. . . . . . . . . "Patria Vieja est le nom donn\u00E9 \u00E0 la p\u00E9riode de l'Histoire du Chili comprise entre la Premi\u00E8re Junte nationale le 18 septembre 1810 et le d\u00E9sastre de Rancagua du 2 octobre 1814 qui signe la d\u00E9route du mouvement patriotique face aux forces loyales \u00E0 l'Empire espagnol. Un Congr\u00E8s national et une Junte nationale sont cr\u00E9\u00E9s pour administrer le territoire lib\u00E9r\u00E9. La premi\u00E8re constitution chilienne de 1812 pr\u00E9servait les droits au tr\u00F4ne de Ferdinand VII, alors prisonnier de Napol\u00E9on Ier sous r\u00E9serve qu'il en accepte le texte."@fr . . . . . "5337"^^ . . . . . "183940767"^^ . . . . . . . . "\u8001\u7956\u570B"@zh . . . . . . "Patria Vieja"@fr . . . . . "Patria Vieja est le nom donn\u00E9 \u00E0 la p\u00E9riode de l'Histoire du Chili comprise entre la Premi\u00E8re Junte nationale le 18 septembre 1810 et le d\u00E9sastre de Rancagua du 2 octobre 1814 qui signe la d\u00E9route du mouvement patriotique face aux forces loyales \u00E0 l'Empire espagnol. Cette p\u00E9riode se caract\u00E9rise par l'\u00E9volution progressive du mouvement autonomiste vers une aspiration \u00E0 l'ind\u00E9pendance du pays, la pr\u00E9pond\u00E9rance politique des fr\u00E8res Carrera en particulier de Jos\u00E9 Miguel Carrera et par la lutte arm\u00E9e men\u00E9e par le g\u00E9n\u00E9ral Bernardo O'Higgins contre la Capitainerie g\u00E9n\u00E9rale du Chili. Les batailles significatives sont celles de Yerba Buena, d'El Roble, de Quilo, de Membrillar et de Quechereguas. Un Congr\u00E8s national et une Junte nationale sont cr\u00E9\u00E9s pour administrer le territoire lib\u00E9r\u00E9. La premi\u00E8re constitution chilienne de 1812 pr\u00E9servait les droits au tr\u00F4ne de Ferdinand VII, alors prisonnier de Napol\u00E9on Ier sous r\u00E9serve qu'il en accepte le texte. La d\u00E9faite de Rancagna ouvre une nouvelle phase de l'Histoire du Chili qui prend le nom de Reconquista."@fr . . . "Patria Vieja"@pt . . . . . . . . . . . . . . . "10012076"^^ . . . . . . .