. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Tristan Ruhlmann"@fr . . . . . . . . . . . "3949"^^ . "516390"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . "180797329"^^ . . . . . . . "Tristan Ruhlmann, n\u00E9 le 16 juillet 1923 \u00E0 Levallois-Perret (Seine) et mort le 22 juillet 1982 \u00E0 Brive-la-Gaillarde (Corr\u00E8ze), est un ma\u00EEtre-verrier fran\u00E7ais. N\u00E9 de parents mulhousiens, sa carri\u00E8re d\u00E9bute en 1946 \u00E0 Haguenau aux \u00E9tablissements Bohl, rue de la Ferme Falk, dont il exerce la g\u00E9rance. Dans cette m\u00EAme ville, jusqu'en 1964, il exploite ensuite sa propre entreprise au 3, rue de la Redoute. De 1964 \u00E0 1974, il s'installe avec sa famille \u00E0 Schweighouse-sur-Moder, mais il revient \u00E0 Haguenau de 1972 \u00E0 1974, avant de s'exiler en Sarre o\u00F9 il \u0153uvre jusqu'en 1979. Pour raison de sant\u00E9, Tristan cesse alors toute activit\u00E9 artistique. Il fut l'un des promoteurs de la technique des vitraux en dalle de verre dans du b\u00E9ton. On lui doit notamment la mise au point de la technique du verre sur tranche, qui permet de donner de la finesse au travail de l'artiste. Menant une \u00AB vie d'artiste \u00BB, Tristan a eu toute sa vie la fi\u00E8vre du voyage. D'abord en Alsace, puis en Corr\u00E8ze, o\u00F9 il rencontre son \u00E9pouse, en Alsace \u00E0 Haguenau, \u00E0 Schweighouse-sur-Moder et en Allemagne en Sarre. Ses \u0153uvres sont dispers\u00E9es dans le monde entier, de New York \u00E0 Munich en passant par Paris (Mus\u00E9e d'Art Moderne) Toronto et Coventry (la nouvelle cath\u00E9drale). En Alsace, ses \u0153uvres peuvent \u00EAtre admir\u00E9es dans la chapelle du couvent du Bischenberg sur les hauteurs de Bischoffsheim ainsi que dans de nombreuses \u00E9glises dont celles de Nehwiller-pr\u00E8s-W\u0153rth (\u00E9glise protestante), H\u00E9geney (\u00E9glise Sainte-Marguerite), Niederlauterbach (Chapelle Notre-Dame-du-Ch\u00EAne), Baerenthal (\u00E9glise Sainte-Catherine), Kriegsheim, Pfettisheim, Betschdorf (\u00E9glise mixte de l'Assomption de la Vierge), Truchtersheim (\u00E9glise Saints Pierre-et-Paul), Hatten, Rittershoffen (vitrail \u0153cum\u00E9nique), Haguenau (\u00E9glise Saint-Joseph, chapelle Sainte-Philom\u00E8ne, chapelle de la clinique Saint-Fran\u00E7ois, \u00E0 l'angle de la rue Colom\u00E9 et du boulevard De Lattre de Tassigny, chapelle Saint G\u00E9rard, au 11, route de Wintershouse), Ribeauvill\u00E9 (chapelle Sainte-Famille), Horbourg-Wihr (\u00E9glise Saint-Michel), Kunheim (\u00E9glise de la Trinit\u00E9). En Angleterre, toutes les fen\u00EAtres de l'\u00E9glise St Peter in Hall Green, Birmingham ont \u00E9t\u00E9 r\u00E9alis\u00E9es par Ruhlmann en 1963 et 1970."@fr . . . . . . . "Tristan Ruhlmann, n\u00E9 le 16 juillet 1923 \u00E0 Levallois-Perret (Seine) et mort le 22 juillet 1982 \u00E0 Brive-la-Gaillarde (Corr\u00E8ze), est un ma\u00EEtre-verrier fran\u00E7ais. N\u00E9 de parents mulhousiens, sa carri\u00E8re d\u00E9bute en 1946 \u00E0 Haguenau aux \u00E9tablissements Bohl, rue de la Ferme Falk, dont il exerce la g\u00E9rance. Dans cette m\u00EAme ville, jusqu'en 1964, il exploite ensuite sa propre entreprise au 3, rue de la Redoute. De 1964 \u00E0 1974, il s'installe avec sa famille \u00E0 Schweighouse-sur-Moder, mais il revient \u00E0 Haguenau de 1972 \u00E0 1974, avant de s'exiler en Sarre o\u00F9 il \u0153uvre jusqu'en 1979. Pour raison de sant\u00E9, Tristan cesse alors toute activit\u00E9 artistique."@fr . . . . "Tristan Ruhlmann"@de . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .