. . . . . . "Pr\u00E9sentation en ligne"@fr . . . . . . . . . "Erritmo biologiko"@eu . . . . . . . . . . "588667"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "23506"^^ . . . . . . . . . "191464713"^^ . . . . "Rythme biologique"@fr . . . . . . . . . "Un rythme biologique correspond \u00AB \u00E0 la variation p\u00E9riodique ou cyclique d'une fonction sp\u00E9cifique d'un \u00EAtre vivant \u00BB, qu'il soit d'origine physiologique ou biochimique. On en distingue trois types : circadien, infradien et ultradien. Diff\u00E9rents types d'\u00AB \u00BB existent, dont chez des champignons (ex. : Neurospora crassa). Un rythme circadien bact\u00E9rien a \u00E9t\u00E9 mis en \u00E9vidence, et en grande partie expliqu\u00E9, chez des bact\u00E9ries photosynth\u00E9tiques (cyanobact\u00E9ries). Certaines cellules per\u00E7oivent la lumi\u00E8re, m\u00EAme chez un animal pathologiquement ou naturellement aveugle."@fr . . . . . . "Un rythme biologique correspond \u00AB \u00E0 la variation p\u00E9riodique ou cyclique d'une fonction sp\u00E9cifique d'un \u00EAtre vivant \u00BB, qu'il soit d'origine physiologique ou biochimique. On en distingue trois types : circadien, infradien et ultradien. Ils jouent un r\u00F4le majeur dans le fonctionnement des organismes vivants, par exemple chez l'animal dans le cas des pulsations cardiaques, des mouvements de paupi\u00E8res ou respiratoires, des rythmes repas/digestion, des \u00E9tats altern\u00E9s de veille et sommeil, des cycles de l'ovulation, des rythmes de floraison et fructification chez les plantes, ou de la fructification saisonni\u00E8re des champignons, ou encore en termes de migration animales, changement saisonnier de couleur ou \u00E9paisseur de pelage, etc. Ils sont dans ces cas principalement contr\u00F4l\u00E9s par la m\u00E9latonine et les noyaux suprachiasmatiques, essentiellement sous l'effet de l'exposition \u00E0 la lumi\u00E8re (pour certaines longueurs d'onde et \u00E0 partir d'une certaine intensit\u00E9, heure et dur\u00E9e, et selon le mod\u00E8le des s\u00E9quences d'exposition ou la dur\u00E9e d'impulsions lumineuses). Ces rythmes sont importants dans la synchronisation de nos comportements habituels (alimentation, sommeil, etc.). Une d\u00E9synchronisation avec le rythme circadien peut \u00EAtre source de troubles divers (immunitaires, humeur, r\u00E9gulation de la temp\u00E9rature, cardiovasculaires, sommeil attention, m\u00E9moire, etc), notamment chez les travailleurs de nuit. Une exposition excessive \u00E0 l'\u00E9clairage artificiel, de nuit, surtout dans certaines longueurs d'onde est donc une source de perturbation endocrinienne, une situation consid\u00E9r\u00E9e par l'OMS et l'IARC, depuis d\u00E9cembre 2007, comme \u00AB potentiellement canc\u00E9rig\u00E8ne \u00BB dans le cas du travail post\u00E9). Diff\u00E9rents types d'\u00AB \u00BB existent, dont chez des champignons (ex. : Neurospora crassa). Un rythme circadien bact\u00E9rien a \u00E9t\u00E9 mis en \u00E9vidence, et en grande partie expliqu\u00E9, chez des bact\u00E9ries photosynth\u00E9tiques (cyanobact\u00E9ries). Certaines cellules per\u00E7oivent la lumi\u00E8re, m\u00EAme chez un animal pathologiquement ou naturellement aveugle."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .