pour son activit\u00E9 en Afrique: pendant longtemps, il restera le seul europ\u00E9en connu par les populations du plateau de Bi\u00E9. Bien avant que les explorateurs europ\u00E9ens traversent l'Afrique, cet \u00AB africaniste \u00BB s'\u00E9tablit comme commer\u00E7ant au milieu du sert\u00E3o angolais. Son exp\u00E9rience fut pr\u00E9cieuse pour les commer\u00E7ants et les aventuriers qui s'aventur\u00E8rent \u00E0 l'int\u00E9rieur des terres angolaises. Il incarnera le mythe colonial portugais, renforc\u00E9 encore par sa mort tragique: le 1er avril 1890, il s'immole par le feu, envelopp\u00E9 dans un drapeau portugais, dans la r\u00E9gion de Kuito en Angola. Son geste vise \u00E0 d\u00E9noncer l'\u00E9chec des n\u00E9gociations entre les responsables angolais et les troupes portugaises de Paiva Couceiro. Celles-ci stationnaient dans la r\u00E9gion malgr\u00E9 les promesses de Silva Porto. Paiva Couceiro attribuera ce suicide \u00E0 l'ultimatum britannique. L'\u00E9moi national profitera aux r\u00E9publicains; une foule immense assiste \u00E0 ses fun\u00E9railles \u00E0 Porto."@fr . . . . . . . . . . "Ant\u00F3nio Francisco da Silva Porto"@fr . . . . . . "178746798"^^ . . . . . "Ant\u00F3nio da Silva Porto"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . .