. . . . "Le paradoxe de Berry a \u00E9t\u00E9 formul\u00E9 par Bertrand Russell en 1906. On le trouve dans un article, paru en fran\u00E7ais cette m\u00EAme ann\u00E9e, de la Revue de m\u00E9taphysique et de morale. Russell introduit, dans une discussion \u00E0 propos du paradoxe de Richard, le \u00AB plus petit entier non nommable en moins de dix-huit syllabes qui para\u00EEt \u00EAtre ainsi nomm\u00E9 en dix-sept syllabes \u00BB, et attribue cette d\u00E9finition paradoxale \u00E0 un biblioth\u00E9caire londonien, G. G. Berry. Toujours selon Russell, c'est une simplification, qui \u00AB a le m\u00E9rite de ne pas d\u00E9passer les nombres finis \u00BB, du paradoxe du \u00AB plus petit ordinal ind\u00E9finissable qui semble d\u00E9fini par la phrase m\u00EAme qui annonce qu'il est ind\u00E9finissable \u00BB (forme probablement due \u00E0 Russell lui-m\u00EAme). Ces \u00E9nonc\u00E9s sont repris dans l'article de Russell de 1908 sur la th\u00E9orie des types."@fr . . "Paradoxe de Berry"@fr . . . . . . "Berry-Paradoxon"@de . . . . . . . . "Paradoxo de Berry"@pt . . . "Berry paradox"@en . . . "Le paradoxe de Berry a \u00E9t\u00E9 formul\u00E9 par Bertrand Russell en 1906. On le trouve dans un article, paru en fran\u00E7ais cette m\u00EAme ann\u00E9e, de la Revue de m\u00E9taphysique et de morale. Russell introduit, dans une discussion \u00E0 propos du paradoxe de Richard, le \u00AB plus petit entier non nommable en moins de dix-huit syllabes qui para\u00EEt \u00EAtre ainsi nomm\u00E9 en dix-sept syllabes \u00BB, et attribue cette d\u00E9finition paradoxale \u00E0 un biblioth\u00E9caire londonien, G. G. Berry."@fr . . . "5258"^^ . . . . . . . . . . "\u30D9\u30EA\u30FC\u306E\u30D1\u30E9\u30C9\u30C3\u30AF\u30B9"@ja . "\u041F\u0430\u0440\u0430\u0434\u043E\u043A\u0441 \u0411\u0435\u0440\u0440\u0438"@ru . . . . . . . . . "709316"^^ . . . . . . . "186758399"^^ . . . . "Paradosso di Berry"@it . . "Paradoja de Berry"@es . . .