. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Th\u00E9ophile P\u00E9rier, n\u00E9 en 1797 et mort le 7 mai 1863 \u00E0 Bormes-les-Mimosas, est un homme d'affaires, n\u00E9gociant, armateur et l'un des fondateurs de la Compagnie des messageries maritimes. Il cr\u00E9e en 1836 la soci\u00E9t\u00E9 Th\u00E9ophile P\u00E9rier et Compagnie, dont les six navires \u00E0 vapeur desservent principalement les c\u00F4tes espagnoles. Celle-ci est en 1846 rachet\u00E9e par une autre compagnie maritime, la Compagnie Bazin, pour former la Compagnie Bazin et P\u00E9rier . Enthousiaste vis-\u00E0-vis des nouvelles possibilit\u00E9s offertes par la machine \u00E0 vapeur, il investit dans des entreprises ferroviaires dans le sud de la France aupr\u00E8s notamment de James de Rothschild. Il participe aussi en 1839 au capital de la soci\u00E9t\u00E9 de construction navale Louis Berthin et compagnie, \u00E0 La Ciotat et y fait construire en 1841 le Phoc\u00E9en II"@fr . . . . . . . . . . . . "Th\u00E9ophile P\u00E9rier"@fr . "4059"^^ . . . . . "Th\u00E9ophile P\u00E9rier, n\u00E9 en 1797 et mort le 7 mai 1863 \u00E0 Bormes-les-Mimosas, est un homme d'affaires, n\u00E9gociant, armateur et l'un des fondateurs de la Compagnie des messageries maritimes. Il cr\u00E9e en 1836 la soci\u00E9t\u00E9 Th\u00E9ophile P\u00E9rier et Compagnie, dont les six navires \u00E0 vapeur desservent principalement les c\u00F4tes espagnoles. Celle-ci est en 1846 rachet\u00E9e par une autre compagnie maritime, la Compagnie Bazin, pour former la Compagnie Bazin et P\u00E9rier . Enthousiaste vis-\u00E0-vis des nouvelles possibilit\u00E9s offertes par la machine \u00E0 vapeur, il investit dans des entreprises ferroviaires dans le sud de la France aupr\u00E8s notamment de James de Rothschild. Il participe aussi en 1839 au capital de la soci\u00E9t\u00E9 de construction navale Louis Berthin et compagnie, \u00E0 La Ciotat et y fait construire en 1841 le Phoc\u00E9en II, premier vapeur de M\u00E9diterran\u00E9e sur lequel aient \u00E9t\u00E9 install\u00E9es des machines construites \u00E0 La Ciotat. En 1851 il est un investisseur important dans les Messageries maritimes dont il d\u00E9tient soixante-dix actions, soit 350 000 francs de capital. Il fait par la suite partie de son comit\u00E9 de direction. Toujours en 1851 il acquiert avec \u00C9mile Martin, ma\u00EEtre des forges du Nivernais, la bastide dite \u00AB Ch\u00E2teau Fallet \u00BB, une demeure remarquable construite au milieu du XVIIe si\u00E8cle et situ\u00E9e dans le quartier de l'Estaque \u00E0 Marseille. En 1858, il fait construire un ch\u00E2teau sur ses terrains du centre-ville de Marseille qui abrite depuis 1909 un lyc\u00E9e \u00E0 son nom. Il a aussi donn\u00E9 son nom au boulevard P\u00E9rier avoisinant."@fr . . . . "261685"^^ . . "175189514"^^ . . . "Th\u00E9ophile P\u00E9rier"@fr . . . . . . . . "1863-05-07"^^ . . . . . . . . . . . .