. "Santur"@de . . . . . . . . . . "2"^^ . . "Santur grec"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1678740"^^ . . . . "BA"@fr . "2008-09-14"^^ . . . . . "Le santour (graphie francis\u00E9e la plus commune), sant\u00FBr, santoor, santur, santouri ou sant\u00EEr est un instrument de musique iranien, diffus\u00E9 dans tout le Moyen-Orient, appartenant \u00E0 la famille des cithares sur table. Il s'agit d'un instrument \u00E0 cordes frapp\u00E9es, tout comme le cymbalum ou le piano apparus plus tard, dont il est l'origine commune. On peut aussi le classer comme instrument de percussion m\u00E9lodique. On en joue en effet \u00E0 l'aide de deux petits marteaux (\u0645\u0636\u0631\u0627\u0628 en persan ou en turc) plac\u00E9s entre les doigts."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Le santour (graphie francis\u00E9e la plus commune), sant\u00FBr, santoor, santur, santouri ou sant\u00EEr est un instrument de musique iranien, diffus\u00E9 dans tout le Moyen-Orient, appartenant \u00E0 la famille des cithares sur table. Il s'agit d'un instrument \u00E0 cordes frapp\u00E9es, tout comme le cymbalum ou le piano apparus plus tard, dont il est l'origine commune. On peut aussi le classer comme instrument de percussion m\u00E9lodique. On en joue en effet \u00E0 l'aide de deux petits marteaux (\u0645\u0636\u0631\u0627\u0628 en persan ou en turc) plac\u00E9s entre les doigts. L'\u00E9tymologie du terme est complexe et sujette \u00E0 nombre de controverses : il semble d\u00E9riv\u00E9 du grec ancien psallo (\u00AB frapper ou chanter \u00BB), de l'h\u00E9breu psant\u00EEr ou de l'aram\u00E9en psantria (dont le psalt\u00E9rion a h\u00E9rit\u00E9), mais on a aussi tent\u00E9 de le faire d\u00E9river du persan ou du sanskrit (sau-t\u00E2r signifiant \u00AB cent cordes \u00BB). Sa graphie est tout aussi instable et vari\u00E9e en vertu du caract\u00E8re al\u00E9atoire des transcriptions. Sans doute tr\u00E8s ancien (peut-\u00EAtre assyrien selon certains auteurs contest\u00E9s), ses premi\u00E8res traces \u00E9crites ou picturales sous sa forme actuelle ne datent que du XIIe si\u00E8cle, notamment dans un po\u00E8me de et sur le bas-relief en ivoire d'origine byzantine, servant de couverture au manuscrit Egerton re\u00E7u en 1131 dans le Royaume franc de J\u00E9rusalem. Il dispara\u00EEt alors dans le haut Moyen \u00C2ge sans qu'il soit possible de d\u00E9terminer pr\u00E9cis\u00E9ment sa migration. Il r\u00E9appara\u00EEt en effet sous des noms et des formes vari\u00E9s, sa l\u00E9g\u00E8ret\u00E9 alli\u00E9e \u00E0 des dimensions r\u00E9duites lui ayant permis de faire partie des instruments migrateurs, adopt\u00E9s tant par les musiciens itin\u00E9rants, Tziganes ou Juifs (qui le jouent en le portant en bandouli\u00E8re), que par les musiciens savants (qui le jouent assis). Il ne faut le confondre ni avec le qan\u00FBn, qui est une cithare orientale se jouant avec les doigts munis d'onglets en pin\u00E7ant les cordes, ni avec le sint\u00EEr qui est un luth maghr\u00E9bin."@fr . . . . . . . . . "190653951"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Santur"@ca . . . . "33430523"^^ . . . . . "\u0421\u0430\u043D\u0442\u0443\u0440"@ru . . . . . "monde"@fr . . . . . . "Santour"@fr . . . . . . . . "Santur"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "36125"^^ . . "Santour"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . .