"s"@fr . "\u0421\u043E\u0432\u0456\u043B\u043E"@uk . . . . "\u16CB"@fr . "6288"^^ . . . "*S\u014Dwil\u014D"@fr . "16"^^ . . . . . . . "16"^^ . . . . "S\u014Dwil\u014D"@fr . . . . . "11"^^ . "U+16CB"@fr . . . . . . . . "1158242"^^ . . . . . . . . . . . . . . . "S\u00F3l"@fr . "Sowilo"@es . . . "\u16CC"@fr . . "\u0421\u043E\u0432\u0438\u043B\u043E"@ru . . . . . . . "Sowil\u014D (rune)"@en . . . . "U+16CA"@fr . . . . . . . . . . "S\u014Dwil\u014D est la seizi\u00E8me rune du Futhark et la huiti\u00E8me de la famille de Hagalaz. Elle est pr\u00E9c\u00E9d\u00E9e d\u2019Algiz et suivie de Tiwaz. Elle est nomm\u00E9e Sigel (Si\u021Del) en anglo-saxon et S\u00F3l en vieux norrois. Dans toutes ces langues, elle d\u00E9signe la personnification du Soleil, S\u00F3l. Le Codex Vindobonensis 795 donne un nom de lettre correspondant dans l\u2019alphabet gotique sous la forme sugil, restitu\u00E9 en gotique comme sauil, \U00010343. *S\u014Dwil\u014D est la forme reconstruite pour le proto-germanique \u00E0 partir de cette correspondance. Cette rune notait \u00E0 l'origine le son [s]."@fr . . . . "U+16CC"@fr . "s"@fr . . . . "5834"^^ . . "5835"^^ . . . . . . . . . "178681307"^^ . . . . "Sowilo"@de . . . "5836"^^ . "S\u014Dwil\u014D"@fr . "Si\u021Del"@fr . . "\u16CA"@fr . "27"^^ . . "20"^^ . . "S\u014Dwil\u014D est la seizi\u00E8me rune du Futhark et la huiti\u00E8me de la famille de Hagalaz. Elle est pr\u00E9c\u00E9d\u00E9e d\u2019Algiz et suivie de Tiwaz. Elle est nomm\u00E9e Sigel (Si\u021Del) en anglo-saxon et S\u00F3l en vieux norrois. Dans toutes ces langues, elle d\u00E9signe la personnification du Soleil, S\u00F3l. Le Codex Vindobonensis 795 donne un nom de lettre correspondant dans l\u2019alphabet gotique sous la forme sugil, restitu\u00E9 en gotique comme sauil, \U00010343. *S\u014Dwil\u014D est la forme reconstruite pour le proto-germanique \u00E0 partir de cette correspondance. D\u2019un point de vue \u00E9tymologique, le mot \u00AB soleil \u00BB pr\u00E9sente dans les langues germaniques une alternance entre les racines -l- et -n- : ainsi on peut opposer le proto-germanique *sunnon (vieil anglais sunne, vieux norrois, vieux saxon et vieux haut-allemand sunna) \u00E0 *s\u014Dwil\u014D ou *saewel\u014D (vieil anglais si\u021Del, vieux norrois sol, gotique sauil, vieux saxon *s\u00F4wal, *s\u00F4l). Cette particularit\u00E9 trouve ses origines dans l\u2019alternance proto-indo-europ\u00E9enne *suwen- / *sewol- (cf. avestique xweng / latin sol, grec ancien helios, sanskrit s\u016Brya, gallois haul, breton heol), vestige d\u2019un syst\u00E8me de d\u00E9clinaisons archa\u00EFque dit qui ne s\u2019exprima que dans les langues anatoliennes. Cette rune notait \u00E0 l'origine le son [s]. Elle est identique graphiquement et phon\u00E9tiquement \u00E0 la lettre ph\u00E9nicienne , \u0160in [\u0283] (Soleil) issue du protosina\u00EFtique , qui sera reprise par le sigma \u03A3 grec ionien (not\u00E9 \u16CB jusque vers 400 avant J.C) puis le S \u00E9trusque et le \U00010314 italique (semblable par ailleurs au nun ph\u00E9nicien). Elle est aussi proche des San \u03FB grec archa\u00EFque (alternative \u00E0 sigma) et tsan \u0438 acadien, voire du tsade [s\u02BC] ph\u00E9nicien."@fr . . . . . . . . . . "27"^^ . .