. . . . "2656"^^ . "Le Smyrne\u00EFko trago\u00FAdi (\u03A3\u03BC\u03C5\u03C1\u03BD\u03B1\u03AF\u03B9\u03BA\u03BF \u03C4\u03C1\u03B1\u03B3\u03BF\u03CD\u03B4\u03B9), litt\u00E9ralement le chant de Smyrne, est un style musical originaire de Smyrne, l'actuelle Izmir. Il na\u00EEt au cours du XIXe si\u00E8cle et atteint la Gr\u00E8ce, apr\u00E8s la Grande Catastrophe d'Asie mineure en 1922. Les influences du smyrne\u00EFko tragoudi sont multiples. Ce style musical est le reflet des communaut\u00E9s qui peuplent la ville, Grecs, Turcs, Juifs, Arm\u00E9niens mais aussi Fran\u00E7ais et Anglais. Le smyrne\u00EFko tragoudi ob\u00E9it, la plupart du temps, au syst\u00E8me des makams orientaux ou de leurs \u00E9quivalents dans la musique byzantine, les \u00E9chos (\u03AE\u03C7\u03BF\u03C5\u03C2)."@fr . . . . "Smyrneiko"@it . . . . . . . . . . . "Smyrne\u00EFko tragoudi"@fr . . . "162487674"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . "1639331"^^ . . . . . . . . . . . "Le Smyrne\u00EFko trago\u00FAdi (\u03A3\u03BC\u03C5\u03C1\u03BD\u03B1\u03AF\u03B9\u03BA\u03BF \u03C4\u03C1\u03B1\u03B3\u03BF\u03CD\u03B4\u03B9), litt\u00E9ralement le chant de Smyrne, est un style musical originaire de Smyrne, l'actuelle Izmir. Il na\u00EEt au cours du XIXe si\u00E8cle et atteint la Gr\u00E8ce, apr\u00E8s la Grande Catastrophe d'Asie mineure en 1922. Les influences du smyrne\u00EFko tragoudi sont multiples. Ce style musical est le reflet des communaut\u00E9s qui peuplent la ville, Grecs, Turcs, Juifs, Arm\u00E9niens mais aussi Fran\u00E7ais et Anglais. Le smyrne\u00EFko tragoudi ob\u00E9it, la plupart du temps, au syst\u00E8me des makams orientaux ou de leurs \u00E9quivalents dans la musique byzantine, les \u00E9chos (\u03AE\u03C7\u03BF\u03C5\u03C2). Les instruments du smyrne\u00EFko tragoudi sont l'uti, le kanonaki, le santouri, le violon ou le kemenche. On rencontre toutefois des ensembles occidentaux dans certaines compositions. Contrairement \u00E0 ce que montre le film Reb\u00E9tiko (film) de Costas Ferris, le bouzouki n'est pas utilis\u00E9 dans le smyrne\u00EFko tragoudi. Il y a plusieurs vari\u00E9t\u00E9s de musique smyrniote : les amanedes (\u03B1\u03BC\u03B1\u03BD\u03AD\u03B4\u03B5\u03C2) proches du ghazal arabo-persan et turc, les taximia (\u03C4\u03B1\u03BE\u03AF\u03BC\u03B9\u03B1) improvisations musicales inspir\u00E9es de la musique ottomane, les patinades (\u03C0\u03B1\u03C4\u03B9\u03BD\u03AC\u03B4\u03B5\u03C2) sortes de s\u00E9r\u00E9nades. Les compositeurs et chanteurs du smyrne\u00EFko tragoudi sont souvent les m\u00EAmes que ceux du rebetiko : Panay\u00F3tis To\u00FAndas, Roza Eskenazy, Ant\u00F3nis Diamant\u00EDdis. La gen\u00E8se du style rebetiko est si intimement li\u00E9e au smyrne\u00EFko qu'il est, jusqu'au d\u00E9but des ann\u00E9es 1930 difficile de les distinguer. On dit parfois que le smyrne\u00EFko est un rebetiko oriental. C'est en 1933, date du premi\u00E8re enregistrement avec un bouzouki, par Markos Vamvakaris, que les deux courants vont r\u00E9ellement se s\u00E9parer. Vamvakaris devient alors le \"patriarche\" d'un nouveau style, autonome."@fr . .