"lib\u00E9ralisme"@fr . "52706"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "450139"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Liberalismo ekonomiko"@eu . . . . . . . "Lib\u00E9ralisme"@fr . "Le lib\u00E9ralisme \u00E9conomique est l'application des principes du lib\u00E9ralisme \u00E0 la sph\u00E8re \u00E9conomique. Cette \u00E9cole de pens\u00E9e, dont la d\u00E9nomination est associ\u00E9e au si\u00E8cle des Lumi\u00E8res, estime que les libert\u00E9s \u00E9conomiques (libre-\u00E9change, libert\u00E9 d'entreprendre, libre choix de consommation, de travail, etc.) sont n\u00E9cessaires au bon fonctionnement de l'\u00E9conomie et que l'intervention de l'\u00C9tat doit y \u00EAtre aussi limit\u00E9e que possible. Ces id\u00E9es fondatrices furent formul\u00E9es ant\u00E9rieurement, notamment \u00E0 l'\u00C9cole de Salamanque aux XVe et XVIe si\u00E8cles, sur la base de consid\u00E9rations morales accordant \u00E0 la personne humaine des droits fondamentaux, notamment en mati\u00E8re \u00E9conomique."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "189986977"^^ . . . . "lib\u00E9ralisme"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Lib\u00E9ralisme \u00E9conomique"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Liberalismo econ\u00F3mico"@es . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Lib\u00E9ralisme"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Economisch liberalisme"@nl . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Le lib\u00E9ralisme \u00E9conomique est l'application des principes du lib\u00E9ralisme \u00E0 la sph\u00E8re \u00E9conomique. Cette \u00E9cole de pens\u00E9e, dont la d\u00E9nomination est associ\u00E9e au si\u00E8cle des Lumi\u00E8res, estime que les libert\u00E9s \u00E9conomiques (libre-\u00E9change, libert\u00E9 d'entreprendre, libre choix de consommation, de travail, etc.) sont n\u00E9cessaires au bon fonctionnement de l'\u00E9conomie et que l'intervention de l'\u00C9tat doit y \u00EAtre aussi limit\u00E9e que possible. Ces id\u00E9es fondatrices furent formul\u00E9es ant\u00E9rieurement, notamment \u00E0 l'\u00C9cole de Salamanque aux XVe et XVIe si\u00E8cles, sur la base de consid\u00E9rations morales accordant \u00E0 la personne humaine des droits fondamentaux, notamment en mati\u00E8re \u00E9conomique. Le lib\u00E9ralisme \u00E9conomique a connu deux grandes phases. Pour les lib\u00E9raux classiques (John Locke, Anne Robert Jacques Turgot, Adam Smith ou \u00C9tienne Bonnot de Condillac), le lib\u00E9ralisme \u00E9conomique est l'application au domaine \u00E9conomique des principes fondateurs du lib\u00E9ralisme : libert\u00E9, responsabilit\u00E9, propri\u00E9t\u00E9. Ils contestent \u00E0 la fois la l\u00E9gitimit\u00E9 et l\u2019efficacit\u00E9 de l\u2019action \u00E9tendue de l\u2019\u00C9tat, et, selon les doctrines, demandent la limitation plus ou moins grande voire totale de ses actions dans le champ de l'\u00E9conomie. Ils consid\u00E8rent notamment que la puissance publique n'a ni la l\u00E9gitimit\u00E9, ni l'information n\u00E9cessaire pour pr\u00E9tendre savoir mieux que les consommateurs ce qu'ils peuvent ou doivent consommer ou pour pr\u00E9tendre savoir mieux que les producteurs ce qu'ils peuvent ou doivent produire. Pour les autres, le lib\u00E9ralisme \u00E9conomique rel\u00E8ve d\u2019un raisonnement de nature \u00E9conomique qui repose le plus souvent sur la th\u00E9orie de l\u2019\u00E9quilibre g\u00E9n\u00E9ral et qui est souvent appel\u00E9 \u00AB lib\u00E9ralisme n\u00E9oclassique \u00BB. Ils contestent l\u2019efficacit\u00E9 des actions de l\u2019\u00C9tat, mais ils ont travaill\u00E9 entre autres sur les \u00AB d\u00E9faillances du march\u00E9 \u00BB. De ce fait, ils diff\u00E8rent quant aux limites exactes \u00E0 fixer aux interventions de l\u2019\u00C9tat."@fr . . . "Wirtschaftsliberalismus"@de . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .