. . "Malapteruridae"@fr . . . . "Malapteruridae"@fr . . . "925832"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "177494804"^^ . . . . . . . . . . . . "\u0415\u043B\u0435\u043A\u0442\u0440\u0438\u0447\u043D\u0456 \u0441\u043E\u043C\u0438"@uk . . "5700"^^ . . "Malapter\u00FArids"@ca . . "Siddermeervallen"@nl . . . . . . . "Category:Malapteruridae"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0633\u0645\u0643 \u0627\u0644\u0633\u0644\u0648\u0631 \u0627\u0644\u0643\u0647\u0631\u0628\u0627\u0626\u064A"@ar . . . "Les Malapt\u00E9rurid\u00E9s (Malapteruridae) forment une famille de poissons-chats (ordre Siluriformes). Ils poss\u00E8dent pour la plupart un organe \u00E9lectrique se pr\u00E9sentant sous la forme de plaques cutan\u00E9es. Certains peuvent ainsi provoquer une d\u00E9charge \u00E9lectrique d'une tension pouvant atteindre 350 V. Cette famille recouvre deux genres, Malapterurus et Paradoxoglanis, comportant 19 esp\u00E8ces. On les trouve dans les eaux tropiques d'Afrique et dans le Nil. Ce sont en principe des poissons nocturnes et ils se nourrissent principalement d'autres poissons, qu'ils \u00E9tourdissent gr\u00E2ce \u00E0 des d\u00E9charges \u00E9lectriques. Leur taille peut atteindre 1 m."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "\u30C7\u30F3\u30AD\u30CA\u30DE\u30BA\u79D1"@ja . . . . "Les Malapt\u00E9rurid\u00E9s (Malapteruridae) forment une famille de poissons-chats (ordre Siluriformes). Ils poss\u00E8dent pour la plupart un organe \u00E9lectrique se pr\u00E9sentant sous la forme de plaques cutan\u00E9es. Certains peuvent ainsi provoquer une d\u00E9charge \u00E9lectrique d'une tension pouvant atteindre 350 V. Cette famille recouvre deux genres, Malapterurus et Paradoxoglanis, comportant 19 esp\u00E8ces. On les trouve dans les eaux tropiques d'Afrique et dans le Nil. Ce sont en principe des poissons nocturnes et ils se nourrissent principalement d'autres poissons, qu'ils \u00E9tourdissent gr\u00E2ce \u00E0 des d\u00E9charges \u00E9lectriques. Leur taille peut atteindre 1 m."@fr . . . . . . . . "Malapteruridae"@pl . . . . . . . .