. . . . . . . "\u539F\u5B50\u6838\u6EF4\u7EBF"@zh . . "32081"^^ . . . . . . . . . . . . . . "Limite de stabilit\u00E9"@fr . . . . . . . . . . . . "10329026"^^ . . . . . . . . . . . "Nuclear drip line"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u00E9nergies de s\u00E9paration"@fr . . . . . . "Separation energy"@fr . . "187547487"^^ . . . . . . . . . . . . . "En physique nucl\u00E9aire, les fronti\u00E8res pour la stabilit\u00E9 des noyaux sont appel\u00E9es limites de stabilit\u00E9 ou drip lines. Les noyaux atomiques contiennent \u00E0 la fois des protons et des neutrons - le nombre de proton d\u00E9finit l'identit\u00E9 d'un \u00E9l\u00E9ment (par exemple, le carbone a toujours 6 protons), mais le nombre de neutrons peut varier (le carbone 13 et le carbone 14 sont par exemple deux isotopes du carbone. Le nombre d'isotopes de chaque \u00E9l\u00E9ment peut \u00EAtre repr\u00E9sent\u00E9 visuellement en tra\u00E7ant des boites, chacune d'elles repr\u00E9sente un isotope unique, sur un graphique avec le nombre de neutrons sur l'axe des abscisses (axe X) et le nombre de protons sur l'axe des ordonn\u00E9es (axe Y), ce que l'on d\u00E9nomme habituellement la carte des nucl\u00E9ides. Une combinaison arbitraire de protons et de neutrons ne conduit pas n\u00E9cessairement \u00E0 un noyau stable. On peut monter et/ou se diriger vers la droite de la carte des noyaux en ajoutant un type de nucl\u00E9ons (c'est-\u00E0-dire un proton ou un neutron, tous les deux appel\u00E9s nucl\u00E9ons) \u00E0 un noyau donn\u00E9. Cependant, l'ajout de nucl\u00E9ons un \u00E0 un \u00E0 un noyau donn\u00E9 conduira \u00E9ventuellement \u00E0 un noyau nouvellement form\u00E9 qui d\u00E9croit imm\u00E9diatement en \u00E9mettant un proton (ou un neutron). En parlant famili\u00E8rement, on dit que le nucl\u00E9on a \u00AB coul\u00E9 \u00BB (\u00AB dripped \u00BB en anglais) en dehors du noyau, donnant ainsi le terme \u00AB drip line \u00BB. Les limites de stabilit\u00E9 sont d\u00E9finies pour les protons, les neutrons et les particules alpha et elles ont un r\u00F4le important en physique nucl\u00E9aire. Les limites de stabilit\u00E9 des nucl\u00E9ons sont situ\u00E9es \u00E0 des rapports proton sur neutron extr\u00EAmes : pour des rapports p:n au niveau ou au-del\u00E0 des limites de stabilit\u00E9, aucun noyau stable ne peut exister. La position de la limite de stabilit\u00E9 neutron n'est pas bien connue pour la plupart de la carte des noyaux, alors que les limites de stabilit\u00E9 proton et alpha ont \u00E9t\u00E9 mesur\u00E9es sur une large plage d'\u00E9l\u00E9ments."@fr . . "\u00C9nergie de s\u00E9paration"@fr . "En physique nucl\u00E9aire, les fronti\u00E8res pour la stabilit\u00E9 des noyaux sont appel\u00E9es limites de stabilit\u00E9 ou drip lines. Les noyaux atomiques contiennent \u00E0 la fois des protons et des neutrons - le nombre de proton d\u00E9finit l'identit\u00E9 d'un \u00E9l\u00E9ment (par exemple, le carbone a toujours 6 protons), mais le nombre de neutrons peut varier (le carbone 13 et le carbone 14 sont par exemple deux isotopes du carbone. Le nombre d'isotopes de chaque \u00E9l\u00E9ment peut \u00EAtre repr\u00E9sent\u00E9 visuellement en tra\u00E7ant des boites, chacune d'elles repr\u00E9sente un isotope unique, sur un graphique avec le nombre de neutrons sur l'axe des abscisses (axe X) et le nombre de protons sur l'axe des ordonn\u00E9es (axe Y), ce que l'on d\u00E9nomme habituellement la carte des nucl\u00E9ides."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . .