. . . . . . . . . . "177373606"^^ . . "Rock en espagnol"@fr . "Fin des ann\u00E9es 1950 et d\u00E9but des ann\u00E9es 1960"@fr . . . . . . "Rock en espagnol"@fr . . . . "647935"^^ . . . . . . . . . . . . "Le rock en espagnol, ou rock en espa\u00F1ol, est une forme de rock compos\u00E9e et interpr\u00E9t\u00E9e en langue espagnole. Le terme de rock en espa\u00F1ol ne prend pas en compte des groupes et artistes ib\u00E9roam\u00E9ricains qui chantaient en anglais pendant les ann\u00E9es 1960, raison pour laquelle le terme de \u00AB rock ib\u00E9roam\u00E9ricain \u00BB est privil\u00E9gi\u00E9. Un autre terme, \u00AB rock latino \u00BB (latin rock en anglais), pose aussi probl\u00E8mes du fait qu'il fasse davantage allusion \u00E0 la fusion entre la musique traditionnelle latine et le rock qu'\u00E0 un crit\u00E8re g\u00E9ographique ou idiomatique. Une autre donn\u00E9e aussi importante est que les principales bandes de rock latin proviennent l'Argentine, du Chili, la Colombie et le Mexique. Le rock en espagnol ne poss\u00E8de aucune caract\u00E9ristique propre, et embrasse des types traditionnellement \u00E9trangers au rock, mais qui sont int\u00E9gr\u00E9s aux manifestations musicales urbaines latino-am\u00E9ricaines et des Cara\u00EFbes, comme le ska ou le hip-hop. Le rock en espagnol trouve sa propre identit\u00E9 en se d\u00E9marquant du rock anglo-saxon."@fr . . . . . . "\u00C9lev\u00E9e dans le monde hispanophone, restreint dans le reste du monde"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "14835"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Le rock en espagnol, ou rock en espa\u00F1ol, est une forme de rock compos\u00E9e et interpr\u00E9t\u00E9e en langue espagnole. Le terme de rock en espa\u00F1ol ne prend pas en compte des groupes et artistes ib\u00E9roam\u00E9ricains qui chantaient en anglais pendant les ann\u00E9es 1960, raison pour laquelle le terme de \u00AB rock ib\u00E9roam\u00E9ricain \u00BB est privil\u00E9gi\u00E9."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . .