. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "565925"^^ . . . . . . . . . "Particules en suspension"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u61F8\u6D6E\u7C92\u5B50"@zh . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Feinstaub"@de . . . . . . . . . . "Les particules en suspension sont toutes les particules (solides ou en a\u00E9rosols) port\u00E9es par l'eau ou par l'air, quantifiables par filtration ou par d'autres proc\u00E9d\u00E9s physiques. Les mati\u00E8res particulaires ou PM (acronyme de Particulate Matter en anglais) sont les particules en suspension dans l'atmosph\u00E8re terrestre (a\u00E9rosols atmosph\u00E9riques). Un taux \u00E9lev\u00E9 de particules fines et ultrafines dans l'air est un facteur de risque sanitaire (maladies cardiovasculaires, alt\u00E9ration des fonctions pulmonaires, cancer du poumon), induisant une nette diminution de l'esp\u00E9rance de vie. Les PM sont \u2014 dans leur ensemble \u2014 d\u00E9sormais class\u00E9es canc\u00E9rog\u00E8nes pour l'homme (groupe 1) par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), et leur inhalation cause ou aggrave divers troubles cardiovasculaire"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Py\u0142 (zanieczyszczenie)"@pl . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Particulates"@en . . . . . . . . . "187917453"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Les particules en suspension sont toutes les particules (solides ou en a\u00E9rosols) port\u00E9es par l'eau ou par l'air, quantifiables par filtration ou par d'autres proc\u00E9d\u00E9s physiques. Les mati\u00E8res particulaires ou PM (acronyme de Particulate Matter en anglais) sont les particules en suspension dans l'atmosph\u00E8re terrestre (a\u00E9rosols atmosph\u00E9riques). Un taux \u00E9lev\u00E9 de particules fines et ultrafines dans l'air est un facteur de risque sanitaire (maladies cardiovasculaires, alt\u00E9ration des fonctions pulmonaires, cancer du poumon), induisant une nette diminution de l'esp\u00E9rance de vie. Les PM sont \u2014 dans leur ensemble \u2014 d\u00E9sormais class\u00E9es canc\u00E9rog\u00E8nes pour l'homme (groupe 1) par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), et leur inhalation cause ou aggrave divers troubles cardiovasculaires dont l\u2019infarctus du myocarde, l'accident vasculaire c\u00E9r\u00E9bral et l\u2019insuffisance cardiaque. L'exposition chronique aux PM amplifie ce risque et renforce l\u2019apparition d\u2019affections cardiom\u00E9taboliques chroniques (par exemple, ob\u00E9sit\u00E9, diab\u00E8te de type 2 et hypertension art\u00E9rielle). Selon l'OMS, les PM2,5 (de diam\u00E8tre inf\u00E9rieur \u00E0 2,5 \u00B5m) tuent plus de quatre millions de personnes par an, et une exposition chronique \u00E0 ces particules augmente le risque de maladies chroniques telles que le diab\u00E8te de type 2 et l'hypertension art\u00E9rielle. Des preuves r\u00E9centes montrent que m\u00EAme \u00E0 tr\u00E8s faibles doses (sous le seuil OMS recommand\u00E9 de 10 \u03BCg/m3) les PM2,5 sont encore source de surmortalit\u00E9. Enfants et personnes \u00E2g\u00E9es y sont plus vuln\u00E9rables. Des politiques environnementales et le recul du charbon en Europe ont r\u00E9duit certains probl\u00E8mes : par exemple, le \u00AB smog \u00BB qui touchait Londres et d'autres grandes villes a presque disparu en Europe depuis les ann\u00E9es 1960 (mais s'est d\u00E9velopp\u00E9 en Asie). En France, les particules fines PM2,5, apr\u00E8s un pic en 1991, ont diminu\u00E9 de 4 % par an (passant de 469 kilotonnes \u00E9mises par an en 1991 \u00E0 174 kilotonnes en 2015 selon le Centre interprofessionnel technique d'\u00E9tudes de la pollution atmosph\u00E9rique (CITEPA). Le d\u00E9r\u00E8glement climatique pourrait aggraver cette forme de pollution (Cf. s\u00E9cheresses, incendies et vents accrus). Les particules ultrafines (nanoparticules notamment) sont encore tr\u00E8s mal suivies et mesur\u00E9es dans l'air, mais pourraient avoir des impacts similaires ou plus graves. Des taux \u00E9lev\u00E9s en sont trouv\u00E9s dans les tunnels routiers et les zones de grande circulation."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Material particulado"@pt . . . . . . . "Conseil canadien des ministres de l'environnement"@fr . . . . . . . . . . . . "en"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "93059"^^ . . . . . . . . . . . "\u7C92\u5B50\u72B6\u7269\u8CEA"@ja . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Canadian Council of Ministers of the Environment"@fr . . . "Aerosol atmosf\u00E8ric"@ca . . . . .