. . . . "20164"^^ . . "Pseudopotential"@en . "Note: dans les formules suivantes, les notations AE et PS font r\u00E9f\u00E9rence respectivement aux r\u00E9sultats obtenus de mani\u00E8re ab initio et avec le pseudopotentiel.\n\n repr\u00E9sente la fonction d'onde\n\n# \n# pour \n# \n\n\u00E0 compl\u00E9ter\u2026"@fr . "\u64EC\u30DD\u30C6\u30F3\u30B7\u30E3\u30EB"@ja . "Pseudopotencial"@pt . . . . . . "Pseudo-potentiel"@fr . . . . "\u041F\u0441\u0435\u0432\u0434\u043E\u043F\u043E\u0442\u0435\u043D\u0446\u0456\u0430\u043B"@uk . . "Relations math\u00E9matiques"@fr . . . . . . "En chimie quantique, les m\u00E9thodes de description par pseudo-potentiel (ou pseudopotentiel) sont un ensemble de m\u00E9thodes visant \u00E0 substituer le potentiel d\u2019interaction coulombien du noyau et les effets des \u00E9lectron dits \u00AB de c\u0153ur \u00BB, consid\u00E9r\u00E9s comme fortement li\u00E9s, par un potentiel effectif interagissant uniquement avec les \u00E9lectrons dits \u00AB de valence \u00BB. Cette approximation pr\u00E9sente un grand int\u00E9r\u00EAt dans le calcul th\u00E9orique de la structure \u00E9lectronique de la mati\u00E8re, car elle permet de ne traiter explicitement que les \u00E9lectrons de faible \u00E9nergie (qui sont constitutifs, par exemple, de liaisons chimiques) et cr\u00E9e ainsi un gain important des ressources informatiques n\u00E9cessaires aux calculs."@fr . "1867477"^^ . "\u8D5D\u52BF"@zh . . . "En chimie quantique, les m\u00E9thodes de description par pseudo-potentiel (ou pseudopotentiel) sont un ensemble de m\u00E9thodes visant \u00E0 substituer le potentiel d\u2019interaction coulombien du noyau et les effets des \u00E9lectron dits \u00AB de c\u0153ur \u00BB, consid\u00E9r\u00E9s comme fortement li\u00E9s, par un potentiel effectif interagissant uniquement avec les \u00E9lectrons dits \u00AB de valence \u00BB. Cette approximation pr\u00E9sente un grand int\u00E9r\u00EAt dans le calcul th\u00E9orique de la structure \u00E9lectronique de la mati\u00E8re, car elle permet de ne traiter explicitement que les \u00E9lectrons de faible \u00E9nergie (qui sont constitutifs, par exemple, de liaisons chimiques) et cr\u00E9e ainsi un gain important des ressources informatiques n\u00E9cessaires aux calculs. Un pseudopotentiel peut \u00EAtre g\u00E9n\u00E9r\u00E9 pour un \u00E9l\u00E9ment chimique dans une configuration \u00E9lectronique de r\u00E9f\u00E9rence choisie arbitrairement, selon diff\u00E9rentes m\u00E9thodes (empiriques ou non). Ce pseudopotentiel peut \u00EAtre ensuite sp\u00E9cifiquement utilis\u00E9 pour un syst\u00E8me donn\u00E9 (cas des pseudo-potentiels empiriques) ou pour un ensemble de syst\u00E8mes (mol\u00E9culaires ou solides) afin d'en d\u00E9crire les diff\u00E9rentes propri\u00E9t\u00E9s physiques. Dans tous les cas, la description du \u00AB c\u0153ur \u00BB du pseudopotentiel est inchang\u00E9e. De nombreux sch\u00E9mas de g\u00E9n\u00E9ration de pseudo-potentiels existent. Ils peuvent se baser sur une approche empirique (les param\u00E8tres sont ajust\u00E9s sur les propri\u00E9t\u00E9s d'un syst\u00E8me r\u00E9el) ou sur des approches vari\u00E9es et nombreuses se basant sur une modification math\u00E9matique de la fonction d'onde \u00E9lectronique en de\u00E7\u00E0 d'une distance donn\u00E9e au noyau de l'atome."@fr . . "left"@fr . . . . . "178820785"^^ . . . . . . .