. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "2798"^^ . . . . . . . "188742978"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Sayed Qassem Reshtia (\u00E9galement connu sous le nom de Sayed Qassem Rechtya ; 1913 \u00E0 Kaboul en Afghanistan - mars 1998 \u00E0 Gen\u00E8ve en Suisse) est un \u00E9crivain, un historien, un politicien et un diplomate afghan. Il \u00E9tudia au Lyc\u00E9e Istiqlal et \u00E0 l'Institut financier de Kaboul. En 1930, Sayed Qassem Rishtya a d\u00E9marr\u00E9 une carri\u00E8re dans le journalisme et la gestion des m\u00E9dias. Au cours de la d\u00E9cennie suivante, il fut successivement \u00E9diteur de la Revue de Kaboul et de l'Almanach de Kaboul; directeur de radio Afghanistan; directeur-g\u00E9n\u00E9ral de l'Agence afghane de nouvelles Bakhtar."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Sayed Qassem Rishtya"@fr . . . "1508856"^^ . . . . . . . . "Sayed Qassem Rishtya"@de . . "Sayed Qassem Reshtia (\u00E9galement connu sous le nom de Sayed Qassem Rechtya ; 1913 \u00E0 Kaboul en Afghanistan - mars 1998 \u00E0 Gen\u00E8ve en Suisse) est un \u00E9crivain, un historien, un politicien et un diplomate afghan. Il \u00E9tudia au Lyc\u00E9e Istiqlal et \u00E0 l'Institut financier de Kaboul. En 1930, Sayed Qassem Rishtya a d\u00E9marr\u00E9 une carri\u00E8re dans le journalisme et la gestion des m\u00E9dias. Au cours de la d\u00E9cennie suivante, il fut successivement \u00E9diteur de la Revue de Kaboul et de l'Almanach de Kaboul; directeur de radio Afghanistan; directeur-g\u00E9n\u00E9ral de l'Agence afghane de nouvelles Bakhtar. De 1950 au d\u00E9but des ann\u00E9es 1960, il fut Ministre des Finances (1964-1965) et Ministre de l'Information et de la Culture sous trois gouvernements diff\u00E9rents. En qualit\u00E9 de diplomate, il fut ambassadeur en Tch\u00E9coslovaquie (1960-1962) en \u00C9gypte (1962-1963). Il fut aussi D\u00E9l\u00E9gu\u00E9 \u00E0 la Conf\u00E9rence Afro-Asiatique (Bandoeng 1955) ainsi qu'aux conf\u00E9rences des pays non align\u00E9s (Belgrade, 1961 et Le Caire, 1965). Lors de la chute de la monarchie afghane (1973), il \u00E9tait ambassadeur au Japon. En parall\u00E8le, il fut impliqu\u00E9 de pr\u00E8s dans les pr\u00E9paratifs de la constitution de 1964, \u00E9tant l'un des sept membres du comit\u00E9 de r\u00E9daction. L'un des artisans, de l'innovante constitution afghane, avait postul\u00E9 une monarchie constitutionnelle con\u00E7ue sur la s\u00E9paration des pouvoirs au sein des limites de la d\u00E9mocratie parlementaire. Peu apr\u00E8s son retour du Japon, Sayed Qassem Rishtya se retira de la vie publique. Il se consacra d\u00E8s lors \u00E0 une recherche historique, ainsi qu'\u00E0 la r\u00E9daction de ses m\u00E9moires, entre autres publications. Afghanistan in the XIXth century, livre qui remporta un prix national, est consid\u00E9r\u00E9 comme son principal ouvrage historique. Sayed Qassem Rishtya quitta l'Afghanistan en 1979 \u00E0 la suite de l'invasion sovi\u00E9tique du pays. Il mourut en 1998, \u00E0 l'\u00E2ge de 85 ans."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . .