. . . . . . . . . . . . . "Cet article traite du cas des infections \u00E0 SARS-CoV-2 chez les animaux autres que l'Homme. En d\u00E9but de pand\u00E9mie, jusqu'en mai-juin 2020, le SARS-CoV-2 chez les animaux n'a \u00E9t\u00E9 observ\u00E9 que sporadiquement et \u00AB le r\u00F4le des animaux dans l'\u00E9pid\u00E9miologie du SRAS-CoV-2 est encore largement inconnu \u00BB, n\u00E9cessitant des recherches urgentes. Des \u00E9tudes de s\u00E9ropr\u00E9valences sont recommand\u00E9es chez les animaux c\u00F4toyant les humains dans les r\u00E9gions touch\u00E9es par le COVID-19, pour d\u00E9tecter d'\u00E9ventuelles infections animales silencieuses (ou non) chez les animaux domestiques et sauvages ou errants (chats, furets et chiens notamment, quand ils appartiennent \u00E0 des patients COVID-19). En novembre 2020, selon la revue Science \u00AB les primates non humains, les chats, les furets, les hamsters, les lapins et les chauves-souris peuvent \u00EAtre infect\u00E9s par le SRAS-CoV-2 \u00BB.L'ARN du SRAS-CoV-2 a aussi \u00E9t\u00E9 d\u00E9tect\u00E9 \u00AB chez des f\u00E9lid\u00E9s, des visons et des chiens sur le terrain \u00BB. \u00C0 Wuhan de nombreux chats portaient le virus. Et les analyses g\u00E9nomiques faites dans 16 fermes de visons touch\u00E9es par des foyers de SARS-CoV-2 et chez les humains y vivant ou y travaillant ont montr\u00E9 que le virus y a \u00E9t\u00E9 introduit par l'homme et y a \u00E9volu\u00E9 \u00AB refl\u00E9tant tr\u00E8s probablement une circulation g\u00E9n\u00E9ralis\u00E9e parmi les visons au d\u00E9but de la p\u00E9riode d'infection plusieurs semaines avant la d\u00E9tection (\u2026) 68 % des r\u00E9sidents, employ\u00E9s et/ou contacts de la ferme de visons test\u00E9s avaient des signes d'infection par le SRAS-CoV-2. Quand des g\u00E9nomes entiers \u00E9taient disponibles, les souches avaient toutes une \u00AB signature \u00BB animale, d\u00E9montrant une transmission de l'animal \u00E0 l'humain du SRAS-CoV-2 dans les \u00E9levages de visons \u00BB. D\u00E9but 2020, on sait que la glycoprot\u00E9ine de pointe du SARS-CoV-2 provient d'un SARS-CoV (CoVZXC21 ou CoVZC45) et d'un \u03B2-CoV inconnu (toujours inconnu fin 2020)."@fr . . "289045"^^ . . . . . . "SARS-Coronavirus Ancestor's Foot-Prints in South-East Asian Bat Colonies and the Refuge Theory"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Impacto de la pandemia de COVID-19 en animales"@es . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Xiaolu"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "10.1126"^^ . . . . . . . . . "2020-05-29"^^ . . "Cet article traite du cas des infections \u00E0 SARS-CoV-2 chez les animaux autres que l'Homme. En d\u00E9but de pand\u00E9mie, jusqu'en mai-juin 2020, le SARS-CoV-2 chez les animaux n'a \u00E9t\u00E9 observ\u00E9 que sporadiquement et \u00AB le r\u00F4le des animaux dans l'\u00E9pid\u00E9miologie du SRAS-CoV-2 est encore largement inconnu \u00BB, n\u00E9cessitant des recherches urgentes. Des \u00E9tudes de s\u00E9ropr\u00E9valences sont recommand\u00E9es chez les animaux c\u00F4toyant les humains dans les r\u00E9gions touch\u00E9es par le COVID-19, pour d\u00E9tecter d'\u00E9ventuelles infections animales silencieuses (ou non) chez les animaux domestiques et sauvages ou errants (chats, furets et chiens notamment, quand ils appartiennent \u00E0 des patients COVID-19)."@fr . . . . . . . . . . . . . . "Infection, genetics and evolution : journal of molecular epidemiology and evolutionary genetics in infectious diseases"@fr . . . . . . . "SARS-CoV-2 chez les animaux"@fr . . . . . . . . "Yue"@fr . . . . "1016"^^ . . . . . . 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