. . . . . "3883"^^ . . . . "en"@fr . . . . . . "\u70B9\u7FE0"@fr . "14602828"^^ . . "\u9EDE\u7FE0"@fr . . . . "189651795"^^ . "1028617088"^^ . . . "Tian-tsui"@en . . . . . . . . . . . . . . . . "Le tian-tsui ou diancui (chinois simplifi\u00E9 : \u70B9\u7FE0 ; chinois traditionnel : \u9EDE\u7FE0 ; pinyin : di\u01CEncu\u00EC, litt. : pointill\u00E9 de martin-p\u00EAcheur) est un type d'art chinois utilisant des plumes de martin-p\u00EAcheur. Depuis 2 000 ans, les Chinois utilisent les plumes bleues iris\u00E9es des martin-p\u00EAcheurs pour incruster des objets d'art et des parures, qu'il s'agisse d'\u00E9pingles \u00E0 cheveux, de coiffures, d'\u00E9ventails, de panneaux ou de paravents. Alors que les collectionneurs d'art occidentaux se sont concentr\u00E9s sur d'autres domaines de l'art chinois, notamment la porcelaine, la laque, la sculpture, le cloisonn\u00E9, la soie et les peintures, l'art utilisant des plumes de martin-p\u00EAcheurs est relativement inconnu en dehors de la Chine. Les plumes de martin-p\u00EAcheur sont minutieusement d\u00E9coup\u00E9es et coll\u00E9es sur de l'argent dor\u00E9. L'effet est semblable \u00E0 celui du cloisonn\u00E9, mais aucun \u00E9mail n'a pu rivaliser avec la couleur bleue \u00E9lectrique. Le bleu est la couleur traditionnelle pr\u00E9f\u00E9r\u00E9e en Chine. Comme pour la plupart des couleurs iridescentes et \u00E9lectrisantes des animaux, telles que les ailes des papillons Morpho, la couleur intense des plumes d'oiseaux ne provient pas des pigments de la plume elle-m\u00EAme, mais de la fa\u00E7on dont la lumi\u00E8re est courb\u00E9e et renvoy\u00E9e, un peu comme un prisme d\u00E9compose la lumi\u00E8re blanche en son spectre de couleurs arc-en-ciel. Ces structures microscopiques dans les plumes sont appel\u00E9es cristaux photoniques. Les pi\u00E8ces command\u00E9es les plus co\u00FBteuses utilisaient une esp\u00E8ce de martin-p\u00EAcheur du Cambodge. L'exportation \u00E9tait si importante pour r\u00E9pondre \u00E0 la demande chinoise que le commerce des plumes a peut-\u00EAtre largement contribu\u00E9 \u00E0 la richesse de l'Empire khmer et a servi \u00E0 financer la construction des magnifiques temples situ\u00E9s pr\u00E8s de Siem Reap, au Cambodge, dont Angkor Wat. Les plus belles pi\u00E8ces d'art du martin-p\u00EAcheur \u00E9taient r\u00E9serv\u00E9es aux aristocrates ou aux hauts fonctionnaires du gouvernement chinois. L'utilisation des plumes de martin-p\u00EAcheur a entra\u00EEn\u00E9 le massacre de nombreuses esp\u00E8ces de martin-p\u00EAcheurs. Le en tant que forme d'art \u00E9lev\u00E9e a pris fin pendant la Guerre civile chinoise dans les ann\u00E9es 1940."@fr . . . "Le tian-tsui ou diancui (chinois simplifi\u00E9 : \u70B9\u7FE0 ; chinois traditionnel : \u9EDE\u7FE0 ; pinyin : di\u01CEncu\u00EC, litt. : pointill\u00E9 de martin-p\u00EAcheur) est un type d'art chinois utilisant des plumes de martin-p\u00EAcheur. Depuis 2 000 ans, les Chinois utilisent les plumes bleues iris\u00E9es des martin-p\u00EAcheurs pour incruster des objets d'art et des parures, qu'il s'agisse d'\u00E9pingles \u00E0 cheveux, de coiffures, d'\u00E9ventails, de panneaux ou de paravents. Alors que les collectionneurs d'art occidentaux se sont concentr\u00E9s sur d'autres domaines de l'art chinois, notamment la porcelaine, la laque, la sculpture, le cloisonn\u00E9, la soie et les peintures, l'art utilisant des plumes de martin-p\u00EAcheurs est relativement inconnu en dehors de la Chine."@fr . . . . . . . "di\u01CEncu\u00EC"@fr . . . "Tian-tsui"@fr . . . . . . . "Tian-tsui"@fr . . .