. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Teodor Ili\u0107 \u010Ce\u0161ljar (en serbe \u0422\u0435\u043E\u0434\u043E\u0440 \u0418\u043B\u0438\u045B \u0427\u0435\u0448\u0459\u0430\u0440 ; 1746 \u00E0 \u010Curug, (Serbie) - 20 novembre 1793, Ba\u010Dko Petrovo Selo (Serbie). Il est un des derniers peintres serbes baroques de Vo\u00EFvodine, plus connu pour \u00EAtre l'auteur des Portes royales d'Ostoji\u0107evo. Il a appris \u00E0 peindre, para\u00EEt-il, aupr\u00E8s des plus grands ma\u00EEtres de Timi\u015Foara et de Novi Sad, o\u00F9 il a v\u00E9cu en 1769. Sa premi\u00E8re \u0153uvre connue est une peinture des quatre \u00E9vang\u00E9listes sur le beffroi d'une \u00E9glise de Buda en 1776 pour laquelle il collabore avec . Selon les plus anciens de ses biographes, il entre \u00E0 l'Acad\u00E9mie des Beaux-Arts de Vienne en 1786. Il r\u00E9alise ses premi\u00E8res iconostases en 1789 dans l'\u00E9glise de Mokrin. Il travaille ensuite \u00E0 Velika Kikinda et en 1791 et \u00E0 Ba\u010Dko Petrovo Selo de 1792 \u00E0 1793 o\u00F9 il meurt. \u00C0 c\u00F4t\u00E9 de ses \u0153uvres les plus connues, il dessine plusieurs ic\u00F4nes pour une \u00E9glise de Sremski Karlovci et des iconostases au Monast\u00E8re de Kovilj, lesquelles sont d\u00E9truites en 1848. Selon les biographies de Teodor Ili\u0107 \u010Ce\u0161ljar, il est grand coloriste et exceptionnellement inventif en composition. Il n'a pas toujours peint sans le pur style baroque. Lui, comme son collaborateur, se penchant sur des couleurs discr\u00E8tes et plus douces, avec des compositions aux tons plus soyeux s'inspirant des techniques de sfumato des peintres fran\u00E7ais, ma\u00EEtres du style rococo. Il n'y a pas de renseignements exhaustifs sur les portraits de Teodor Ili\u0107 \u010Ce\u0161ljar. Toutefois, certaines de ces portraits lui sont attribu\u00E9s formellement : de (1789), d'un pr\u00EAtre au nom inconnu (Mus\u00E9e national de Belgrade), de (1787, mus\u00E9e de Vr\u0161ac) et un grand nombre de portraits d'eccl\u00E9siastiques. Un autre portrait de Jovan Jovanovi\u0107 \u0160akabenta est aussi attribu\u00E9 \u00E0 Jakov Orfelin. Avec ses portraits, \u010Ce\u0161ljar prouve qu'il est un ma\u00EEtre du dessin et un coloriste beau et subtil, comme il le fait avec ses ic\u00F4nes. La seule exception dans son \u0153uvre est le portrait de Jovan Jovanovi\u0107 \u0160akabenta, plus froid et conventionnel. Sa c\u00E9l\u00E8bre peinture de Sainte Barbara Angois\u00E9e (1785) est r\u00E9alis\u00E9e pour l'\u00E9v\u00EAque de Nagyv\u00E1rad. Le tableau illustre son sens g\u00E9nial de la composition. Ce canevas est une r\u00E9miniscence de l'art des grands portraitistes v\u00E9nitien et m\u00EAme des signes du tr\u00E8s rationnel classicisme fran\u00E7ais. Deux frises \u00E0 Kikinda montrent encore plus son inspiration de l'art v\u00E9nitien : la C\u00E8ne et le Christ en \u00E9clat, tous deux chef-d'\u0153uvre de la peinture serbe baroque. Une rue de Kikinda porte aujourd'hui son nom."@fr . . . . . . . . "Teodor Ili\u0107 \u010Ce\u0161ljar"@es . "Teodor Ili\u0107 \u010Ce\u0161ljar (en serbe \u0422\u0435\u043E\u0434\u043E\u0440 \u0418\u043B\u0438\u045B \u0427\u0435\u0448\u0459\u0430\u0440 ; 1746 \u00E0 \u010Curug, (Serbie) - 20 novembre 1793, Ba\u010Dko Petrovo Selo (Serbie). Il est un des derniers peintres serbes baroques de Vo\u00EFvodine, plus connu pour \u00EAtre l'auteur des Portes royales d'Ostoji\u0107evo. Il a appris \u00E0 peindre, para\u00EEt-il, aupr\u00E8s des plus grands ma\u00EEtres de Timi\u015Foara et de Novi Sad, o\u00F9 il a v\u00E9cu en 1769. Deux frises \u00E0 Kikinda montrent encore plus son inspiration de l'art v\u00E9nitien : la C\u00E8ne et le Christ en \u00E9clat, tous deux chef-d'\u0153uvre de la peinture serbe baroque. Une rue de Kikinda porte aujourd'hui son nom."@fr . . . . . . . . . . . . "3272"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Teodor Ili\u0107 \u010Ce\u0161ljar"@fr . . . . . . . . . . "3152034"^^ . "170354646"^^ . . . . .