"-"@fr . . . . . . . . . "Maria Valtorta"@fr . . . . . . . . . . . . . . . "Maria Valtorta"@de . . . "Italienne"@fr . . . . . . . "Maria Valtorta"@sv . . . . . . . . "en"@fr . . . . . . "20829"^^ . . . . . "190946622"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0645\u0627\u0631\u064A\u0627 \u06A4\u0627\u0644\u062A\u0648\u0631\u062A\u0627"@arz . . . . . . . . . . . "1670152"^^ . . . . "2"^^ . "Maria Valtorta est une mystique catholique italienne, membre du Tiers-ordre des Servites de Marie, n\u00E9e \u00E0 Caserte en Campanie le 14 mars 1897 et morte le 12 octobre 1961 \u00E0 Viareggio en Toscane. \u00C0 partir de 1943, elle transcrit dans des cahiers les visions et les \u00AB dict\u00E9es \u00BB qu'elle dit recevoir. Les passages \u00E9voquant des sc\u00E8nes de la vie du Christ sont publi\u00E9s sous le titre L'\u00C9vangile tel qu'il m'a \u00E9t\u00E9 r\u00E9v\u00E9l\u00E9. Interdit de publication en 1949 par le Saint-Office, cet ouvrage est pourtant publi\u00E9 en Italie entre 1956 et 1959. Il est mis \u00E0 l'Index des livres interdits le 16 d\u00E9cembre 1959. Malgr\u00E9 l'abolition de l'Index en 1966, les autorit\u00E9s catholiques continuent de ne pas reconna\u00EEtre d'origine surnaturelle aux visions et aux \u00AB dict\u00E9es \u00BB de Maria Valtorta."@fr . . "Maria Valtorta"@en . "Mitch Pacwa"@fr . . "1961-10-12"^^ . . . . . . . "30"^^ . . . . . . . . . . . . "Maria Valtorta"@es . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "-"@fr . . "Maria Valtorta"@pt . . . . . . . . . "200"^^ . . . . . . . . . . . "Maria Valtorta est une mystique catholique italienne, membre du Tiers-ordre des Servites de Marie, n\u00E9e \u00E0 Caserte en Campanie le 14 mars 1897 et morte le 12 octobre 1961 \u00E0 Viareggio en Toscane. \u00C0 partir de 1943, elle transcrit dans des cahiers les visions et les \u00AB dict\u00E9es \u00BB qu'elle dit recevoir. Les passages \u00E9voquant des sc\u00E8nes de la vie du Christ sont publi\u00E9s sous le titre L'\u00C9vangile tel qu'il m'a \u00E9t\u00E9 r\u00E9v\u00E9l\u00E9."@fr . . . . . . . .