. . . . "514"^^ . . . . . "461"^^ . . . . . . . . . . . "562"^^ . . "en"@fr . . . . . . . . "Oksigen"@br . . . . "809"^^ . "792"^^ . . "715"^^ . . "720"^^ . . . . "233.4"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "Oxicheno"@an . . . "293"^^ . "437"^^ . . . . . . . . . . . "269"^^ . . . . "548"^^ . . . . . "429.7"^^ . . . . "Oxigeno"@eu . "221"^^ . . . . . . "429.91"^^ . . . . "606"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . "407"^^ . . . . . "657.5"^^ . . "Oxygen"@en . . . . . . . . . "598"^^ . . . . "2277"^^ . "799.6"^^ . . . "694"^^ . . . . . . "250"^^ . . . . . . . . . "Oxyg\u00E8ne"@fr . . . . . . . . . . . . . "573"^^ . "405"^^ . . . . . . . . "383.3"^^ . . . . . . . . . "220"^^ . . . "501.9"^^ . . . . . . . . . . . . . . . "Category:Oxygen"@fr . . "237.6"^^ . "801"^^ . . "443"^^ . . "267.47"^^ . . "656.1"^^ . . . . . . . "\u041A\u0438\u0441\u043B\u043E\u0440\u043E\u0434"@ru . . "Oxigen"@ca . . . . . . . . . "36.4"^^ . . "418"^^ . . . . . . . "839"^^ . . . . . "http://www.periodictable.com/Elements/008/data.html|titre=Technical data for Oxygen"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "794"^^ . "627"^^ . . . . . . . "460"^^ . . . . . . . . . "oxyg\u00E8ne"@fr . . . . . "755"^^ . . "374"^^ . "877"^^ . "631.62"^^ . . "L'oxyg\u00E8ne est l'\u00E9l\u00E9ment chimique de num\u00E9ro atomique 8, de symbole O. C'est la t\u00EAte de file du groupe des chalcog\u00E8nes, souvent appel\u00E9 groupe de l'oxyg\u00E8ne. D\u00E9couvert ind\u00E9pendamment en 1772 par le Su\u00E9dois Carl Wilhelm Scheele \u00E0 Uppsala, et en 1774 par Pierre Bayen \u00E0 Ch\u00E2lons-en-Champagne ainsi que par le Britannique Joseph Priestley dans le Wiltshire, l'oxyg\u00E8ne a \u00E9t\u00E9 nomm\u00E9 ainsi en 1777 par le Fran\u00E7ais Antoine Lavoisier et son \u00E9pouse \u00E0 Paris \u00E0 partir du grec ancien \u1F40\u03BE\u03CD\u03C2 / ox\u00FAs (\u00AB aigu \u00BB, c'est-\u00E0-dire ici \u00AB acide \u00BB), et \u03B3\u03B5\u03BD\u03AE\u03C2 / gen\u1E17s (\u00AB g\u00E9n\u00E9rateur \u00BB), car Lavoisier pensait \u00E0 tort \u2014 oxydation et acidification \u00E9tant reli\u00E9es \u2014 que : \u00AB Nous avons donn\u00E9 \u00E0 la base de la portion respirable de l'air le nom d'oxyg\u00E8ne, en le d\u00E9rivant de deux mots grecs \u1F40\u03BE\u03CD\u03C2, acide et \u03B3\u03B5\u03AF\u03BD\u03BF\u03BC\u03B1\u03B9, j'engendre, parce qu'en effet une des propri\u00E9t\u00E9s les plus g\u00E9n\u00E9rales de cette base [Lavoisier parle de l'oxyg\u00E8ne] est de former des acides en se combinant avec la plupart des substances. Nous appellerons donc gaz oxyg\u00E8ne la r\u00E9union de cette base avec le calorique. \u00BB Une mol\u00E9cule de formule chimique O2, appel\u00E9e commun\u00E9ment \u00AB oxyg\u00E8ne \u00BB mais \u00AB dioxyg\u00E8ne \u00BB par les chimistes, est constitu\u00E9e de deux atomes d'oxyg\u00E8ne reli\u00E9s par liaison covalente : aux conditions normales de temp\u00E9rature et de pression, le dioxyg\u00E8ne est un gaz, qui constitue 20,8 % du volume de l'atmosph\u00E8re terrestre au niveau de la mer. L'oxyg\u00E8ne est un non-m\u00E9tal qui forme tr\u00E8s facilement des compos\u00E9s, notamment des oxydes, avec pratiquement tous les autres \u00E9l\u00E9ments chimiques. Cette facilit\u00E9 se traduit par des \u00E9nergies de formation \u00E9lev\u00E9es mais, cin\u00E9tiquement, le dioxyg\u00E8ne est souvent peu r\u00E9actif \u00E0 temp\u00E9rature ambiante. Ainsi un m\u00E9lange de dioxyg\u00E8ne et de dihydrog\u00E8ne, de fer ou de soufre, etc., n'\u00E9volue qu'extr\u00EAmement lentement. C'est, en masse, le troisi\u00E8me \u00E9l\u00E9ment le plus abondant de l'Univers apr\u00E8s l'hydrog\u00E8ne et l'h\u00E9lium, et le plus abondant des \u00E9l\u00E9ments de l'\u00E9corce terrestre ; l'oxyg\u00E8ne constitue ainsi sur Terre : \n* 86 % de la masse des oc\u00E9ans, sous la forme d'eau ; \n* 46,4 % de la masse de l'\u00E9corce terrestre, en particulier sous forme d'oxydes et de silicates ; \n* 23,1 % de la masse de l'air, sous forme de dioxyg\u00E8ne ou d'ozone, soit 1,2 \u00D7\u202F1015 tonnes, soit pr\u00E8s de 21 % du volume total de l'atmosph\u00E8re ; \n* 62,5 % de la masse du corps humain ; \n* jusqu'\u00E0 88 % de la masse de certains animaux marins. La Terre \u00E9tait \u00E0 l'origine d\u00E9pourvue de dioxyg\u00E8ne. Celui-ci s'est form\u00E9 gr\u00E2ce \u00E0 la photosynth\u00E8se r\u00E9alis\u00E9e par les v\u00E9g\u00E9taux, les algues et les cyanobact\u00E9ries, ces derni\u00E8res \u00E9tant apparues il y a peut-\u00EAtre 2,8 milliards d'ann\u00E9es. Le dioxyg\u00E8ne O2 est toxique pour les organismes ana\u00E9robies, dont faisaient partie les premi\u00E8res formes de vie apparues sur Terre, mais est indispensable \u00E0 la respiration des organismes a\u00E9robies, qui constituent la grande majorit\u00E9 des esp\u00E8ces vivantes actuelles. La respiration cellulaire est l'ensemble des voies m\u00E9taboliques, telles que le cycle de Krebs et la cha\u00EEne respiratoire, aliment\u00E9es par exemple par la glycolyse et la \u03B2-oxydation, par lesquelles une cellule produit de l'\u00E9nergie sous forme d'ATP et du pouvoir r\u00E9ducteur sous forme de NADH + H+ et de FADH2. En s'accumulant dans l'atmosph\u00E8re terrestre, le dioxyg\u00E8ne O2 issu de la photosynth\u00E8se a form\u00E9 une couche d'ozone \u00E0 la base de la stratosph\u00E8re sous l'effet du rayonnement solaire. L'ozone est un allotrope de l'oxyg\u00E8ne de formule chimique O3 encore plus oxydant que le dioxyg\u00E8ne \u2014 ce qui en fait un polluant ind\u00E9sirable lorsqu'il est pr\u00E9sent dans la troposph\u00E8re au niveau du sol \u2014 mais qui a la particularit\u00E9 d'absorber les rayons ultraviolets du Soleil et donc de prot\u00E9ger la biosph\u00E8re de ce rayonnement nocif : la couche d'ozone a constitu\u00E9 le bouclier qui a permis aux premi\u00E8res plantes terrestres de quitter les oc\u00E9ans il y a pr\u00E8s de 475 millions d'ann\u00E9es. La teneur en oxyg\u00E8ne des oc\u00E9ans chute significativement depuis plusieurs ann\u00E9es. Cette d\u00E9soxyg\u00E9nation de l\u2019oc\u00E9an \u2014 due au r\u00E9chauffement climatique et aux rejets d\u2019engrais agricoles \u2014 affecte la biodiversit\u00E9 marine. Les oc\u00E9ans ont perdu 77 milliards de tonnes d\u2019oxyg\u00E8ne au cours des 50 derni\u00E8res ann\u00E9es. Dans l'industrie, il a une \u00E9norme importance en tant qu'oxydant. Dans les centrales \u00E9lectriques, le combustible est br\u00FBl\u00E9 soit avec de l'air, soit avec de l'oxyg\u00E8ne pur (proc\u00E9d\u00E9 \"oxy-fuel\"). L'oxy-craquage de fractions p\u00E9troli\u00E8res lourdes donne des compos\u00E9s pr\u00E9cieux. Dans l'industrie chimique est utilis\u00E9e pour la production d'acide acrylique, un monom\u00E8re tr\u00E8s important. L'oxydation catalytique h\u00E9t\u00E9rog\u00E8ne est prometteur pour la production d'acide hydroxym\u00E9thyl-furfural et acide benzo\u00EFque. C'est \u00E9galement une mati\u00E8re premi\u00E8re prometteuse pour la synth\u00E8se \u00E9lectrochimique du peroxyde d'hydrog\u00E8ne. L'oxydation par l'air joue un r\u00F4le tr\u00E8s important dans la conversion des gaz dangereux (CO, m\u00E9thane) en CO2 moins nocif."@fr . . . . . . . . . "798"^^ . . . . . . . . "\u0623\u0643\u0633\u062C\u064A\u0646"@ar . . "637"^^ . "223"^^ . . "\u12A6\u12AD\u1232\u1305\u1295"@am . . . . . . . . . "387.7"^^ . . . "498"^^ . "340.5"^^ . . . . . "714.1"^^ . . "575"^^ . . "484"^^ . . . . . . . . . "L'oxyg\u00E8ne est l'\u00E9l\u00E9ment chimique de num\u00E9ro atomique 8, de symbole O. C'est la t\u00EAte de file du groupe des chalcog\u00E8nes, souvent appel\u00E9 groupe de l'oxyg\u00E8ne. D\u00E9couvert ind\u00E9pendamment en 1772 par le Su\u00E9dois Carl Wilhelm Scheele \u00E0 Uppsala, et en 1774 par Pierre Bayen \u00E0 Ch\u00E2lons-en-Champagne ainsi que par le Britannique Joseph Priestley dans le Wiltshire, l'oxyg\u00E8ne a \u00E9t\u00E9 nomm\u00E9 ainsi en 1777 par le Fran\u00E7ais Antoine Lavoisier et son \u00E9pouse \u00E0 Paris \u00E0 partir du grec ancien \u1F40\u03BE\u03CD\u03C2 / ox\u00FAs (\u00AB aigu \u00BB, c'est-\u00E0-dire ici \u00AB acide \u00BB), et \u03B3\u03B5\u03BD\u03AE\u03C2 / gen\u1E17s (\u00AB g\u00E9n\u00E9rateur \u00BB), car Lavoisier pensait \u00E0 tort \u2014 oxydation et acidification \u00E9tant reli\u00E9es \u2014 que :"@fr . . . . . . . "740"^^ . . . "426.3"^^ . . . . . . . . . . "615"^^ . "271.5"^^ . . . . . . . "2016-04-23"^^ . . . . . . . "766.1"^^ . . . . . . . . . . . . "270"^^ . . . . . "366"^^ . . . . . . . . . "418.6"^^ . . . . . . . . . . "Zuurstof (element)"@nl . "268"^^ . . . . . . . . . . . . "236"^^ . . "589"^^ . . . "Sauerstoff"@als . . . . . . . . "870"^^ . . . . "Ox\u00EDgeno"@es . . . "15.999"^^ . "377"^^ . . "56405"^^ . . "Suurstof"@af . . . . . "337.2"^^ . . . . . "358.2"^^ . . . . . . . . "731"^^ . . . . "362"^^ . "382.4"^^ . . "8"^^ . "191396369"^^ . "1076.38"^^ . . . . "528"^^ . "669"^^ . . . . . . "414"^^ . . . . . . "498.36"^^ . . . "553"^^ . . . . . . . "790"^^ . "238.1"^^ . "703"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "287.4"^^ . . . "666.5"^^ . "Syre"@sv . . . . . . . . . . . . "732"^^ . . . . . . "671.4"^^ . . . "606"^^ . . . . "473"^^ . . . . . "Tlen"@pl . . . . . . . . "528"^^ . . . . . . . . . . . "8"^^ . . . . . "517.9"^^ . . . . "665"^^ . . . . "397.4"^^ . "434"^^ . . . . . . . . . . . . "502"^^ . . . . . "276"^^ . . . . "346"^^ . . . . . . . . "726.5"^^ . "30"^^ . . . "\u041A\u0438\u0441\u0435\u043D\u044C"@uk . . "213"^^ . . . . . . . . . . . . . . "185"^^ . .