. . . . . "\u1285\u120D\u12EE\u1275"@am . . "Teorie"@af . . . . . "Theorie"@nl . . "Teor\u00EDa"@es . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Th\u00E9orie"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Teoria"@ca . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Une th\u00E9orie (du grec theoria, \u00AB contempler, observer, examiner \u00BB) est un ensemble coh\u00E9rent d'explications, de notions ou d'id\u00E9es sur un sujet pr\u00E9cis, pouvant inclure des lois et des hypoth\u00E8ses, induites par l'accumulation de faits provenant de l'observation, l'exp\u00E9rimentation ou, dans le cas des math\u00E9matiques, d\u00E9duites d'une base axiomatique donn\u00E9e : th\u00E9orie des matrices, des torseurs, des probabilit\u00E9s. Elle ne doit pas \u00EAtre confondue avec un principe philosophique contrairement aux principes observ\u00E9s et provisoirement admis sugg\u00E9r\u00E9s par l'exp\u00E9rience, ni avec une hypoth\u00E8se. Le terme de th\u00E9oricien, qui d\u00E9signe un scientifique, s'oppose \u00E0 celui de technicien, qui d\u00E9signe celui qui met en pratique une science particuli\u00E8re. En philosophie des sciences, une th\u00E9orie scientifique doit r\u00E9pondre \u00E0 plusieurs crit\u00E8res, comme la correspondance entre les principes th\u00E9oriques et les ph\u00E9nom\u00E8nes observ\u00E9s. Une th\u00E9orie doit \u00E9galement permettre de r\u00E9aliser des pr\u00E9dictions sur ce qui va \u00EAtre observ\u00E9. Enfin, la th\u00E9orie doit r\u00E9sister \u00E0 l'exp\u00E9rience et \u00EAtre compatible avec les nouveaux faits qui peuvent s'ajouter au cours du temps, ou rester valide dans de nouveaux domaines non encore explor\u00E9s lors de sa premi\u00E8re \u00E9laboration. Si ce n'est pas le cas, la th\u00E9orie doit \u00EAtre corrig\u00E9e, voire invalid\u00E9e en dehors de son premier domaine. Ainsi, c'est dans la dur\u00E9e que se juge la force d'une th\u00E9orie car elle doit pouvoir rester compatible avec les nouveaux faits, r\u00E9sister aux exp\u00E9rimentations qui voudraient en d\u00E9montrer l\u2019invalidit\u00E9, et assurer la justesse de ses pr\u00E9dictions. Dans le langage courant, le terme \u00AB th\u00E9orie \u00BB est parfois utilis\u00E9 par anglicisme pour d\u00E9signer un ensemble de sp\u00E9culations sans v\u00E9ritable fondement, \u00E0 l'inverse du sens admis par les scientifiques. Le mot hypoth\u00E8se est alors plus appropri\u00E9. Le principe, quant \u00E0 lui, est une observation qui peut \u00EAtre expliqu\u00E9e ou non selon l'\u00E9poque consid\u00E9r\u00E9e (principe de Fermat), mais dans tous les cas dont on ne poss\u00E8de pas \u2014 ou, pour ne n\u00E9gliger aucune piste, pas encore \u2014 de contre-exemple (deuxi\u00E8me principe de la thermodynamique)."@fr . . . . "Theorie"@de . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0422\u0435\u043E\u0440\u0456\u044F"@uk . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Une th\u00E9orie (du grec theoria, \u00AB contempler, observer, examiner \u00BB) est un ensemble coh\u00E9rent d'explications, de notions ou d'id\u00E9es sur un sujet pr\u00E9cis, pouvant inclure des lois et des hypoth\u00E8ses, induites par l'accumulation de faits provenant de l'observation, l'exp\u00E9rimentation ou, dans le cas des math\u00E9matiques, d\u00E9duites d'une base axiomatique donn\u00E9e : th\u00E9orie des matrices, des torseurs, des probabilit\u00E9s. Elle ne doit pas \u00EAtre confondue avec un principe philosophique contrairement aux principes observ\u00E9s et provisoirement admis sugg\u00E9r\u00E9s par l'exp\u00E9rience, ni avec une hypoth\u00E8se. Le terme de th\u00E9oricien, qui d\u00E9signe un scientifique, s'oppose \u00E0 celui de technicien, qui d\u00E9signe celui qui met en pratique une science particuli\u00E8re."@fr . . . . . . . "10950"^^ . . . . "191393160"^^ . . . . . . . . . . . . . "72378"^^ . . . . . . . . . . . . . . . "\u7406\u8AD6"@ja . . . . "Teoria"@eu . . . . . . . . . . . . . . . . . . .