. . . . "Logis seigneurial"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1323922"^^ . . . . . . . . . . . . . . "187279662"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Le logis seigneurial, aussi appel\u00E9 plus commun\u00E9ment logis, est, au Moyen \u00C2ge de la fin du XIe si\u00E8cle au milieu du XVe si\u00E8cle, un vaste b\u00E2timent situ\u00E9 la plupart du temps dans le donjon et r\u00E9serv\u00E9 \u00E0 l'usage du seigneur et de sa famille. Par extension, les termes de logis, manoir, ou grande maison d\u00E9sign\u00E8rent par la suite l'habitation du ma\u00EEtre d'une ferme fortifi\u00E9e (parfois isol\u00E9e), comme les logis du XIIe si\u00E8cle qu'il est possible de trouver encore, notamment en Allemagne, en Angleterre, en France ou en Espagne."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "33925"^^ . . "Le logis seigneurial, aussi appel\u00E9 plus commun\u00E9ment logis, est, au Moyen \u00C2ge de la fin du XIe si\u00E8cle au milieu du XVe si\u00E8cle, un vaste b\u00E2timent situ\u00E9 la plupart du temps dans le donjon et r\u00E9serv\u00E9 \u00E0 l'usage du seigneur et de sa famille. Par extension, les termes de logis, manoir, ou grande maison d\u00E9sign\u00E8rent par la suite l'habitation du ma\u00EEtre d'une ferme fortifi\u00E9e (parfois isol\u00E9e), comme les logis du XIIe si\u00E8cle qu'il est possible de trouver encore, notamment en Allemagne, en Angleterre, en France ou en Espagne. De nos jours, l'existence d'un ancien \u00AB logis \u00BB peut, par son isolement, par les destructions des b\u00E2timents et murailles l'ayant entour\u00E9 \u00E0 l'origine, et par les modifications successives apport\u00E9es au fil du temps pour le confort de l'habitation ou son \u00AB recyclage \u00BB en b\u00E2timent agricole, \u00E9chapper au regard du voyageur.[r\u00E9f. n\u00E9cessaire]"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .