. . . . . . . "A. Francke 1957/1969"@fr . . . . . . "2"^^ . . . . . . . . . . "T\u00FCbingen\u2013Berne\u2013Munich"@fr . "221408"^^ . . . . . . . . . . . . "Indogermanische Wortwurzeln"@de . . . . . . . . . . . . . . . . "En linguistique, les racines indo-europ\u00E9ennes sont des racines qui ont pu \u00EAtre reconstitu\u00E9es par la m\u00E9thode comparative en \u00E9tudiant les diverses langues indo-europ\u00E9ennes. Elles constituent les bases lexicales des mots. Les racines PIE (proto-indo-europ\u00E9en) ont toujours une signification verbale[pr\u00E9cision n\u00E9cessaire], comme \u00AB manger \u00BB ou \u00AB courir \u00BB, par opposition aux noms (\u00AB un pied \u00BB), adjectifs (\u00AB rouge \u00BB), ou autres parts du discours. Les racines n'apparaissent jamais isol\u00E9es dans la langue. Des mots compl\u00E8tement fl\u00E9chis comme les verbes, les noms ou les adjectifs sont form\u00E9es par l'addition d'autres morph\u00E8mes \u00E0 une racine. Typiquement, une racine plus un suffixe forment un th\u00E8me, et l'addition d'une terminaison au th\u00E8me forme un mot."@fr . . . "En linguistique, les racines indo-europ\u00E9ennes sont des racines qui ont pu \u00EAtre reconstitu\u00E9es par la m\u00E9thode comparative en \u00E9tudiant les diverses langues indo-europ\u00E9ennes. Elles constituent les bases lexicales des mots. Les racines PIE (proto-indo-europ\u00E9en) ont toujours une signification verbale[pr\u00E9cision n\u00E9cessaire], comme \u00AB manger \u00BB ou \u00AB courir \u00BB, par opposition aux noms (\u00AB un pied \u00BB), adjectifs (\u00AB rouge \u00BB), ou autres parts du discours. Les racines n'apparaissent jamais isol\u00E9es dans la langue. Des mots compl\u00E8tement fl\u00E9chis comme les verbes, les noms ou les adjectifs sont form\u00E9es par l'addition d'autres morph\u00E8mes \u00E0 une racine. Typiquement, une racine plus un suffixe forment un th\u00E8me, et l'addition d'une terminaison au th\u00E8me forme un mot. Par exemple, *b\u02B0\u00E9reti, \u00AB il porte \u00BB peut \u00EAtre divis\u00E9 ainsi : une racine *b\u02B0er- signifiant \u00AB porter \u00BB, le suffixe *-e- du pr\u00E9sent et la terminaison *-ti de la troisi\u00E8me personne du singulier. Dans sa forme de base, une racine PIE consiste en une voyelle unique, pr\u00E9c\u00E9d\u00E9e et suivie par des consonnes. Quelques cas mis \u00E0 part, la racine ne se caract\u00E9rise que par ses consonnes, tandis que la voyelle peut changer, processus appel\u00E9 alternance vocalique. Ainsi, la racine sus-mentionn\u00E9e *b\u02B0er- peut aussi appara\u00EEtre sous la forme *b\u02B0or-, avec une voyelle longue dans *b\u02B0\u0113r- ou *b\u02B0\u014Dr-, ou m\u00EAme sous la forme non-syllabique *b\u02B0r-, selon diff\u00E9rents contextes grammaticaux. Les \u00E9tymons indo-europ\u00E9ens doivent \u00EAtre pr\u00E9c\u00E9d\u00E9s d'un ast\u00E9risque, qui indique le caract\u00E8re suppos\u00E9 et non attest\u00E9 de la forme. Il existe plusieurs mani\u00E8res de noter les \u00E9tymons, selon le degr\u00E9 de pr\u00E9cision ; par exemple, le mot signifiant \u00AB m\u00E8re \u00BB est not\u00E9 *m\u0101t\u0113r ou, plus pr\u00E9cis\u00E9ment (et si l'on suit les th\u00E8ses laryngalistes), *m\u00E9\u01272t\u0113r (ou bien, avec d'autres conventions typographiques, *m\u00E9H2t\u0113r, *m\u00E9h2t\u0113r). Cela se constate d'autant mieux avec l'\u00E9tymon pour \u00AB soleil \u00BB, *s\u00E9h2-ul, *s\u00E9\u01272-ul, *s\u0101ul-, etc."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Roll gwrizio\u00F9 indezeuropek"@br . . "Vocabulario indoeuropeo (sustantivos)"@es . . . . . . . . . . . . . "Racine indo-europ\u00E9enne"@fr . "2005"^^ . . . . "Indogermanisches etymologisches W\u00F6rterbuch"@fr . . . "de"@fr . . . . . "5"^^ . "176788565"^^ . . . . . . . . . "Radici protoindoeuropee"@it . "22703"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .