. . . . . . . . . . "Vivienne Goonewardene"@fr . . . . . . . "185663413"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Vivienne Goonewardene (singhalais : \u0DC0\u0DBA\u0DBD\u0DA7\u0DCA \u0DC0\u0DD2\u0DC0\u0DD2\u0DBA\u0DB1\u0DCA \u0D9C\u0DD4\u0DB1\u0DCA\u0DC0\u0DBB\u0DCA\u0DB0\u0DB1, tamoul : \u0BB5\u0BAF\u0BB2\u0B9F\u0BCD \u0BB5\u0BBF\u0BB5\u0BBF\u0BAF\u0BC6\u0BA9\u0BCD \u0B95\u0BC2\u0BA9\u0BB5\u0BB0\u0BCD\u0BA4\u0BA9 ; 18 septembre 1916 - 3 octobre 1996), commun\u00E9ment connue sous le nom de Vivi, est une militante anticolonialiste et politicienne sri-lankaise, l'une des premi\u00E8res femmes ministres au monde. Figure cl\u00E9 \u00E0 la fois du mouvement ind\u00E9pendantiste indien et du mouvement ind\u00E9pendantiste sri-lankais, ses efforts sont c\u00E9l\u00E9br\u00E9s chaque ann\u00E9e le jour de l'ind\u00E9pendance du Sri Lanka. Elle \u00E9tait la premi\u00E8re et, \u00E0 ce jour, la seule femme H\u00E9ros nationale du Sri Lanka. N\u00E9e dans une famille ais\u00E9e conservatrice pro-monarchique, Goonewardene fait ses \u00E9tudes dans des \u00E9coles bouddhistes anglophones, parlant le singhalais et l'hindi ainsi que l'anglais. Alors qu'elle est \u00E0 l'\u00E9cole secondaire, Goonewardene s'implique dans le mouvement anti-imp\u00E9rialiste , luttant contre les injustices per\u00E7ues. Elle se porte volontaire pendant l'\u00E9pid\u00E9mie de paludisme de 1934, date \u00E0 laquelle elle est t\u00E9moin de la malnutrition rampante des pauvres. Ses oncles maternels, et , sont des dirigeants socialistes qui l'encouragent \u00E0 poursuivre des \u00E9tudes sup\u00E9rieures. Elle rencontre son mari, , fondateur le premier parti politique du Sri Lanka, le Parti Lanka Sama Samaja en 1935, et en est la secr\u00E9taire g\u00E9n\u00E9rale de 1935 \u00E0 1977. Au cours de sa carri\u00E8re politique, elle joue un r\u00F4le d\u00E9terminant dans la mont\u00E9e du Parti Lanka Sama Samaja. Avec le d\u00E9but de la Seconde Guerre mondiale, Goonewardene \u00E9chappe \u00E0 l'arrestation en fuyant vers l'Inde sous un faux nom. L\u00E0, elle s'immerge dans le mouvement Quit India, qui aboutit \u00E0 l'ind\u00E9pendance de l'Inde de la Grande-Bretagne en 1947. \u00C0 son retour au Sri Lanka, elle joue un r\u00F4le important dans l'ind\u00E9pendance du Sri Lanka de la Grande-Bretagne en 1948. Des ann\u00E9es 40 aux ann\u00E9es 60, le Parti Lanka Sama Samaja est le principal parti d'opposition du Sri Lanka. Goonewardene est une membre \u00E9minente du Parlement et pr\u00E9sidente du Syndicat des travailleurs du gouvernement local de Ceylan de 1949 jusqu'\u00E0 sa mort. Gr\u00E2ce \u00E0 cela, Goonewardene tente de r\u00E9former l'ancienne colonie britannique de Ceylan en une r\u00E9publique socialiste en nationalisant des organisations dans les secteurs bancaire, de l'\u00E9ducation, de l'industrie, des m\u00E9dias et du commerce. Dans les ann\u00E9es 1960, le parti dirige la coalition du et, gr\u00E2ce \u00E0 son effondrement \u00E9lectoral, am\u00E8ne la premi\u00E8re femme chef d'\u00C9tat au pouvoir."@fr . . . . . . . . . "Vivienne Goonewardene"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "13673075"^^ . . "Vivienne Goonewardene (singhalais : \u0DC0\u0DBA\u0DBD\u0DA7\u0DCA \u0DC0\u0DD2\u0DC0\u0DD2\u0DBA\u0DB1\u0DCA \u0D9C\u0DD4\u0DB1\u0DCA\u0DC0\u0DBB\u0DCA\u0DB0\u0DB1, tamoul : \u0BB5\u0BAF\u0BB2\u0B9F\u0BCD \u0BB5\u0BBF\u0BB5\u0BBF\u0BAF\u0BC6\u0BA9\u0BCD \u0B95\u0BC2\u0BA9\u0BB5\u0BB0\u0BCD\u0BA4\u0BA9 ; 18 septembre 1916 - 3 octobre 1996), commun\u00E9ment connue sous le nom de Vivi, est une militante anticolonialiste et politicienne sri-lankaise, l'une des premi\u00E8res femmes ministres au monde. Figure cl\u00E9 \u00E0 la fois du mouvement ind\u00E9pendantiste indien et du mouvement ind\u00E9pendantiste sri-lankais, ses efforts sont c\u00E9l\u00E9br\u00E9s chaque ann\u00E9e le jour de l'ind\u00E9pendance du Sri Lanka. Elle \u00E9tait la premi\u00E8re et, \u00E0 ce jour, la seule femme H\u00E9ros nationale du Sri Lanka."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "20841"^^ .