. "PMD est un outil d'analyse statique de code, prenant en charge plusieurs langages dont Java. Il peut \u00EAtre utilis\u00E9 pour d\u00E9tecter de possibles erreurs de programmation, v\u00E9rifier les r\u00E8gles d'un style de programmation, ou mesurer des indicateurs de qualit\u00E9 de code, comme des mesures de complexit\u00E9. L'analyse produit un rapport lisible par le programmeur. Bien que le sigle PMD ne veuille rien dire officiellement, il a plusieurs interpr\u00E9tations officieuses, comme par exemple Programming Mistake Detector (soit litt\u00E9ralement en anglais \u00AB D\u00E9tecteur d'erreur de programmation \u00BB). Son utilisation peut \u00EAtre automatis\u00E9e \u00E0 l'aide d'un moteur de production comme Ant, Maven et Gradle. PMD s'int\u00E8gre \u00E9galement dans diff\u00E9rents IDE Java comme Eclipse, IntelliJ et NetBeans. PMD apporte une s\u00E9rie d'outils compl\u00E9mentaires : \n* un d\u00E9tecteur de code dupliqu\u00E9 par copier-coller appel\u00E9 CPD (qui supporte d'autre langages que Java tel PHP, Ruby, ou encore Fortran) ; \n* un analyseur de flux de donn\u00E9es ; \n* un d\u00E9tecteur de code mort."@fr . "188663483"^^ . . . . . . . "PMD"@fr . . . . . . . "1885105"^^ . . . . . "PMD (Software)"@de . . . . "PMD est un outil d'analyse statique de code, prenant en charge plusieurs langages dont Java. Il peut \u00EAtre utilis\u00E9 pour d\u00E9tecter de possibles erreurs de programmation, v\u00E9rifier les r\u00E8gles d'un style de programmation, ou mesurer des indicateurs de qualit\u00E9 de code, comme des mesures de complexit\u00E9. L'analyse produit un rapport lisible par le programmeur. Bien que le sigle PMD ne veuille rien dire officiellement, il a plusieurs interpr\u00E9tations officieuses, comme par exemple Programming Mistake Detector (soit litt\u00E9ralement en anglais \u00AB D\u00E9tecteur d'erreur de programmation \u00BB)."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "PMD"@fr . . . . . . "2267"^^ . . . "PMD (logiciel)"@fr . . . "Java"@fr . . . . . . . . . . . . . "PMD (software)"@es . . . . .