. . . . . "Nasaliza\u00E7\u00E3o"@pt . . . . . . "\u9F3B\u97F3\u5316"@ja . . . . . . . . . . . . . "En phon\u00E9tique, la nasalisation est la production d'un son alors que le voile du palais est abaiss\u00E9, de telle sorte que de l'air puisse s'\u00E9chapper par le nez durant la production d'un son (pour un exemple sur les voyelles nasales du fran\u00E7ais, voir). Le ph\u00E9nom\u00E8ne peut \u00EAtre d\u00E9crit comme si un son [n] (ou plus pr\u00E9cis\u00E9ment, une r\u00E9sonance nasale qui se superpose aux autres caract\u00E9ristiques du son produit et qui ne poss\u00E8de pas de qualit\u00E9 consonantique particuli\u00E8re, caract\u00E9ristiques pouvant \u00EAtre vocaliques ou consonantiques) \u00E9tait produit simultan\u00E9ment \u00E0 l'articulation orale."@fr . . . "\u041D\u0430\u0437\u0430\u043B\u0438\u0437\u0430\u0446\u0438\u044F"@ru . . "Nasalitzaci\u00F3"@ca . . . . . . "543412"^^ . "5082"^^ . . "Nasalizaci\u00F3n"@es . . . . . . . . . . . "Nasalisatie"@nl . . . . . . . . . . . . "Nasalisation"@fr . . . . . . . . . . . . . "En phon\u00E9tique, la nasalisation est la production d'un son alors que le voile du palais est abaiss\u00E9, de telle sorte que de l'air puisse s'\u00E9chapper par le nez durant la production d'un son (pour un exemple sur les voyelles nasales du fran\u00E7ais, voir). Le ph\u00E9nom\u00E8ne peut \u00EAtre d\u00E9crit comme si un son [n] (ou plus pr\u00E9cis\u00E9ment, une r\u00E9sonance nasale qui se superpose aux autres caract\u00E9ristiques du son produit et qui ne poss\u00E8de pas de qualit\u00E9 consonantique particuli\u00E8re, caract\u00E9ristiques pouvant \u00EAtre vocaliques ou consonantiques) \u00E9tait produit simultan\u00E9ment \u00E0 l'articulation orale. Dans l'alphabet phon\u00E9tique international, la nasalisation est indiqu\u00E9e par la pr\u00E9sence d'un tilde au-dessus du symbole du son \u00E0 nasaliser, ou par des symboles uniques pour certaines consonnes nasales (occlusives [m], [n], [\u0272], [\u014B], etc.) : [\u00E3] est l'\u00E9quivalent nasalis\u00E9 de [a], et [\u1E7D] est celui de [v]. Il est aussi important de noter que phon\u00E9tiquement, la nasalit\u00E9 des voyelles peut comporter plus d'un indice articulatoire ou acoustique (par exemple, en fran\u00E7ais, la position de la langue qui change l\u00E9g\u00E8rement entre [a] et [\u00E3] en plus de l'abaissement du voile du palais). Certains sons nasaux sont les voyelles nasales que l'on trouve en fran\u00E7ais, en portugais, en breton, en polonais, etc. Dans quelques cas, on peut rencontrer des voyelles avec plusieurs degr\u00E9s de nasalit\u00E9, tout d\u00E9pendant du statut phonologique de ces voyelles dans la langue (voir voyelle nasale, phonologie). Par exemple, en anglais, le degr\u00E9 de nasalit\u00E9 sur les voyelles est variable, mais cette propri\u00E9t\u00E9 phon\u00E9tique vocalique ne sert pas \u00E0 distinguer des items lexicaux (il n'y a pas d'opposition entre les voyelles nasales et orales en anglais, seulement de la nasalisation phon\u00E9tique). En termes phonologiques, dans la plupart des cas, l'opposition entre voyelles nasales et orales est cat\u00E9gorique. Les consonnes nasales (par exemple [m], [n], [\u0272], [\u014B], etc.) ne sont pas dites nasalis\u00E9es, car il ne s'agit pas d'une articulation surajout\u00E9e au son oral correspondant, mais d'un mode d'articulation par blocage du flux d'air au niveau de la bouche, alors que son passage par le nez est libre. On parle donc aussi d'occlusives nasales. Il existe \u00E9galement des consonnes nasalis\u00E9es, c'est-\u00E0-dire qui poss\u00E8dent un mode d'articulation principal auquel s'ajoute le mode nasal, qui contrastent avec les consonnes purement orales. Par exemple : \n* Certaines des langues sudarabiques modernes poss\u00E8dent des consonnes fricatives nasalis\u00E9es, telles que [z\u0303], dont le son ressemble \u00E0 l'\u00E9mission simultan\u00E9e de [n] et [z]. \n* Le son not\u00E9 r en mandarin a une histoire singuli\u00E8re (par exemple, le japonais l'a emprunt\u00E9 \u00E0 la fois comme [z] et [n]) et d\u00E9rive probablement d'une ancienne fricative nasalis\u00E9e, peut-\u00EAtre une consonne fricative palatale vois\u00E9e nasalis\u00E9e [\u029D\u0303]. \n* En hupa, il est fr\u00E9quent que la langue ne soit pas compl\u00E8tement en contact avec le palais lors de l'articulation, de la consonne [\u014B], ce qui entra\u00EEne l'\u00E9mission d'une spirante v\u00E9laire nasalis\u00E9e [\u0270\u0303]. Ce ph\u00E9nom\u00E8ne s'apparente \u00E0 la consonne nasalis\u00E9e [j\u0303] d'autres langues athapascanes. \n* En umbundu, le phon\u00E8me [\u1E7D] contraste avec [w\u0303], et il s'agit probablement d'une v\u00E9ritable fricative plut\u00F4t que d'une spirante. En dehors des fricatives orales nasalis\u00E9es, il existe de vraies fricatives nasales, d\u00E9nomm\u00E9es fricatives nar\u00E9ales, qui sont parfois \u00E9mises par des personnes ayant des d\u00E9fauts de phonation. Pour ce type de consonnes, la turbulence du flux d'air qui caract\u00E9rise les fricatives est produit non pas dans la bouche mais dans les cavit\u00E9s nasales. L'alphabet phon\u00E9tique international \u00E9tendu les note par deux diacritiques combin\u00E9s, un tilde et un tr\u00E9ma : [n\u034B] est une fricative nar\u00E9ale alv\u00E9olaire, sans flux d'air buccal, alors que [v\u034B] est une fricative orale (un [v]) avec frication nar\u00E9ale simultan\u00E9e."@fr . . "Sudurkaritze"@eu . . . . . . . . "153328438"^^ . . "\u041D\u0430\u0437\u0430\u043B\u0456\u0437\u0430\u0446\u0456\u044F"@uk . . . .