. . "Conf\u00E9rence des directeurs des \u00E9coles fran\u00E7aises d'ing\u00E9nieurs"@fr . . . . . . . "http://www.cdefi.fr/| \u00E9diteur ="@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "http://www.cdefi.fr/jsp/fiche_pagelibre.jsp?STNAV=&RUBNAV=&CODE=69953344&LANGUE=0&RH=| titre =Ecoles fran\u00E7aises d'ing\u00E9nieurs > Historique"@fr . . . . . . "Conf\u00E9rence des directeurs des \u00E9coles fran\u00E7aises d'ing\u00E9nieurs"@fr . . "Liste des plus anciennes \u00E9coles d'ing\u00E9nieurs en France"@fr . . . . . . . . . . . . . "Les ing\u00E9nieurs \u00E9taient \u00E0 l'origine des architectes charg\u00E9s de concevoir et de r\u00E9aliser les ouvrages militaires de d\u00E9fense, de passage, de transport, de vill\u00E9giature ou d'attaque. C'est ainsi que l'on trouve chez l'architecte romain Vitruve et chez L\u00E9onard de Vinci \u00E0 la Renaissance des ouvrages et des machines de guerre. C'est \u00E0 l'\u00E9poque o\u00F9 les deux fonctions d'architecte civil et militaire se d\u00E9doublent au XVIe si\u00E8cle qu'apparut une formation sp\u00E9cifique des ing\u00E9nieurs. Les plus anciennes \u00E9coles royales d'ing\u00E9nieurs en France r\u00E9pondaient aux besoins du g\u00E9nie militaire, du g\u00E9nie rural et aux grands corps de l'\u00C9tat charg\u00E9s des ressources strat\u00E9giques (voies de circulation, ressources eaux, bois, charbon et autres minerais). Il en r\u00E9sulta une premi\u00E8re g\u00E9n\u00E9ration d'\u00E9coles de service public. L'\u00C9cole d'arts et m\u00E9tiers fond\u00E9e en 1780 pour offrir une \u00E9ducation technique aux pupilles de la nation, puis en 1794 le Conservatoire national des arts et m\u00E9tiers dont la mission est le perfectionnement de l'industrie nationale, n'\u00E9taient ni des \u00E9coles d'ing\u00E9nieur, ni des voies d'acc\u00E8s \u00E0 la fonction publique. Ce n'est qu'en 1907 que l'\u00C9coles d'arts et m\u00E9tiers s'est dot\u00E9e d'un programme d'enseignement lui permettant de d\u00E9livrer le titre d'ing\u00E9nieur. Les activit\u00E9s des soci\u00E9t\u00E9s savantes et des cours municipaux de sciences et techniques se d\u00E9velopp\u00E8rent dans plusieurs villes de France au d\u00E9but du XIXe si\u00E8cle (Paris, Lille, Lyon, Grenoble, Mulhouse, Strasbourg) et conduisirent aux premi\u00E8res \u00E9coles r\u00E9pondant \u00E0 un besoin sp\u00E9cifique de l'industrie civile \u00E0 partir de 1829. L'\u00E9volution des formations d'ing\u00E9nieurs vers les besoins de l'industrie est pr\u00E9cis\u00E9e par la Conf\u00E9rence des directeurs des \u00E9coles fran\u00E7aises d'ing\u00E9nieurs, \u00AB Ecoles fran\u00E7aises d'ing\u00E9nieurs > Historique \u00BB, sur : \u00AB Quand l'industrie priv\u00E9e naissante commence \u00E0 ressentir le besoin d'ing\u00E9nieurs dans la premi\u00E8re moiti\u00E9 du XIXe si\u00E8cle, elle cherche naturellement \u00E0 attirer une partie des cadres form\u00E9s par les \u00E9coles de service public. Cependant, c'est pour r\u00E9pondre aux besoins devenus trop importants et trop sp\u00E9cifiques des entreprises qui naissent pendant la premi\u00E8re r\u00E9volution industrielle qu'est cr\u00E9\u00E9e, \u00E0 l'initiative de quelques savants, l'\u00C9cole centrale des arts et manufactures, \u00E0 Paris en 1829, afin d'enseigner la \u00AB science industrielle \u00BB. Elle forme des ing\u00E9nieurs civils, appellation dont l'origine britannique est revendiqu\u00E9e. Ce sont des g\u00E9n\u00E9ralistes de l'entreprise. L'initiative priv\u00E9e s'exprime ensuite dans le m\u00EAme esprit sous le second empire, mais pour la premi\u00E8re fois en province, avec la cr\u00E9ation de l'Ecole des arts industriels de Lille en 1854, et celle de l'Ecole centrale lyonnaise en 1857. \u00BB La seconde moiti\u00E9 du XIXe si\u00E8cle vit se d\u00E9velopper des \u00E9coles qui suivirent l'essor de l'industrie sp\u00E9cialis\u00E9e, en particulier de la chimie. La fin du XIXe si\u00E8cle vit appara\u00EEtre les \u00E9coles sp\u00E9cialis\u00E9es dans les domaines associ\u00E9s \u00E0 l'\u00E9lectricit\u00E9."@fr . . . . . . . . "Quand l'industrie priv\u00E9e naissante commence \u00E0 ressentir le besoin d'ing\u00E9nieurs dans la premi\u00E8re moiti\u00E9 du , elle cherche naturellement \u00E0 attirer une partie des cadres form\u00E9s par les \u00E9coles de service public. Cependant, c'est pour r\u00E9pondre aux besoins devenus trop importants et trop sp\u00E9cifiques des entreprises qui naissent pendant la premi\u00E8re r\u00E9volution industrielle qu'est cr\u00E9\u00E9e, \u00E0 l'initiative de quelques savants, l'\u00C9cole centrale des arts et manufactures, \u00E0 Paris en 1829, afin d'enseigner la \u00AB science industrielle \u00BB. Elle forme des ing\u00E9nieurs civils, appellation dont l'origine britannique est revendiqu\u00E9e. Ce sont des g\u00E9n\u00E9ralistes de l'entreprise. L'initiative priv\u00E9e s'exprime ensuite dans le m\u00EAme esprit sous le second empire, mais pour la premi\u00E8re fois en province, avec la cr\u00E9ation de l'Ecole des arts industriels de Lille en 1854, et celle de l'Ecole centrale lyonnaise en 1857."@fr . . . . "2955495"^^ . . . . . . . . . . . . . "Les ing\u00E9nieurs \u00E9taient \u00E0 l'origine des architectes charg\u00E9s de concevoir et de r\u00E9aliser les ouvrages militaires de d\u00E9fense, de passage, de transport, de vill\u00E9giature ou d'attaque. C'est ainsi que l'on trouve chez l'architecte romain Vitruve et chez L\u00E9onard de Vinci \u00E0 la Renaissance des ouvrages et des machines de guerre. La seconde moiti\u00E9 du XIXe si\u00E8cle vit se d\u00E9velopper des \u00E9coles qui suivirent l'essor de l'industrie sp\u00E9cialis\u00E9e, en particulier de la chimie. La fin du XIXe si\u00E8cle vit appara\u00EEtre les \u00E9coles sp\u00E9cialis\u00E9es dans les domaines associ\u00E9s \u00E0 l'\u00E9lectricit\u00E9."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "13332"^^ . . . . . . . . . . . . . "187389403"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . .