. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "189143619"^^ . . "les soci\u00E9t\u00E9s de journalistes, soci\u00E9t\u00E9s des r\u00E9dacteurs et soci\u00E9t\u00E9s des personnels de l\u2019AFP, BFM-TV, Challenges, CNews, Courrier international, Les Echos, Europe 1, Le Figaro, France 2, France 24, France 3 national, France Info, Franceinfo.fr, France Info TV, France Inter, France-Soir, L\u2019Humanit\u00E9, Le JDD, Lib\u00E9ration, M6, Mediapart, Le Monde, L\u2019Obs, Paris Match, Le Parisien-Aujourd\u2019hui en France, Le Point, Premi\u00E8res Lignes, RFI, RMC, RTL, T\u00E9l\u00E9rama, TF1, La Tribune, TV5Monde, et les r\u00E9dactions d\u2019Alternatives \u00E9conomiques, La Croix et Les Jours."@fr . . . . . . . . . . . . . . "En droit fran\u00E7ais, la protection des sources d'information des journalistes, appel\u00E9e aussi \u00AB secret professionnel \u00BB, est la base de la d\u00E9ontologie du journalisme et de la libert\u00E9 de la presse, avec la v\u00E9rification des faits. Elle permet aux journalistes la v\u00E9rification des faits, aupr\u00E8s de personnes qui acceptent de leur parler b\u00E9n\u00E9volement \u00E0 condition que leur identit\u00E9 ne soit pas divulgu\u00E9e."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "6631028"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Les signataires sont les soci\u00E9t\u00E9s des journalistes, soci\u00E9t\u00E9s des r\u00E9dacteurs, et soci\u00E9t\u00E9s des personnels de l'AFP, BFMTV, Challenges, Courrier international, Les \u00C9chos, Europe 1, L'Express, Le Figaro, France 2, France 3 National, Franceinfo.fr, Franceinfo TV, France Inter, L'Humanit\u00E9, Le JDD, LCP, Lib\u00E9ration, M6, Le Monde, L'Obs, Le Parisien-Aujourd'hui en France, Le Point, Premi\u00E8res Lignes, Radio France, RFI, RMC, RTL, Sud-Ouest, T\u00E9l\u00E9rama, TF1, La Tribune, TV5Monde, 20Minutes et la r\u00E9daction des Jours."@fr . . . . . . . . . . . . . . . "alpha"@fr . . . . . . . . . "Protection des sources d'information des journalistes en droit fran\u00E7ais"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "53130"^^ . . . . . . . "En droit fran\u00E7ais, la protection des sources d'information des journalistes, appel\u00E9e aussi \u00AB secret professionnel \u00BB, est la base de la d\u00E9ontologie du journalisme et de la libert\u00E9 de la presse, avec la v\u00E9rification des faits. Elle permet aux journalistes la v\u00E9rification des faits, aupr\u00E8s de personnes qui acceptent de leur parler b\u00E9n\u00E9volement \u00E0 condition que leur identit\u00E9 ne soit pas divulgu\u00E9e. La d\u00E9ontologie donne aux journalistes professionnels le devoir de prendre toutes les pr\u00E9cautions pour que leurs sources ne puissent \u00EAtre identifi\u00E9es contre leur gr\u00E9, afin de prot\u00E9ger la libert\u00E9 de parole de ces sources d'information. Ils doivent respecter strictement l'anonymat demand\u00E9, quitte \u00E0 subir des tracasseries de la part de ceux qui souhaiteraient y mettre fin. Garanti en Europe par l'article 10 de la Convention europ\u00E9enne des droits de l'homme, ce droit et devoir a fait l'objet d'une jurisprudence des plus protectrices de la Cour europ\u00E9enne des droits de l'homme, qui le d\u00E9finit comme une \u00AB condition essentielle au libre exercice du journalisme et au respect du droit du public d\u2019\u00EAtre inform\u00E9 des questions d\u2019int\u00E9r\u00EAt g\u00E9n\u00E9ral \u00BB."@fr . . . . . . . .