"Sillaba"@oc . . . . . . . . "La syllabe (du latin : syllaba, du grec ancien : \u03C3\u03C5\u03BB\u03BB\u03B1\u03B2\u03AE / sullab\u1EBF, \u00AB ensemble, rassemblement \u00BB) est une unit\u00E9 interrompue du langage oral. Son noyau, autour duquel elle se construit, est g\u00E9n\u00E9ralement une voyelle. Une syllabe peut \u00E9galement avoir des extr\u00E9mit\u00E9s pr\u00E9c\u00E9dant ou suivant la voyelle, qui, lorsqu'elles existent, sont toujours constitu\u00E9es de consonnes."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "La syllabe (du latin : syllaba, du grec ancien : \u03C3\u03C5\u03BB\u03BB\u03B1\u03B2\u03AE / sullab\u1EBF, \u00AB ensemble, rassemblement \u00BB) est une unit\u00E9 interrompue du langage oral. Son noyau, autour duquel elle se construit, est g\u00E9n\u00E9ralement une voyelle. Une syllabe peut \u00E9galement avoir des extr\u00E9mit\u00E9s pr\u00E9c\u00E9dant ou suivant la voyelle, qui, lorsqu'elles existent, sont toujours constitu\u00E9es de consonnes. En linguistique, la syllabe est consid\u00E9r\u00E9e comme une unit\u00E9 abstraite de la langue. Elle existe en tant qu'\u00E9l\u00E9ment du syst\u00E8me d'une langue donn\u00E9e, et est par cons\u00E9quent \u00E9tudi\u00E9e par la phonologie, qui s'int\u00E9resse aux sons en tant qu'\u00E9l\u00E9ments d'un syst\u00E8me linguistique. On constate cependant que cette existence abstraite dans la langue est li\u00E9e \u00E0 de nombreux faits concrets et mat\u00E9riels de la parole, tant lorsque la syllabe est articul\u00E9e que lorsqu'elle est per\u00E7ue \u00E0 l'oral. Des faits directement li\u00E9s \u00E0 la syllabe peuvent ainsi \u00EAtre mesur\u00E9s et quantifi\u00E9s empiriquement : cela conduit la syllabe \u00E0 \u00EAtre \u00E9galement l'objet d'\u00E9tude de la phon\u00E9tique, \u00E9tudiant les sons de la langue dans leur mat\u00E9rialit\u00E9. Deux types de mod\u00E8les expliquent le fonctionnement interne de la syllabe. Les mod\u00E8les dits lin\u00E9aires postulent que l'agencement des sons linguistiques dans la syllabe s'op\u00E8re directement d'apr\u00E8s leurs propri\u00E9t\u00E9s respectives. Les mod\u00E8les dits non lin\u00E9aires montrent au contraire qu'il existe un certain nombre de sous-constituants, tels que l'attaque, la coda, le noyau ou encore la rime, qui g\u00E9n\u00E8rent des r\u00E8gles au sein de la syllabe et sont per\u00E7us par les usagers de la langue. La syllabe est la premi\u00E8re entit\u00E9 non porteuse de sens de l'oral \u00E0 avoir \u00E9t\u00E9 transcrite \u00E0 l'\u00E9crit. De fait, l'\u00E9criture syllabique a pr\u00E9c\u00E9d\u00E9 de plusieurs centaines d'ann\u00E9es les premi\u00E8res lettres, en naissant vers 2800 av. J.-C. dans la cit\u00E9 sum\u00E9rienne d'Ur. Ce passage des pictogrammes aux lettres a \u00E9t\u00E9 qualifi\u00E9 de \u00AB plus importante \u00E9tape dans l'histoire de l'\u00E9criture \u00BB. Dans les d\u00E9veloppements r\u00E9cents de l'\u00E9criture des langues transcrites dans l'alphabet latin, une syllabe \u00E9crite a d\u00E9velopp\u00E9 ses propres fonctionnements et joue un r\u00F4le en termes de r\u00E8gles orthographiques."@fr . . . "40539"^^ . . . . . . . . . . . . . "Laton"@war . . "28765"^^ . . . . . . . . . . . . . . . "syllabe"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Sillaba"@it . . . . . . . "Lettergreep"@nl . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "190730906"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Lettergreep"@af . . . "\u97F3\u8282"@zh . . . . "S\u00EDl\u00B7laba"@ca . . . . . . . . . . . . . . . "Syllable"@en . . . . . . . "Syllabe"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Silabenn"@br . . . . . . . . . . . . . . .