. . . . . . . "Les universit\u00E9s, (latin : universitas), organismes destin\u00E9s \u00E0 transmettre le savoir, sont n\u00E9es dans le Saint-Empire romain comme corporations d'\u00E9tudiants (Bologne) ou de professeurs (Sorbonne, Oxford) afin de pouvoir enseigner et \u00E9tudier librement. Imitant les corps de m\u00E9tier, d\u00E9sireux de prot\u00E9ger leur libert\u00E9 d'\u00E9tudier, ils se sont regroup\u00E9s en corporations (en latin m\u00E9di\u00E9val \u00AB universitates \u00BB) et ont form\u00E9 des \u00AB universitates studii magistrorum et scholarium \u00BB auxquelles \u00E9taient d\u00E9livr\u00E9es des franchises demand\u00E9es directement \u00E0 l\u2019empereur du Saint-Empire, dont le pouvoir \u00E9tait suffisant pour les prot\u00E9ger durant leurs \u00E9tudes. L\u2019apparition d'universit\u00E9s fut une r\u00E9volution dans la transmission du savoir. Elles furent un outil politique de recherche scientifique et l\u00E9gale contraires au droit canon, en faisant sortir le savoir des murs clos des abbayes, ainsi que des \u00E9coles \u00E9piscopales, permettant de d\u00E9couvrir des outils r\u00E9pandant ce concept dans le monde au fil des conqu\u00EAtes et des \u00E9changes commerciaux. Par la suite, devant le succ\u00E8s de l'enseignement universitaire, le Vatican lui m\u00EAme a encourag\u00E9 la cr\u00E9ation de ces centres d'enseignements. Leur histoire les distingue des \u00E9coles de philosophie grec telles Lyc\u00E9e, Coll\u00E8ge, etc. plus d'un mill\u00E9naire leur ain\u00E9es, du fait qu'elles suivent Bologne, fond\u00E9e par des \u00E9tudiants revendiquant le droit \u00E0 \u00E9tudier hors du cadre religieux. En opposition aux \u00E9coles antiques, fond\u00E9e par des professeurs, dans certains cas avec un plan similaire. De nombreuses universit\u00E9s m\u00E9di\u00E9vales n'ont pas surv\u00E9cu aux guerres, aux r\u00E9formes et aux d\u00E9sirs de modernisation de l'enseignement dans tous les territoires, du Portugal \u00E0 la Russie. Carte ci-contre. D'autres universit\u00E9s m\u00E9di\u00E9vales ont surv\u00E9cu sans interruption jusqu'\u00E0 nos jours et ont continu\u00E9 \u00E0 transmettre leur enseignement et leur esprit de \"libertas academica\". En voici la liste."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "14900"^^ . . . . . . . "David de la Croix"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "191397438"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Liste chronologique des universit\u00E9s europ\u00E9ennes existant sans interruption"@fr . . . . . . . . . . . . "en"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "8300666"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Les universit\u00E9s, (latin : universitas), organismes destin\u00E9s \u00E0 transmettre le savoir, sont n\u00E9es dans le Saint-Empire romain comme corporations d'\u00E9tudiants (Bologne) ou de professeurs (Sorbonne, Oxford) afin de pouvoir enseigner et \u00E9tudier librement. De nombreuses universit\u00E9s m\u00E9di\u00E9vales n'ont pas surv\u00E9cu aux guerres, aux r\u00E9formes et aux d\u00E9sirs de modernisation de l'enseignement dans tous les territoires, du Portugal \u00E0 la Russie. Carte ci-contre."@fr . . . . . . . . . . . . . . . .