. . . . . . . . . . . "2005-11-13"^^ . . . . . . . . . . . . . . . "La perliculture ou nacroculture d\u00E9signe l'activit\u00E9 humaine qui consiste \u00E0 cultiver les hu\u00EEtres perli\u00E8res, soit \u00E0 les \u00E9lever, \u00E0 les greffer et \u00E0 les entretenir pour en obtenir des perles de qualit\u00E9. Les premiers essais de culture des perles sont anciens : les Chinois introduisaient des statuettes de Bouddha dans les hu\u00EEtres en guise de nucl\u00E9us, les Aram\u00E9ens de petites figurines en terre cuite repr\u00E9sentant des animaux[r\u00E9f. n\u00E9cessaire]. Le Su\u00E9dois Carl von Linn\u00E9 et un Fran\u00E7ais font des essais, mais ce sont les Japonais To Kichi Nishikawa, Tatsuhei Mise et surtout Mikimoto K\u014Dkichi (1858-1954) qui r\u00E9ussissent \u00E0 mettre la technique au point, et en font une industrie."@fr . . . . . . . . . "187576778"^^ . . . . . . "La diff\u00E9rence de prix entre perles fines et de culture s'amenuise"@fr . . . . . . "Perlicultura"@es . . . . . "Perliculture"@fr . . . . . . . . . . "16831"^^ . . . "3903673"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "La perliculture ou nacroculture d\u00E9signe l'activit\u00E9 humaine qui consiste \u00E0 cultiver les hu\u00EEtres perli\u00E8res, soit \u00E0 les \u00E9lever, \u00E0 les greffer et \u00E0 les entretenir pour en obtenir des perles de qualit\u00E9. Les premiers essais de culture des perles sont anciens : les Chinois introduisaient des statuettes de Bouddha dans les hu\u00EEtres en guise de nucl\u00E9us, les Aram\u00E9ens de petites figurines en terre cuite repr\u00E9sentant des animaux[r\u00E9f. n\u00E9cessaire]. Le Su\u00E9dois Carl von Linn\u00E9 et un Fran\u00E7ais font des essais, mais ce sont les Japonais To Kichi Nishikawa, Tatsuhei Mise et surtout Mikimoto K\u014Dkichi (1858-1954) qui r\u00E9ussissent \u00E0 mettre la technique au point, et en font une industrie. Beaucoup d'hu\u00EEtres meurent apr\u00E8s la greffe : environ dix pour cent imm\u00E9diatement, et dix pour cent dans les deux ans. Un tiers des hu\u00EEtres rejettent le nucl\u00E9us et la nacre s\u00E9cr\u00E9t\u00E9e par le greffon forme alors un keshi (graine de pavot en japonais), une sorte de perle manqu\u00E9e. Un cinqui\u00E8me des hu\u00EEtres greff\u00E9es produisent une perle inutilisable. Sur les trente pour cent de greffons donnant une perle utilisable, seul un pour cent font des perles parfaites. Dans certaines vari\u00E9t\u00E9s d'hu\u00EEtres, on pose un noyau contre la coquille : c'est le mab\u00E9, une demi-perle ench\u00E2ss\u00E9e dans de la nacre. C'est Coco Chanel qui rendit ces mab\u00E9s \u00AB populaires \u00BB, mont\u00E9s en boucles d'oreille. Des recherches r\u00E9centes ont permis de mettre au point une vari\u00E9t\u00E9 de mab\u00E9s dont le noyau est sculpt\u00E9 connus sous le nom d'Ic\u00F4nes de Tahiti. Ces gemmes sont cultiv\u00E9es en un temps record de 3 \u00E0 4 mois avec un taux de r\u00E9ussite allant jusqu'\u00E0 80 %."@fr . . . . . . . . . "Roxana Azimi"@fr .