. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Category:Proteins"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . "Protina"@war . . . . "Prot\u00E9ine"@fr . . . . . . . . . . . "Electron crystallography"@fr . . "In-gel digestion"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Prote\u00EFna"@oc . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Chemical ligation"@fr . . . . . . . . . . . . . "Clustal"@fr . . "ligature chimique"@fr . . . . . . . . . . "dosage enzymatique"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Protein engineering"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Proteine"@it . . . . . . . . . . . . . . . . "Prote\u00EDna"@an . . . . . . . . . . . "Enzyme assay"@fr . . . . . . . . . . . . "111687"^^ . . . . . . . . "puces \u00E0 prot\u00E9ines"@fr . . . . . . . . "Prot\u00E9ine"@fr . . . "\u0411\u0456\u043B\u043A\u0438"@uk . "Protein microarray"@fr . "digestion en gel"@fr . . . . . . . "Puce \u00E0 prot\u00E9ines"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Protein"@de . "effecteur"@fr . . . . . . . . . "Protein"@als . . . . . . "Effecteur"@fr . . . . . . "Les prot\u00E9ines ont \u00E9t\u00E9 d\u00E9finies comme \u00E9tant des macromol\u00E9cules biologiques pr\u00E9sentes dans toutes les cellules vivantes, mais des travaux r\u00E9cents montrent qu'il existe aussi des centaines voire des milliers de micro- ou nano-prot\u00E9ines. Elles sont form\u00E9es d'une ou de plusieurs cha\u00EEnes polypeptidiques. Chacune de ces cha\u00EEnes est constitu\u00E9e de l'encha\u00EEnement de r\u00E9sidus d'acides amin\u00E9s li\u00E9s entre eux par des liaisons peptidiques."@fr . "g\u00E9nie prot\u00E9ique"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0628\u0631\u0648\u062A\u064A\u0646"@ar . . . . . . . "\u86CB\u767D\u8D28"@zh . . . . . "Effector"@fr . "Bia\u0142ka"@pl . . . . "prot\u00E9ine"@fr . . . . . . . . . . . . . . "ClustalW"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Prote\u00EFna"@ca . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "190751513"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "5193"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "en"@fr . . "en"@fr . . . "Prote\u00EDna"@es . . . . . . "Clustal"@fr . "cristallographie \u00E9lectronique"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Les prot\u00E9ines ont \u00E9t\u00E9 d\u00E9finies comme \u00E9tant des macromol\u00E9cules biologiques pr\u00E9sentes dans toutes les cellules vivantes, mais des travaux r\u00E9cents montrent qu'il existe aussi des centaines voire des milliers de micro- ou nano-prot\u00E9ines. Elles sont form\u00E9es d'une ou de plusieurs cha\u00EEnes polypeptidiques. Chacune de ces cha\u00EEnes est constitu\u00E9e de l'encha\u00EEnement de r\u00E9sidus d'acides amin\u00E9s li\u00E9s entre eux par des liaisons peptidiques. Les prot\u00E9ines assurent une multitude de fonctions au sein de la cellule vivante et dans les tissus. Ce sont des prot\u00E9ines enzymatiques (enzymes) qui catalysent les r\u00E9actions chimiques de synth\u00E8se et de d\u00E9gradation n\u00E9cessaires au m\u00E9tabolisme de la cellule. D'autres prot\u00E9ines assurent un r\u00F4le structurel au sein du cytosquelette ou des tissus (actine, collag\u00E8ne), certaines sont des moteurs mol\u00E9culaires qui permettent la mobilit\u00E9 (myosine), d'autres sont impliqu\u00E9es dans le conditionnement de l'ADN (histones), la r\u00E9gulation de l'expression g\u00E9n\u00E9tique (facteurs de transcription), le m\u00E9tabolisme \u00E9nerg\u00E9tique (ATP synthase) ou encore la transmission de signaux cellulaires (r\u00E9cepteurs membranaires). Les cha\u00EEnes prot\u00E9iques sont synth\u00E9tis\u00E9es dans la cellule par les ribosomes, \u00E0 partir de l'information cod\u00E9e dans les g\u00E8nes, qui d\u00E9terminent l'ordre dans lequel s'encha\u00EEnent les 22 acides amin\u00E9s, dits prot\u00E9inog\u00E8nes, qui sont incorpor\u00E9s directement lors de la biosynth\u00E8se des prot\u00E9ines. La succession des acides amin\u00E9s est appel\u00E9e s\u00E9quence du polypeptide. Des modifications post-traductionnelles peuvent intervenir ensuite, une fois la prot\u00E9ine synth\u00E9tis\u00E9e, ce qui peut avoir pour effet d'en modifier les propri\u00E9t\u00E9s physiques ou chimiques. Il est \u00E9galement fr\u00E9quent que des mol\u00E9cules non prot\u00E9iques, appel\u00E9es groupes prosth\u00E9tiques, se fixent de mani\u00E8re stable sur des prot\u00E9ines et contribuent de mani\u00E8re d\u00E9terminante \u00E0 leurs fonctions biologiques : c'est par exemple le cas de l'h\u00E8me dans l'h\u00E9moglobine, sans lequel cette prot\u00E9ine ne pourrait pas transporter l'oxyg\u00E8ne dans le sang. Les prot\u00E9ines adoptent une structure en trois dimensions qui leur permet d'assurer leur fonction biologique. Cette structure particuli\u00E8re est d\u00E9termin\u00E9e avant tout par leur s\u00E9quence en acides amin\u00E9s dont les propri\u00E9t\u00E9s physico-chimiques diverses conduit la cha\u00EEne prot\u00E9ique \u00E0 adopter un repliement stable. Au laboratoire, elles peuvent \u00EAtre s\u00E9par\u00E9es des autres constituants cellulaires \u00E0 l'aide de diverses techniques telles que l'ultracentrifugation, la pr\u00E9cipitation, l'\u00E9lectrophor\u00E8se et la chromatographie. Le g\u00E9nie g\u00E9n\u00E9tique a introduit un grand nombre de m\u00E9thodes permettant de faciliter la purification des prot\u00E9ines. Leur structure peut \u00EAtre \u00E9tudi\u00E9e par immunohistochimie, par mutagen\u00E8se dirig\u00E9e, par cristallographie aux rayons X, par r\u00E9sonance magn\u00E9tique nucl\u00E9aire et par spectrom\u00E9trie de masse. Les prot\u00E9ines sont un composant important de l'alimentation animale, elles sont d\u00E9grad\u00E9es dans le tube digestif et les acides amin\u00E9s lib\u00E9r\u00E9s sont ensuite r\u00E9utilis\u00E9s par l'organisme. On fait la diff\u00E9rence entre prot\u00E9ines compl\u00E8tes et prot\u00E9ines incompl\u00E8tes. Une prot\u00E9ine compl\u00E8te contient l\u2019ensemble des neuf acides amin\u00E9s essentiels tandis qu'une prot\u00E9ine incompl\u00E8te trouv\u00E9e dans les aliments d'origine v\u00E9g\u00E9tale ne les contient pas tous."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Protein"@br . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Protein"@sv . . . . . . . . . . . . . .