. . . "2002-07-11"^^ . . . "Rosco Gordon"@en . . . . "1950"^^ . . . . . . . . "2002-07-11"^^ . . . . "ann\u00E9es 1950-2000"@fr . "2000"^^ . . . . . ""@fr . . . . . . . . . . . . "1928-04-10"^^ . . . "Rosco Gordon"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "169519116"^^ . . . . "Rosco Gordon"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1928-04-10"^^ . . . . . . . . "330571"^^ . . . . . "2566290"^^ . "4730"^^ . . . . "Rosco Gordon"@de . . "Rosco Gordon"@nl . . . . . . . . "Rosco Gordon est un chanteur et un compositeur afro-am\u00E9ricain de rhythm and blues et de blues, n\u00E9 le 10 avril 1928 \u00E0 Memphis et mort le 11 juillet 2002 \u00E0 New York. Il fit partie des \u00AB Beale Streeters \u00BB, un groupe informel de musiciens pionniers du Memphis blues. Rosco Gordon a contribu\u00E9 \u00E0 populariser un style rythmique de piano connu sous le nom de \u00AB The Rosco Rhythm \u00BB, qui deviendra l'une des bases des musiques ska et reggae. Son utilisation de la syncope, r\u00E9pandue dans le boogie-woogie depuis les ann\u00E9es 1930, notamment chez Louis Jordan & His Tympani Five (Choo Choo Ch'Boogie, 1946) est \u00E9galement marqu\u00E9e chez le pianiste de la Nouvelle-Orl\u00E9ans Professor Longhair. Elle est par exemple pr\u00E9sente sur les titres de Rosco Gordon No More Doggin' (1951), Hey Hey Girl (1955) ou encore Booted (1951). L'influent pianiste jama\u00EFcain Theophilus \"Easy Snappin'\" Beckford \u00E9tait un admirateur de Rosco Gordon."@fr . . . "Rosco Gordon"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "vocal"@fr . . . . . . . "Rosco Gordon est un chanteur et un compositeur afro-am\u00E9ricain de rhythm and blues et de blues, n\u00E9 le 10 avril 1928 \u00E0 Memphis et mort le 11 juillet 2002 \u00E0 New York. Il fit partie des \u00AB Beale Streeters \u00BB, un groupe informel de musiciens pionniers du Memphis blues. Rosco Gordon a contribu\u00E9 \u00E0 populariser un style rythmique de piano connu sous le nom de \u00AB The Rosco Rhythm \u00BB, qui deviendra l'une des bases des musiques ska et reggae."@fr . . . . . . . .