. . . . . . . . . . . . . . . . . "Cyberpunk derivatives"@en . . . . . . . . "Le postcyberpunk est un sous-genre de la science-fiction qui a \u00E9merg\u00E9 du mouvement cyberpunk. Comme celui-ci, le postcyberpunk se concentre sur les d\u00E9veloppements technologiques dans des soci\u00E9t\u00E9s du futur proche, en examinant par exemple les impacts sociaux de la t\u00E9l\u00E9communication \u00E0 outrance, de la g\u00E9n\u00E9tique et de la nanotechnologie. N\u00E9anmoins, \u00E0 la diff\u00E9rence du cyberpunk \u00AB classique \u00BB, les \u0153uvres postcyberpunk mettent en sc\u00E8ne des personnages qui essaient d\u2019am\u00E9liorer leurs conditions sociales (ou en tout cas d\u2019emp\u00EAcher les choses d\u2019empirer). Par ailleurs, d\u00E8s les ann\u00E9es 1990, certains artistes du monde de l'art performance tels que Stelarc, Eduardo Kac, Orlan, Zhu Yu et Andr\u00E9 \u00C9ric L\u00E9tourneau ont fait sortir ces concepts des seuls univers litt\u00E9raires et cin\u00E9matographiques."@fr . . . . . . . "Le postcyberpunk est un sous-genre de la science-fiction qui a \u00E9merg\u00E9 du mouvement cyberpunk. Comme celui-ci, le postcyberpunk se concentre sur les d\u00E9veloppements technologiques dans des soci\u00E9t\u00E9s du futur proche, en examinant par exemple les impacts sociaux de la t\u00E9l\u00E9communication \u00E0 outrance, de la g\u00E9n\u00E9tique et de la nanotechnologie. N\u00E9anmoins, \u00E0 la diff\u00E9rence du cyberpunk \u00AB classique \u00BB, les \u0153uvres postcyberpunk mettent en sc\u00E8ne des personnages qui essaient d\u2019am\u00E9liorer leurs conditions sociales (ou en tout cas d\u2019emp\u00EAcher les choses d\u2019empirer)."@fr . . . . . . . . "P\u00F3s-cyberpunk"@pt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "175177085"^^ . "Postcyberpunk"@fr . . . . . . . . . . . . . "Posciberpunk"@es . . . "722440"^^ . . . . . . . . . "\u041F\u043E\u0441\u0442\u043A\u0438\u0431\u0435\u0440\u043F\u0430\u043D\u043A"@ru . . . . . . . . . . "8695"^^ . . . . . . . . . . . . . . .