. . . . "Ch\u1EE5p c\u1EAFt l\u1EDBp vi t\u00EDnh"@vi . . . . "Tomografia komputerowa"@pl . . . . . . . . . . . . . . "25145"^^ . . . . "\u041A\u043E\u043C\u043F'\u044E\u0442\u0435\u0440\u043D\u0430 \u0442\u043E\u043C\u043E\u0433\u0440\u0430\u0444\u0456\u044F"@uk . . . . . . . . . . . . . "La tomodensitom\u00E9trie (TDM), dite aussi scanographie, tomographie axiale calcul\u00E9e par ordinateur (TACO), CT-scan (CT : computed tomography), CAT-scan (CAT : computer-assisted tomography), ou simplement scanner ou scanneur pour l'appareil, est une technique d'imagerie m\u00E9dicale qui consiste \u00E0 mesurer l'absorption des rayons X par les tissus puis, par traitement informatique, \u00E0 num\u00E9riser et enfin reconstruire des images 2D ou 3D des structures anatomiques. Pour acqu\u00E9rir les donn\u00E9es, on emploie la technique d'analyse tomographique ou \u00AB par coupes \u00BB, en soumettant le patient au balayage d'un faisceau de rayons X."@fr . "1"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Tomografiez jedet"@br . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Tomografia computada"@ca . . . . . . . . . . . . "l'int\u00E9rieur de morceaux d'arbres pour y observer les structures internes et \u00E9picormiques"@fr . . . . . . . . "Dr Alain Taieb"@fr . . . . "1"^^ . . . "Passer un scanner"@fr . . . . . . . . . . . "Ardenais"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "Dr Sophie Taieb"@fr . . . . . . . "\u041A\u043E\u043C\u043F\u044C\u044E\u0442\u0435\u0440\u043D\u0430\u044F \u0442\u043E\u043C\u043E\u0433\u0440\u0430\u0444\u0438\u044F"@ru . . . . . . . "Les Ascl\u00E9piades"@fr . . "484262"^^ . . . . . "Tomodensitom\u00E9trie"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "126"^^ . "\u062A\u0635\u0648\u064A\u0631 \u0645\u0642\u0637\u0639\u064A \u0645\u062D\u0648\u0633\u0628"@ar . . . . "CT scan"@en . . "La tomodensitom\u00E9trie (TDM), dite aussi scanographie, tomographie axiale calcul\u00E9e par ordinateur (TACO), CT-scan (CT : computed tomography), CAT-scan (CAT : computer-assisted tomography), ou simplement scanner ou scanneur pour l'appareil, est une technique d'imagerie m\u00E9dicale qui consiste \u00E0 mesurer l'absorption des rayons X par les tissus puis, par traitement informatique, \u00E0 num\u00E9riser et enfin reconstruire des images 2D ou 3D des structures anatomiques. Pour acqu\u00E9rir les donn\u00E9es, on emploie la technique d'analyse tomographique ou \u00AB par coupes \u00BB, en soumettant le patient au balayage d'un faisceau de rayons X. Bien que la possibilit\u00E9 th\u00E9orique de cr\u00E9er de tels appareils ait \u00E9t\u00E9 connue depuis le d\u00E9but du XXe si\u00E8cle, ce n'est qu'au d\u00E9but des ann\u00E9es 1970 qu'apparaissent les premiers imageurs coupl\u00E9s \u00E0, ou \u00AB assist\u00E9s \u00BB par, des ordinateurs suffisamment puissants pour \u00EAtre capables de r\u00E9aliser rapidement les calculs n\u00E9cessaires \u00E0 la reconstruction des images. Pour la mise au point de cette technique, Godfrey Newbold Hounsfield et Allan MacLeod Cormack ont \u00E9t\u00E9 r\u00E9compens\u00E9s par le Prix Nobel de physiologie ou m\u00E9decine en 1979. Dans les appareils modernes, l'\u00E9metteur de rayons X (tube \u00E0 rayons X) effectue une rotation autour du patient en m\u00EAme temps que les r\u00E9cepteurs situ\u00E9s en face, et qui ont pour fonction de mesurer l'intensit\u00E9 des rayons apr\u00E8s qu'ils ont \u00E9t\u00E9 partiellement absorb\u00E9s durant leur passage \u00E0 travers le corps. Les donn\u00E9es obtenues sont ensuite trait\u00E9es par ordinateur, ce qui permet de recomposer des vues en coupes bidimensionnelles puis des vues en trois dimensions des organes. On peut faire ressortir le contraste de certains tissus, en particulier des vaisseaux sanguins, en injectant un produit dit \u00AB de contraste \u00BB (un complexe de l'iode) qui a la propri\u00E9t\u00E9 de fortement absorber les rayons X et donc de rendre tr\u00E8s visibles les tissus o\u00F9 ce produit est pr\u00E9sent (qui apparaissent alors hyperdenses, c'est-\u00E0-dire plus \u00AB blancs \u00BB sur l'image). Gr\u00E2ce aux tomodensitom\u00E8tres multid\u00E9tecteurs (ou multi-barrettes) \u00E0 acquisition spiral\u00E9e (d\u00E9placement lent de la table d'examen durant l'acquisition), on obtient depuis les ann\u00E9es 1990 une exploration tr\u00E8s pr\u00E9cise d'un large volume du corps humain pour un temps d'acquisition de quelques secondes. Comme pour toute radiographie, l'exposition r\u00E9p\u00E9t\u00E9e aux rayons X peut \u00EAtre nocive pour l'organisme, mais le rapport b\u00E9n\u00E9fice/risque li\u00E9 \u00E0 l'irradiation penche largement en faveur de la tomodensitom\u00E9trie, lorsque la demande d'examen est justifi\u00E9e, ce qui en fait une technique d'imagerie m\u00E9dicale de plus en plus pratiqu\u00E9e. Si l'imagerie par r\u00E9sonance magn\u00E9tique (IRM), technique non irradiante utilisant les champs magn\u00E9tiques, permet une \u00E9tude pr\u00E9cise des tissus mous, celle-ci ne permet pas l'\u00E9tude des corticales osseuses (tissus \u00AB durs \u00BB) trop pauvres en hydrog\u00E8ne, ni donc la recherche fine de fractures, contrairement \u00E0 l'examen tomodensitom\u00E9trique."@fr . . . "fr"@fr . . . . . . . . . . . "189588853"^^ . . . . . . . "2003"^^ . . . . . . "Ordenagailu bidezko Tomografia Axiala"@eu . "2"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .